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HISTOIRE DE LA MONARCHIE EN ITALIE

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HISTOIRE DE LA MONARCHIE EN ITALIE Empty HISTOIRE DE LA MONARCHIE EN ITALIE

Message par Hervé J. VOLTO Ven 3 Avr 2020 - 11:33



L'Italie possède une histoire qui est intimement liée à la culture occidentale, à l'Europe et au Bassin Méditéranéen.

Héritière des cultures antiques comme celle des Shardanes, des Etrusques ou des Latins, réceptrice de la colonisation grecque et carthaginoise, l'Italie voit naître la civilisation romaine et son Empire, l'un des plus grands évènements de l'histoire, qui sera le berceau de la culture occidentale. Lors du déclin de l'Empire Romain d'Occident, l'Italie subira une série d'invasions germaniques avec des tentatives de réunifications byzantines pour reconstruire l'unité impériale. Siège de la papauté et source de légitimité impériale médiévale, elle est à l'éPoque un foyer de discordes et d'invasions.

LA NECESSITE SE FAIT JOUR D'Y INSTITUER LA MONARCHIE.


Sommaire.
Introduction.
1. L'Empire Romain.
2. Les Monarchies barbares (493-855).
3. Le Royaume Carolingien d'Italie (855-962).
4. Le Royaume germanique d'Italie (962-1803).
5. Le Royaume Napoléonnien (1805-1814).
6. Le Royaume d'Italie contemporain (1861-1946).
7. Le futur de l'Italie selon les prophéties : le Grand Monarque, Roi de France et d'Italie.
Conclusion.

____



Introduction.



Après la chute de l'Empire Romain d'Occidenten 476, les maîtres barbares de l'Italie, Odoacre, puis les Rois Ostrogoths et Lombards établiront des Royaumes couvrant la majeure partie de la péninsule italique.

Durant le Moyen Âge, le pays se morcèle en une mosaïque de villes-États qui luttent entre elles pour obtenir l'hégémonie sur le Bassin Méditérranéen, avec des interventions fréquentes des puissances environnantes et de l'Eglise Catholique. Sa situation géographique privilégiée fait qu'elle est la clef du commerce européen et cela favorise les Républiques Maritimestels que Amalfi, Pise, Gênes ou Venise. Le pouvoir spirituel papal, qui a son siège à Rome, aura en Italie des répercussions particulières, la papauté s'arogeant le droit de possèder un pouvoir temporel et fonder les Etats de l'Eglise.

Cette hérédité politique le changera en foyer des luttes de pouvoir en Europe. De plus, le legs culturel classique et ecclésiastique sera le bouillon de culture de nouvelles tendances. Aux XV° et XVI°siècles, elle se transforme en centre culturel de l'Europe en donnant naissance à la Renaissance. Dans le même temps, elle constitue l'un des champs de bataille européens sur lesquels se jouera la suprématie méditerranéenne de l'Empire Espagnol. Les italiens ayant plusieurs fois envahis par des peuples divers n'a pas conçue un fidélité à une maison Souveraine comme en France : c'erst pour celà qu'il est narchsite et supporte l'autorité et que la Monarchie n'a pu s'implanter durablement comme en France.
Après le déclin de la Monarchie hispanique, l'Empire austro-hongrois se met à contrôler la région, comme une bonne partie de l'Europe centrale. Durant les guerres révolutionnaires Française et le I° Empire de Napoléon Bonaparte, elle luttera pour son indépendance. Entre 1859 et 1870, la péninsule italique est enfin unifiée sous la houlette du Royaume de Piémont-Sardeigne, dans un contexte nationaliste et après une série de guerres contre l'Autriche, mais ne pourra être fait dans sa globalité.



1. L'Empire Romain.



La fondation de Rome est due, selon la maythologie gréco-romaine, aux jumeaux Romulus et Rémus au milieu du VIII° siècle a. J.C..
La Royauté Romaine(en latin : Regnum Romanum) est la première et la plus mal connue des périodes de l'histoire de la Rome antique. Selon la tradition, la Royauté commence avec la fondation de Rome par Romulus et Rému en l'An 753 av. J.C., et se termine à la révolution de 509 av. J.C. qui chasse le dernier Roi, tarquin le Superbe, pour instaurer la Républoique Romaine. Les historiens romains identifient sept Rois : Romulus (avec selon certaines sources Titus Tatius), Numa Pompilius, Tullus Hostilius, Ancus Marcius, considérés comme plus ou moins légendaires, puis des Rois d'origine étrusques : Tarquin l'Ancien, Servius Tillius et Traquin le Superbe.
À l'issue de cette période, Rome apparaît lorsque l'archéologie complète la tradition comme une Cité-Etat organisée, avec ses temples et son urbanisation, la principale ville du Latium ouverte aux influences grecques etétrusques.

Rome est née en plein cœur du territoire des Latins et deviendra le fer de lance de leur civilisation. Rome connaît une première phase d'expansion sous le gouvernement des Sept Rois de Romes, qui sont également les fondateurs symboliques de nombreuses institutions romaines. Au VI° siècle av. J.C., Rome devient une république et commence le processus de l'unification de la Péninsule. Après la victoire de Rome contre Carthage lors de la Première Guerre Punique, les principales îles de la mer Méditérranée occidentale passent également sous le contrôle de Rome. Les Deuxième et Troisème Guerres Puniques lui assurent le contrôle de tout le pourtour du bassin occidental de la Méditerranée.

Au I° siècle av. J.C., Rome domine tout le bassin méditérranéen, mais à la suite de conflits internes, la république se transforme en empire. Le gouvernement des territoires contrôlés par Rome se caractérise par l'assimilation des conquis à la nation romaine par un processus progressif et structuré, favorisé par la réalisation de grandes infrastructures. Les Francs feront partis des barabres assimilés. Les romains exportent la civilisation Latine sur l'ensemble du bassin méditerranéen et sur trois continents, l'Afrique, l'Europe et l'Asie. Ils construiront de nombreuses villes, routes, ponts, acqueducs, thermes et temples amenant également l'écriture qui fera basculer l'Europe et la majeure partie de l'Afrique du Nord dans l'histoire. Ils apportent avec eux la culture du théâtre, la philosophie, la musique, leur cuisine (vins, saucissons, fromages) ainsi que les institutions romaines qui s'enracineront durablement, jusqu'à aujourd'hui encore en Europe.

À la fin du IV° siècle, l’Empire est confronté à une importante crise économique et sociale, et commence au même moment le début d'une longue série d'invasions barbares avec les Wisigoths, les Huns, les Vandales et les Ostrogoths. Sous le coup de ces invasions, l'empire se divisera en Empire Romain d'Orient et d'Occident, qui s'effondre rapidement, et en Empire Romain d'Orient (ou Empire byzantin), qui résistera encore un millénaire.



2. Les Monarchies barbares (493-855).



Après la perte de son unité politique, du fait de la disparition de l'Empire Romain au V° siècle, la Péninsule voit la poursuite des invasions et des luttes internes, qui atteint son paroxysme avec la conquête du pays par les Ostrogohts (493-553). En 535 commence la reconquête de l'Italie par l'Empire Romain d'Orient avec Justinien(guerre des Goths) qui se termine seulement en553, avec la Bataille du Mont Lactarius. Avec les invasions Lombardes qui se produisent dès 568, l'Italie sera par la suite divisée en deux grandes zones d'influence, une Byzantine et l'autre Lombarde. Cette situation perdure jusqu'à la deuxième moitié du VIII° siècle quand Charlemagneannexe le Royaume Lombard d'Italieet avec la complicité du pape, réduit de manière importante les domaines Byzantins en Italie. Byzance réussit à maintenir sous son autorité quelques territoires dans le sud de la péninsule jusqu'au XI° siècle. À cette époque, l'Italie est déjà partagée en une myriade de petits États, souvent en lutte entre eux ou en guerres contre les puissances étrangères aux vues expansionnistes.

L’unique puissance en mesure de préserver et de poursuivre la culture latine est l'Eglise, aussi bien par le Monachisme, que par la création d'un pouvoir temporel dans le centre de l'Italie, les Etats de l'Eglise. Ceux-ci, grâce à l'appui du Saint Empire Romain et Franc des Corlingiens, sont capables de s'opposer à de nouvelles invasions, comme celle des Lombards au nord ou des arabes au sud, et à l'influence des autres puissances européennes, comme celle des Francs, de l’Empire Byzantinet du Saint Empire Romain germanique. Le Christianisme permet aux deux mondes inconciliables de coexister, celui latino-romain des populations italiennes et celui germanique des envahisseurs. Une telle fusion est instable Outre-Alpes et il faudra des siècles avant de trouver un équilibre tel qu'il existe en France et qui une fois atteint mène à des sommets de culture et de spiritualité.

Il ne faut penser uniquement aux innovations technologiques mais au foisonnement des universités comme lieu non seulement de diffusion mais de recherche du savoir. La culture n'a pas disparu même pendant les siècles les plus obscurs, d'abord avec les monastères clunisiens puis avec les Cisterciens qui l'ont jalousement conservée. Les monastères médiévaux s'emploient à garder le savoir de tout type, de la littérature paganiste (classiques grecs et latins) aux textes scientifique arabes ou de philosophie gréco-romaine, mathématique et médecine. C'est aussi grâce à la clairvoyance des moines médiévaux qu'ont pu éclore les siècles de l'ère moderne.

Dans le Sud, au XI° siècle, l’invasion des Normands conduits par Guillaume de Hauteville remplace l'Emirat de Sicileréussit à créer un Royaume Chrétien, moderne, efficace et fortement centralisé grâce à un étroit contrôle du territoire sur le mode Capétien. Le Royaume de Siciles passe aux dynasties des Angevins, issu de Charles I° d'Anjou, frère de Saint-Louis, puis aux Aragonais à partir du XIII° siècle. Au centre nord de l'Italie, on assiste à une disparition progressive du féodalisme et à l'émergence de villes libres et républiques dès le X° siècle, qui acquièrent leurs indépendances, comme la République de Vensie ou le Duché de Milan. Beaucoup d'autres indépendances naîtront comme le Grand Duché de Toscane ou le Duché de Modène, qui se détache, à la fin du XIII° sièclede l'influence du Saint Empire Romain Germanique. Mais la reine des républiques maritimes qui s'affirmera en première puissance économique et militaire du bassin méditerranéen est la Sérénissime République de Venise.

La Couronne de fer (Corona Ferrea) va devenir le symbole de la Monarchie en Italie. C'est est une des plus anciennes couronnes conservées à ce jour. Cette couronne de style byzantin aurait été réalisée selon la légende en 591 sur l’ordre de Théodelinde de Bavière. Elle est constituée d'un large bandaeu gémmé et d'un cercle de fer interne réputé avoir été forgé à partir d'un des clous de la passion issu de la Vraie Croix, fondu pour la circonstance, ce qui en fit un précieux reliquaire. Elle est l'un des plus forts symboles de la Royauté italienne depuis le Moyen Âge. Elle est conservée dans la cathédrale de Monza.

Elle a été utilisée tout d'abord par les Rois Lombards d'Italie. Après la chute de leur capitale Pavieet la destruction de leur Royaume par Charlkemagne, ce dernier prendra le titre de Roi des Francs et des Lombards, Gratia Dei Rex Francorum et Langobardorum le 10 juillet 774, la couronne servant au sacre de ce dernier. Les Carolingiens puis les Empereurs Germaniques, étant ou se concevant comme les héritiers de Charlemagne, l'utilisent ensuite jusqu'au XVI° siècle lors de leur sacre comme Roi d'Italie. Le dernier empereur germanique à l'avoir ceinte est Charles Quint, à Bologne, en Février 1530.



3. Le Royaume Carolingien d'Italie (855-962).



Depuis le baptême de Clovis en l’An 496, le Roi de France a pour mission de défendre le Bien Commun et la foi Catholique. Le Royaume de France est un Royaume Très Chrétien. Il accompli la Geste de Dieu par les Francs. Avec Charlemagne, c’est tout l’Empire Romain reconstitué qui se doit d’être Très Chrétien : on le nomme pour cela Saint-Empire Romain. Le but du Saint-Empire est ainsi l’extension de la Chrétienté, tel est le noyau de l’Ordinatio Imperii, constitution du Saint-Empire formée à partir des Lois Fondamentales du Royaume de France.

L’Empereur gouverne avec une grande sagesse tous ses États, envoyant partout ses missi dominicipour contrôler les actes et les jugements des Gouverneurs. La prospérité renaît, la population se multiplie, les villes et les villages se développent et pour assurer les communications, l’Empereur établit un réseau de routes, construit des ponts, etc…

L’Empereur signe ses Capitulaires “Charles sous le règne du Christ”, “ Royal sacerdoce qui s’étend sur le monde antique.

Le Royaume de Lombardie, conquis par Charlemagne, n'échappe à la règle.

Dans l’Ordinatio Imperii, on retrouve la Loi de sucession mâle, à l’exclusion perpétuelle des femmes et de leur descendance, la Loi de Naissance Légale dont la violation entrainera le partage de Verdun, les Lois de Catholicité, de Sacralité, d’Inviolabilité et de gouvernement par Grand Conseil.

Peu avant sa mort en 855, l'Emprereur d'Occident, Lothaire I°, prend soin de partager son empire entre ses fils par le Traité de Prum. L'aîné d'entre eux, Louis II le Jeune, reçoit le titre d’empereur et de Roi d'Italie du Nord, qui devient ainsi un nouveau Royaume d'Italie, appellé Royaume d'Italie (en latin, regnum Italicum), le Sud étant appellé Royaume de Naples et des Dexu Siciles.

Donc résumer, au Sud se trouve le Royaume des Deux Siciles. Au Nord se trouve le Royaume d'Italie, qui est une dépendance du Saint Empire Romain Germanique.
À la mort de Lothaire I° en 875, son oncle Charles II le Chauvehérite à son tour de la couronne impériale et du Royaume d'Italie, dont il laisse l'administration à Boson V de Provence avec le titre de vice-roi pour administrer diretment la Francia Occidentalis, qui deviendra par la suite le Royaume des Francs puis le Royaume de France. En 877, ce dernier rappelé par Charles II en France, confie le domaine à son frère Richard II de Bourgogne le Justicier. Après la disparition de Charles le Chauve, le pape Jean VIII propose successivement la couronne d'Italie et le titre d'Empereur à Louis Le Bègue, puis à Boson qui refusent. C'est finalement Charles III le Gros qui accepte l'offre avant d'abdiquer en 888.

Béranger I° de Frioul est élu Roi d'Italie à Pavie. Battu l'année suivante par Guy III de Spolète, celui-ci est couronné le 12 Février 889 et il oblige le pape Formose à désigner son fils Lambert comme héritier. À la mort de Guy en 894, Formose se rétractera et appèlera Arnulf de Carinthie à la rescousse. Arnulf fera reconnaître Bérenger de Frioul comme vassal et successeur. Bérenger récupèrera donc son trône pour la seconde fois en 898. Mais les invasions hongroises pousseront les féodaux du Royaume à faire appel à Louis III l'Aveugle qui chassera Bérenger en l'an 900, et ceindra la couronne impériale le 22 Février 901. Revenu avec des forces en nombre, Bérenger réussit à le chasser à son tour d'Italie en 902. Il restera cette fois-ci sur le trône durant 20 ans, proclamant même Empereur des Romains en 915. Mais les conflits avec les féodaux perdurèrent durant son règne.

Ces derniers demandèrent alors à Rodolphe II de Bourgogne d'intervenir. Couronné Roi à Pavie, il vainc Bérenger à Plaisance en 923, avant que celui-ci ne soit assassiné l'année suivante, meurtre peut-être commandité par Rodolphe lui-même. La Noblesse italienne toujours aussi turbulente se retourne contre lui et demande à Huges d'Arles de prendre la place de Rodolphe II en 926. En 945, une rébellion menée par Bérenger II d'Ivrée pousse Hugues d'Arles à abandonner le trône d'Italie au profit de son fils Lothaire d'Arles qui ne règnera finalement jamais dans les faits, Bérenger II l'ayant fait emprisonner et assassiner en 950.

À la mort de Lothaire, le Roi de Germanie Otthon I° le Grand devient Roi d'Italie aux dépens de Bérenger II qui se révolte en 951. La veuve de Lothaire d'Arles, Adélaïde de Bourgogne et d'Italie, héritière du royaume et fille de Rodolphe II de Bourgogne, retenue elle aussi prisonnière par Bérenger, épouse Otton I°. Bérenger II est alors contraint de reconnaître la suzeraineté d'Otton en 952, et devient Vice-Roi. Il se rebelle de nouveau en960 et souhaitant étendre sa domination sur l'ensemble de la péninsule, il s'attaque au pape Jean XII qui fait appel à son tour à Otton I°.


4. Le Royaume germanique d'Italie (962-1803).



Pendant des siècles, par la force de l’habitude, l’Eglise conservera l’idée d’un Empire universel Chrétien dont l’Empereur serait la réplique temporelle du pontife romain Catholique : c’est ce qui est histotiquement arrivé avec le Saint-Empire Romain et Francdes Carolingiens, qui porta UNE FOI, UN ROI, UNE LOI de la Catalogne à la Pologne. La chute du SAINT EMPIRE ROMAIN ET FRANC des Carolingiens et l’avènement du Saint-Empire Romain Germanique n’a été utile que pour l’évangélisation de l’Europe Centrale : pour le reste, ce ne sera que Lutte des Investitures et conflits entre Sacerdoce et Empire, portant à des luttes intestines dans toute l’Europe, et en premier lieu sur le sol italien.


Jaques Cassan, conseiller de Louis XIII, dans son livre La recherche des droits du Roi et de la Couronne de France sur les Royaumes, Duchés, Comytés, villes et pays… (éd. Nicolas Trabollet, Paris, 1634, 2t. En 1 vol.), les Allemands ont usurpé après le Partage de Verdun l’Empire Franc de Charlemagne et donc... le Royaume d'Italie !!!
Pour la première fois, après l’hérédité Otthonienne –Othon I° descend de Louis le Germanique, la Princesse Otthonienne Edwige, mère d’Hugues Capet est la fille d’Otthon I° et la soeur d’Otthon II, ce qui fait d’Hugues Capet le cousin germain d’Otthon III, garantie de paix entre la France et l’Empire, et les Otthoniens reprendront ainsi à leur compte toute la politique Carolingienne- les principes d’élection du Roi vont être fermement codifiés, évitant par la suite les doubles élections et même, à partir de 1002, l’hérédité Royale.

Après que le roi de Germanie Otthon I° eut renversé en 951 le dernier Roi d'Italie, Bérenger II de la Maison d'Ivrée, ses successeurs Empereurs Romains germaniques reprirent traditionnellement ce titre jusqu'à la fin du Saint Empire.

A. Résistance à l'autorité imériale.

Il faut noter cependant qu'il y eut plusieurs tentatives de la part de la Noblesse de l'Italie d'échapper à la tutelle des Rois de Germanie, tentatives d'une conscience d'appartenir à une communauté, en face de souverains étrangers.

À la mort de l'empereur Otthon III en 1002, le Marquis Arduin d'Ivrée se fait couronner Roi d'Italie, le 15 Février de cette année, en l'église Saint-Michel de Pavie. L'empereur Saint Henri II le Germanique prit la route de l'Italie en mars 1004 et se fait couronner Roi d'Italie. Vaincu une nouvelle fois, après une nouvelle tentative de prise de pouvoir à l'été 1004 déposa sa couronne Royale sur l'autel du monastère de Fruttuaria qu'il avait comblé de ses bienfaits avant d'y devenir moine et d'y mourir le 14 Décembre 1015.

À la mort de l'empereur Saint Henri II en 1024, la Noblesse lombarde, dirigée par le marquis de Turin Manfred II, fait appel au Roi des Francs Robert II, lui offrant la couronne à lui ou à son fils, Hugues. Ayant essuyé une fin de non-recevoir, leurs envoyés se rendent à la cour du Duc d'aquitaine Guillaume V, qui marié à une petite-fille du Roi Adalbert, accepte la couronne pour son fils homonyme Guillaume. Cependant, le projet échoura à cause des demandes excessives de la Noblesse lombarde.
En 1037, l'empereur Conrad II doit rétablir son autorité en Italie, l'archevêque Aribert de Milan ayant offert la couronne d'Italie au comte Eudes de Blois. La mort de ce dernier le 15 Novembre 1037 à Commercy marqua la fin des tentatives pour donner à l'Italie un Roi distinct du Roi de Germanie et Empereur des Romains.

B. Affaiblissement de l'autorité impériale.Ce royaume d'Italie continua d'exister, au moins en théorie, jusqu'à la fin de l'Empire en 1806, ou, tout du moins, jusqu'à la réorganisation impériale de1803, et l'Archevêque de Cologne portait le titre honorifique d'Archichancelier d'Italie.

Néanmoins, l'autorité impériale en Italie s'affaiblit considérablement après la chute des Hohenstaufen au milieu du XIII° siècle, et vu ses prérogatives contestées après le Traité de Wesphalie en 1648.

Le Royaume d'Italie consistait originellement en toute l'Italie du Nord y compris les Etats Pontificaux, bien que ceux-ci en aient quelquefois été exclus, tandis que la République de Venise du fait de son origine historique n'en avait jamais fait partie.

C. Réactivation de l'autorité impériale.

L'autorité impériale se maintiendra par le biais, d'une part d'institutions, d'autre part de l'implantation patrimoniale de la Maison d'Autriche dans la péninsule. Ainsi, il subsistera jusqu’à la fin du XVIII° siècle un relais de l’autorité impériale dans la péninsule : un «Plénipotence» d’Italie, installée le plus souvent à Milan. Son chef (Plenipotentiarius, commissarius cæsareus) et le procureur (Fiscalis imperialis per Italiam) qui l’assiste sont nommés par l’Empereur. Même à l’époque moderne, il s’en faut que les droits impériaux en Italie soient devenus insignifiants. Et comme jadis au temps des Staufen régnants sur le Royaume des Deux-Sicles, ils ont été « réactivés » à diverses reprises par l’implantation patrimoniale des Habsbourg dans la péninsule.

C’est par l’effet d’une mise au ban de l’Empire des Princes coupables d’avoir embrassé le parti Français pendant la Guerre de Sucession d'Espagne, que les possessions des Conzagues (Mantoue et Castiglipone) seront transférées à la Maison d’Autriche (1707).

Le rite de l’investiture d’Empire demeura la règle dans la plus grande partie du «Royaume d’Italie», à chaque mutation successorale de la famille régnante ou à chaque avènement impérial. Les successions de Toscane(1718 et 1737), Parme (1718-1723) et Modène(1771) seront réglées sur la base de leur qualité de fiefs d’Empire. En 1755, la Maispon de Savoie verse ainsi pour l’investiture du Piémont et de ses autres possessions 85.000 florins de taxes féodales à la chancellerie viennoise, tandis que les quatre États (Grand-Duché de Toscane, Duché de Parme, République de Gène et Duché de Lucques) sur lesquels les droits impériaux ont fini par devenir les plus contentieux, ne s’en acquittent pas moins des contributions militaires levées au XVIII° au nom de l’Empire.

La souveraineté judiciaire de l’Empire ne cessera pas de s’exercer en Italie : durant les vingt-cinq années du règne de Joseph II, quelque 150 procès italiens seront en instance au Conseil Aulique (« Reichshofrat »). Ces faits soulignent la pérennité au sein du Saint-Empire de cette Italie, que les atlas historiques éliminent parfois à partir du milieu du XVIII° siècle de la carte impériale.



5. Le Royaume Napoléonnien (1805-1814).



En 1805, la République italienne est transformée en Royaume d'Italie et Napoléon I° en devient le Roi. Lorsqu'il convertit, à son profit, la République Italienne en Royaume d'Italie, Napoléon I° fait le voyage jusqu'à Milan pour y être couronné. Il reçoit la Couronne de Fer le 26 mai 1805. Cette même année, il fonda l'Ordre de la Couronne de fer.

Le beau-fils de Napoléon I°, Eugène de Beauharnais, y est envoyé comme Vice-Roi, jusqu'en 1814. Après la chute de Napoléon, un Royaume Lombardo-Vénitien est constitué sous la suzeraineté de l'Empereur d'Autriche François I°.

Après la chute de Napoléon, l'Ordre sera repris par les empereurs d'Autriche, comme Rois du Royaume Lombardo-Vénitien. Les Autrichiens, feront de la Couronne de Fer le symbole officiel du Royaume, figurant sur ses armes et ses monnaies. L'empereur Ferdinand I° d'Autriche viendra d'ailleurs la recevoir à Milan le 6 Septembre 1838. Pendant les guerres austro-piémontaises, elle est transférée à Vienne.



6. Le Royaume d'Italie contemporain (1861-1946).



En 1861, le Roi de Piémont-Sardeigne Victor-Emmanuel II de Savoie est proclamé Roi d'un nouveau Royaume d'Italie, comprenant toute l'Italie unifiée, à la suite de l'annexion par du Piémont-Sardeigne du Royaume Lombardo-Vénitien, du Grand-Duché de Toscane, du Duché de Modène, du Duché de Parme, du Royaume des Deux-Siciles et des Eats Pontificaux : c'est le Risorgimento. Ce nouveau Royaume d'Italie est anti-clérical et d'essence maçonnique, comme le dira le Comte de Chambord dans ses mémoires, s'étant construit contre les droits de l'eglise catholique.

Le Royaume d'Italie a initialement pour capitale Turin, capitale du Royaume de Piémont-Sardeigne, puis celle-ci sera déplacée à Florence en 1865. Venise est annexée en 1866, Rome en 1870 où la capitale est transférée en 1871. La Maison de Savoie régnera sur l'Italie jusqu'à la proclamation de la république en 1946.
Le Royaume d'Italie, privé de Nice et de la Savoie, cédées à Napoléon III en échange de son aide militaire contre les autrichiens en 1860, est issu de la volonté de la Noblesse italienne d'unifier la péninsule italienne pour reconstituer lantique empire Romain.

La période du règne de Victor-Emmanuel II, qui va de 1859 à 1861, est aussi appelée « Victor-Emmanuel II Roi Élu » ce qui désigne bien la manière dont il a accédé au trône d'Italie. En effet, en 1860, le Souverain du Royaume des Deux-Siciles, François II, se voit proposé la Couronne d'Italie, ce qu'il refuse, ne voulant pas être “le Roi Légitime de la Révolution”. Le Comte de Chambord reprendra l'expression en 1873 pour sa renonciation au Trône de France.

En janvier 1861, ont lieu les élections du premier parlement unitaire. Avec la première convocation du Parlement italien le 18 Février 1861, le refus de François II des Deux Siciles et la proclamation du 17 mars, Victor-Emmanuel II devient le premier Roi d'Italie. Le Statutto Albertino, sorte de charte constitutionnelle, prévoie la même Monarchie constitutionnelle qu'il y a en espagne à l'heure où nous écrivons. En 1866, à la suite de la III° Guerre d'Indépendance, la Vénitie et Mantoue, soustraits à l'empire d'Autriche, sont annexés au Royaume. En 1870, avec la prise de Rome, le Latium est annexé au Royaume, soustrait définitivement aux Etats Pontificaux. Rome devient officiellement la capitale d'Italie (comme l'avaient été auparavant Turin et Folrence).

Le Royaume d'Italie est gouverné par Humbert I° (1878-1900), un homme décrit comme coureur et joueur par les révisionistes républicains, et bientôt assassiné dans un attentat de l'anarchiste Gaetano Bresci, puis par Victor-Emmanuel III (1900-1946), le Roi-Soldat. Avec ce dernier, en 1919, sont unis au Royaume d'Italie le trentin, le Haut-Adige, Goritz et le Frioul Orietal, l'Istrie, Trieste et Zara (Zadar). Fiume (Rijeka) est uni au Royaume en 1924.

En raison de la crise économique et politique qui suit la guerre, l’Italie connaît une série d’agitations sociales et les gouvernements libéraux, trop faibles, ne sont en pas mesure de les contrôler. Dans le pays, il y a la crainte d’une révolution communiste comme celle de la Russie et la Noblesse italienne craint d’être destituée par les idées libérales et socialistes. Ces raisons historiques conduisent à l’affirmation d’idéologies autoritaires qui, soutenues par la Monarchie, permettent l’ascension du fascisme.
Au cours de cette période (1022-1943) nommé ventennio, Victor-Emmanuel III accepte tout, le coup d'état que constitue la Marche sur Rome (1922) alors qu'il a la possibilité de faire intervenir la troupe comme le lui conseillent certains ministres, les Lois Sociales fascistes, le simulacre d’opposition parlementaire et la mainmise du Grand Conseil du Fascisme sur toutes les questions importantes, même constitutionnelles : c'est comme si en Espagne, de nos jours, un Président du Conseil Franquiste prenait le pouvoir au côtés d'un Roi constitutionellement faible.

L’alliance de l'Italie avec l’Allemagne nazie conduit le pays à entrer dans la seconde Guerre Mondiale. Le manque de moyens militaires du pays aboutit à une série de désastres : l’Empire Colonial Italien en Afrique est démantelé lors des campagnes d'Afrique. Le pays connaît une crise économique sans précédent. En 1929, sont signès les accords de latran qui instituent un Concordat et la reconaissance de la Cité du Vatican comme Etat indépendant et Souverain : le Vatican est la ressurection des Etats de l'Eglise.

En 1943, les alliés débarquent en Sicile, marquant le départ de la Campagne d'Italie. Toute la politique de Victor-Emmanuel III va être axée vers la sauvegarde de la Monarchie : il révoque Benito Mussolini le 26 juillet 1943 puis accepte l'Armisitce de Cassible le 3 septembre. Les Allemands réagissent et réinstallent le Duce au pouvoir en tant que chef de la République Sociale Italienne (RSI), dite République de salo parce que sa capitale est fixée à Salo, en Lombardie, sur le Lac Majeur.

La Famille Royale et le gouvernement de Pietro Badoglio se réfugient dans le Sud, ce que les révisiuonistes républicains feront passer pour une fugue. Le Royaume d’Italie, qui a déclaré la guerre aux Allemands qui occupaient la partie nord de la péninsule, est en situation de guerre civile entre le Royaume d'Italie, situé sur l'ancien espace géographique du Royaume des Deux-Siciles, et la République de salo, située sur l'ancien espace de la Rèpubloique italeinne de Bonaparte, et ravagée par le conflit. Victor-Emmanuel III cède ses prérogatives Royales à son fils le Prince Humbert II, le 4 mai 1944 : ce dernier mne rpgnera qu'iun moi, d'où son surnom de “Roi de Mai”.

Après la période fasciste et la fin de la Seconde Guerre Mondiale, l'Istrie, avec Fiume et Zara sont cédés en 1947 à la Yougoslavie. Le Royaume d'Italie, dirigé par Humbert II d'abord comme lieutenant Général du Royaume (1943-1946) puis pour à peine plus d'un mois comme Roi à la suite de l'abdication de Victor-Emmanuel III, se termine avec la proclamation de ce que Gianni Agnelli appellera unr “République Banannière” après la proclamation après le référendum du 2 Juin 1946, que beaucoups Outre-Alpes disent certainement truqué (la Monarchie aurait gagné de peu), mais qui signe l'exclusion de la Maison de Savoie de l'Italie après 85 ans de règne.



7. Le futur de l'Italie selon les prophéties : le Grand Monarque, Roi de France et d'Italie.



Saint Méthode, évêque et martyr sous Dioclétien, annonce :

-Lorsqu’on y pense le moins, il s’élève un Roi des Romains de sang Français, qui porte heureusement les armes contre ces orgueilleuses multitudes (les musulmans). La valeur et le jugement se trouvent partout avec lui, triomphant de toute leur gloire. Ce Grand Monarque protège le pape et le seconde avec de glorieux succès dans la Terre Sainte. La joie de ces infidèles se change en pleurs et en gémissements…L’Egypte est désolée, l’Arabie brulée et les villes maritimes pacifiées…il s’ensuit une paix admirable, et telle qu’elle n’a jamais été vue…

SA MISSION

Elle sera triple :

-Chasser les envahisseurs de l’Europe (les musulmans et les forces de l’ex-Urss) et rétablir la paix à partir d'une France redevenue Catholique et Royale.
-Rétablir le Pape à Rome dans ses prérogatives de chef de l’Eglise, qui sera rénovée dans le sang des martyrs : celà vaudra au Roi de France de recevoir la Couronne d'Italie. Il y aura à cette époque une grande crise dans l’Eglise due à un anti-pape, qui provoquera un schisme avec l’autorité légitime.
-Délivrer les lieux saints de Jérusalem d'une nouvelle et imprévue domination arabe, car Israël pourrait perdre le contrôle du pays à un certain moment et être submergé par les musulmans.

D'après Nostradamus, HENRI, Heinric, Chiren, Cyrénéen, le Lys qui aide à porter le poid DE LA CROIX, à peine couronné Roi de France sous le nom d'Henri V de La Croix (comme il y eut un Philippe VI de Valois), va chercher le Grand Pontife dans un monastère de l'Ordre des carmes déchaussés, puis il part avec lui en Italie, pour l'installer à Rome. Là, beaucoup de difficultés les attendent, du fait d'un schisme et d'un antipape. Chassant l'envahisseur ruso-arabe de la péninsule italique, les italiens lui donneront la Couronne de Fer.

N'ayant ni armée, ni armements, on comprend mal comment il réussira à repousser l'envahisseur russo-arabe. C'est le Ciel qui l'aidera, grâce à des interventions surnaturelles.

Et encore (Cent CI-7) : « Le Chef Romain sera découvert issu du Sang Français » Ce qui implique que, ou bien le pape sera du Sang Capétien, ou qu'un Capétien viendra règner en Italie avec l'assentiment du pape. « Du Vatican, le Sang Royal tiendra. » (VI-12).

Selon David Pareus, le chef d'une cohalition ruso-arabe envahira la France et subjuguera les espagnols et les italiens. Il détruira et brulera Rome et Florence, et l'on pourra semer le sel sur leur emplacement. Un Chef apparaîtra en France quans les amis de l'Eglise se trouveront dans le consternation et tellement persécutès qu'ils devront prendre les armes pour se défendre. Ce Monarque Français tout puissant viendra avec la puissance de Dieu dètruire le Rèpublique de fond en comble et emploira son zèle en faveur de la vraie Eglise du Christ : les hérésies seront réléguées en enfer, l'empire des turcs sera brisé et le Grand Monarque règnera en Italie.

La Prophétie Emilienne dit qu'arrivera d'Occident le Roi de grand renom qui doit détruire l'empire des Turcs. En ce temps-là, malheur à l'Italie ; trois armées fondront sur elle : l'une venant de l'Orient, l'autre du Nord, l'autre de l'Occident. Il y aura une telle effusion de sang, que l'Italie n'en aura jamais vu de pareille depuis le commencement du monde. Le Pontife sera ramené par le Grand Monarque à qui il donnera la Couronne d'Italoie. Toutes les vertus refleuriront dans l'Eglise de Dieu, surtout dans le sacerdoce. Puis la secte de Mahomet sera détruite...

Dans l’extase du 29 septembre 1879, Marie-julie Jahenny reçoit de Saint Michel un message qui nous que le Grand Monarque, peu de temps après avoir été couronné Roi de France et avoir pacifié le Royaume en sept mois, devra descendre en Italie sauver la pape. L'Italie sera envahie par les même ennemis chassès de la France. Le Grand Monarque sauvera l'Italie et l'Eglise et les italiens voudront lui donner la Couronne de Fer, symbole des Rois d'Italie : le Grand Monarque Henri V de la Croix sera Roi de France et d'Italie, comme à l'époque de Charlemagne, et il sauvera le pape d'un shisme qu'un anti-pape aura voulu déclancher en Italie et aidera le saint Pontife à sauver l'Eglise. Pour le remercier, le pape donnera à henri V de La croix le titre de Roi des Romains et d'Empereur des Chrétiens.

La prophétie de Plaisance : « Bientôt un oiseau gigantesque surgira comme du sommeil ; redoutable par le bec et l'ongle... il dévorera les entrailles iniques du dragon (la révolution satanique). Il jettera à terre les couleurs gauloises (le drapeau tricolore). Il rétablira les Rois dans leurs propres possessions. Il y aura en Italie un Pasteur, homme juste et équitable, né dans la terre de Galatie (la Gaule ou France). La concorde surgira dans le monde entier ; il n'y aura plus qu'une seule Foi. Un seul Prince régnera sur toutes choses.


Conclusion.



Immaginer qu'un Bourbon régnant en France puisse aller également régner en Italie n'est pas si absurde que celà, les Bourbons ayant jadis régné à Parme et à Naples. Le futur Grand Monarque HENRI V DE LA CROIX est-il apparenté aux Bourbons-Parme et aux Bourbons-Siciles ? il serait alors l'héritier des Hauteville de Sicils, des Anjou de Naples, des Bourbons de Naples-et-des-Deux-Siciles et des Bourbons-Parme, seraita paarenté avec les Habsbourg et les Savoie et serait alors mieux accuilli par la Noblesse transalpine...





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Message par Hervé J. VOLTO Mar 7 Avr 2020 - 14:59

De vise du royaume d'Italie : AVANTI SAVOIA ! par les officiers du Royaume de Sardaigne (jusqu'à 1860) et le Royaume d'Italie (jusqu'à 1946).
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