CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
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CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Bryand Lun 5 Oct 2020 - 11:56
« Fratelli tutti »: le texte complet de la 3e encyclique du pape François
https://fr.zenit.org/2020/10/05/fratelli-tutti-le-texte-complet-de-la-3e-encyclique-du-pape-francois/
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Idéal : trouver la manière de dire / défendre le pape François de la mauvaise médiatisation qui le calomnie et des baptisés infidèles qui ne lui portent pas allégeance et qui se laissent influencer par les mauvais média / IL Y A DEUX VATICAN II: le vrai, béni par Dieu et le faux: celui des mauvais média qui sont nombreux à brouiller les pistes...
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Invité Mar 6 Oct 2020 - 19:49
Un résumé de la nouvelle encyclique du Pape sur la `` fraternité humaine ''
Fratelli Tutti promeut la `` gouvernance mondiale '' en matière de migration, dit qu'il est nécessaire d'empêcher les Nations Unies `` d'être délégitimées '', et double l'opposition du pape à la peine de mort. Cela suggère également que les adhérents à toutes les religions sont bénéfiques pour la société.
VATICAN CITY, 5 octobre 2020 ( LifeSiteNews ) - Dans sa nouvelle encyclique, le pape François appelle à un «nouveau monde» dans lequel tous les hommes et toutes les femmes sont frères et sœurs.
Le long document - 287 articles répartis en 8 chapitres - transmet la philosophie de la «fraternité» du pontife argentin et son rêve d'un monde dans lequel chacun traite chacun comme s'il était membre d'une «famille unique».
Son sujet allant du consumérisme à la peine capitale, les principales sources de Fratelli Tutti sont les propres discours et interviews du pape François. Accompagné de références à sa récente collaboration avec le Grand Iman Ahmed Al-Tayyeb, l'œuvre ne s'adresse pas spécifiquement aux chrétiens mais à «toutes les personnes de bonne volonté».
La portée du P. Atelli Tutti est presque entièrement mondaine, c'est-à-dire qu'il se concentre sur cette vie terrestre, ne dirigeant le regard de ses lecteurs vers l'éternité que dans le dernier chapitre. Là, tout en affirmant aussi la foi chrétienne en l'Évangile, le pontife parle en solidarité avec les personnes d'autres religions du «Père de tous» comme fondement de la dignité humaine.
«En tant que croyants, nous sommes convaincus que, sans une ouverture au Père de tous, il n'y aura pas de raisons solides et stables pour un appel à la fraternité», écrit François puis cite Benoît XI.
«Nous sommes certains que« ce n'est qu'avec cette conscience que nous ne sommes pas orphelins, mais des enfants, que nous pourrons vivre en paix les uns avec les autres ».
Un début sobre
Le chapitre 1 , intitulé «Dark Clouds Over a Closed World», révèle que le pape François croit que le monde «régresse»: conflits renouvelés, nationalisme, économies mondiales qui «imposent un modèle culturel unique», perte du sens de l'histoire, nouvelles formes de colonisation culturelle, polarisation politique, COVID-19 et indifférence à la fois aux étrangers et aux catastrophes environnementales.
«Dans le monde d'aujourd'hui, le sentiment d'appartenance à une seule famille humaine s'estompe, et le rêve de travailler ensemble pour la justice et la paix semble une utopie dépassée», écrit Francis.
Le Pape met en garde contre «les exemples de nationalisme myope, extrémiste, rancunier et agressif sont en augmentation. Dans certains pays, un concept d'unité populaire et nationale influencé par diverses idéologies crée de nouvelles formes d'égoïsme et une perte du sens social sous prétexte de défendre les intérêts nationaux.
«Certains régimes politiques populistes, ainsi que certaines approches économiques libérales, soutiennent qu'un afflux de migrants doit être empêché à tout prix», dit-il.
Le pontife condamne les disparités économiques, la lutte des femmes pour l'égalité des droits, l'esclavage, le trafic sexuel et les prélèvements d'organes, et le «monde du jetable» qui considère les enfants à naître et les personnes âgées comme consommables, entre autres maux. Il discute également de la peur et des souffrances des migrants et des résultats de la réduction de l'aide étrangère. Il consacre un passage à la communication numérique qui, selon lui, viole la vie privée, répand la haine et facilite une forme d'agression sociale.
Il critique certaines plateformes de médias sociaux comme «des circuits fermés [qui] facilitent la diffusion de fausses nouvelles et de fausses informations, fomentant les préjugés et la haine».
«Nous devons également reconnaître que des formes destructrices de fanatisme se retrouvent parfois parmi les croyants religieux, y compris les chrétiens; eux aussi «peuvent être pris dans des réseaux de violence verbale via Internet et les différents forums de communication numérique. «Même dans les médias catholiques, les limites peuvent être dépassées, la diffamation et la calomnie peuvent devenir monnaie courante, et toutes les normes éthiques et le respect de la réputation d'autrui peuvent être abandonnés», a écrit Francis.
Le chapitre 2 , intitulé «Un étranger sur la route», présente la parabole de Jésus sur le bon Samaritain et retrace le développement, dans le judaïsme, de la reconnaissance croissante que les étrangers et les étrangers sont des «voisins». Le pape François attire également l'attention sur la déclaration de Jésus selon laquelle quiconque accueille un étranger l'accueille et se demande comment les chrétiens peuvent ignorer cela.
«... [L] voici ceux qui semblent se sentir encouragés ou du moins autorisés par leur foi à soutenir des variétés de nationalisme étroit et violent, de xénophobie et de mépris, et même les mauvais traitements infligés à ceux qui sont différents», écrit-il.
«La foi, et l'humanisme qu'elle inspire, doit maintenir un sens critique face à ces tendances et susciter une réponse immédiate chaque fois qu'elles relèvent la tête.
«Paradoxalement, ceux qui prétendent être des non-croyants peuvent parfois mettre en pratique la volonté de Dieu mieux que les croyants», écrit-il.
'Liberté, égalité et fraternité'
Le chapitre 3 , intitulé «Imaginer et engendrer un monde ouvert», commence par une contemplation de la charité, qui s'écarte d'une conception catholique traditionnelle de la charité qui est avant tout l'amour de Dieu. Au contraire, pour le Pape François, il affirme que l'épanouissement humain consiste à être un «cadeau sincère aux autres».
Le pape François écrit sur la façon dont l'amour attire les gens hors d'eux-mêmes vers les autres. L'amour «nous pousse finalement à la communion universelle» et traverse les régions et les frontières.
Il critique «certains croyants» qui «pensent que [l'amour] consiste en l'imposition de leurs propres idéologies à tout le monde, ou en une défense violente de la vérité, ou en des démonstrations impressionnantes de force».
Certains lecteurs peuvent être surpris par le sous-titre « Liberté, égalité et fraternité », que le pontife emploie apparemment sans ironie et certainement sans référence explicite à la Révolution française anticatholique et ultra-violente. Au lieu de cela, François avertit simplement que la liberté sans fraternité est un libertinage appauvri et que l'égalité ne peut résulter que de la fraternité.
François prône «un amour universel qui promeut les personnes» et reconnaît la valeur de chaque personne, son droit de vivre dignement et de se développer intégralement, peu importe où et comment ils sont nés.
«Tout être humain a le droit de vivre dans la dignité et de se développer intégralement; ce droit fondamental ne peut être nié par aucun pays », écrit-il.
«Les gens ont ce droit même s'ils sont improductifs, ou sont nés avec ou ont développé des limitations. Cela n'enlève rien à leur grande dignité en tant que personnes humaines, dignité fondée non pas sur les circonstances mais sur la valeur intrinsèque de leur être. À moins que ce principe de base ne soit respecté, il n’y aura d’avenir ni pour la fraternité ni pour la survie de l’humanité. »
Le pontife appelle non seulement au bien-être matériel de chaque personne, mais aussi à la promotion de son bien moral. Il encourage la promotion de la «solidarité», qui «trouve une expression concrète du service». Cependant, il revient dans le chapitre sur le sujet de la pauvreté matérielle, citant le dicton de St. John Chysostom selon lequel ne pas partager avec les pauvres, c'est les voler. Pendant ce temps, François soutient que les droits humains fondamentaux ne doivent pas être entravés par les frontières.
Le pontife suggère que le droit des nations à leur propre richesse n'est pas absolu. «Le droit à la propriété privée s'accompagne toujours du principe premier et préalable de la subordination de toute propriété privée à la destination universelle des biens de la terre, et donc du droit de tous à leur usage», écrit-il. «Le droit de certains à la libre entreprise ou à la liberté du marché ne peut pas remplacer les droits des peuples et la dignité des pauvres, ni, d'ailleurs, le respect de l'environnement naturel», ajoute-t-il.
«Vu du point de vue non seulement de la légitimité de la propriété privée et des droits de ses citoyens, mais aussi du premier principe de la destination commune des biens, on peut alors dire que chaque pays appartient aussi à l'étranger, en tant que territoire les biens ne doivent pas être refusés à une personne dans le besoin venant d'ailleurs. »
Le pape François appelle à un «nouveau réseau de relations internationales, car il n'y a aucun moyen de résoudre les graves problèmes de notre monde si nous continuons à ne penser qu'en termes d'entraide entre individus ou petits groupes». Les inégalités, dit-il, touchent non seulement des individus mais des pays entiers et donc «elles nous obligent à envisager une éthique des relations internationales».
`` Une forme de gouvernance mondiale '' en matière de migration
Le chapitre 4 , intitulé «Un cœur ouvert sur le monde entier», revient sur le sujet de la migration. Alors que le Pape François estime que les «migrations inutiles» doivent être évitées, il dit en général que les migrants doivent être accueillis, protégés, promus et intégrés par les pays d'accueil. Il envisage le développement d'une «forme de gouvernance mondiale» en matière de migration.
Cette section plaide pour la préservation de cultures uniques mais aussi pour leur enrichissement et leur renouvellement par l'ouverture aux étrangers. Le pape François soutient que nous ne pouvons accepter les autres que si nous sommes fermement enracinés dans nos propres pays et ne méprisons pas qui nous sommes. En même temps, il croit que nous ne devrions pas accepter les immigrants en fonction des avantages qu'ils apportent à nos pays, mais parce que c'est une bonne chose à faire.
Bien que la plupart de ses réflexions sur la migration soient du point de vue du migrant, le Pape François suggère que les pays d'accueil ont des nuances que les migrants n'apprécient pas immédiatement: «L'expérience d'être élevé dans un lieu particulier et de partager une culture particulière nous donne un aperçu aspects de la réalité que les autres ne peuvent pas si facilement percevoir », note-t-il.
Le Pape critique «l'esprit d'individualisme» qu'il décrit comme le «danger de penser que nous devons nous protéger les uns des autres, de considérer les autres comme des concurrents ou de dangereux ennemis». Dans une référence politique pointue, le Pape dit: «Il y a des pays puissants et de grandes entreprises qui profitent de cet isolement et préfèrent négocier avec chaque pays séparément.
Un `` besoin '' d'empêcher les Nations Unies `` d'être délégitimées ''
Le chapitre 5 , «Un meilleur type de politique», appelle à un nouveau type de politique, «vraiment au service du bien commun». Ici, le pape François regarde le populisme et le libéralisme et trouve les deux manquants parce que ni l'un ni l'autre ne fait de place à tout le monde ni ne respecte les différentes cultures.
Pour François, la principale préoccupation des politiciens doit être l'emploi.
«Étant donné que les systèmes de production peuvent changer, les systèmes politiques doivent continuer à travailler pour structurer la société de telle sorte que chacun ait la possibilité d'apporter ses propres talents et efforts. Car "il n'y a pas de pauvreté pire que celle qui enlève le travail et la dignité du travail". »
Le pontife déclare également que «le marché, à lui seul, ne peut pas résoudre tous les problèmes» et se dit déçu que le krach financier de 2007-2008 n'ait pas inspiré la création d'une nouvelle économie.
En ce qui concerne la politique internationale, le pontife estime que les États-nations s'affaiblissent devant les grandes entreprises et espère donc toujours (comme il l'a déclaré dans Laudato Si ') «des institutions internationales plus fortes et mieux organisées, avec des fonctionnaires nommés équitablement par accord entre gouvernements nationaux et habilités à imposer des sanctions. »
Pour ce faire, le pontife estime que l'ONU et la finance internationale doivent être renforcées «afin que le concept de famille des nations puisse prendre de véritables dents». Une partie de cette réforme consisterait à ne pas permettre à quelques pays puissants d'imposer leurs revendications culturelles aux pays les plus faibles. Parlant des Nations Unies, il a déclaré: «Il faut éviter que cette Organisation ne soit délégitimée.»
Au chapitre 6 , «Dialogue et amitié dans la société», le pape François appelle à une nouvelle culture capable de transcender toutes les différences et divisions entre les personnes. Il croit que grâce au dialogue, les gens pourront arriver «à certaines vérités fondamentales qui doivent toujours être respectées. Le pontife estime que chacun doit être reconnu dans la «culture de la rencontre», avertissant que la «violence» du mépris de certaines personnes conduit à d'autres formes de violence.
Le Pape suggère que le monde peut parvenir à des valeurs éthiques universelles sans «rigidité éthique» ou «l'imposition d'un système moral quelconque, puisque les principes moraux fondamentaux et universellement valables peuvent être incorporés dans différentes règles pratiques». Il ajoute, cependant, qu '«une telle alliance exige également la prise de conscience que certaines choses peuvent devoir être renoncées pour le bien commun. Personne ne peut posséder toute la vérité ou satisfaire tous ses désirs, car cette prétention conduirait à annuler les autres en niant leurs droits.
François double la peine de mort et les peines de prison à perpétuité
Au chapitre 7 , «Sentiers de rencontre renouvelée», le pape François appelle à la fin de toute guerre et à la peine de mort. Il reconnaît que certains chrétiens sont «hésitants» sur ce deuxième point. Il ne fournit pas l'enseignement de l'Église qui a constamment soutenu la peine de mort, mais donne des exemples des Pères de l'Église primitive pour montrer une résistance précoce à cette pratique.
À propos de sa nouvelle condamnation de la peine de mort, il déclare: «Il ne peut y avoir de recul par rapport à cette position. Aujourd'hui, nous déclarons clairement que «la peine de mort est inadmissible» »et l'Église est fermement résolue à appeler à son abolition dans le monde entier.»
Comme il l'a fait dans ses remarques précédentes concernant la peine de mort, François a également condamné les condamnations à perpétuité, déclarant: «Une condamnation à perpétuité est une peine de mort secrète».
Dans le chapitre 8 , intitulé «Les religions au service de la fraternité», le pape François suggère que les adhérents à toutes les religions sont bénéfiques pour la société. «Nous, les croyants des différentes religions, savons que notre témoignage de Dieu profite à nos sociétés», écrit-il.
Il demande à son lecteur de reconnaître que les différentes religions «contribuent de manière significative à la construction de la fraternité et à la défense de la justice dans la société». Le pontife, disant qu'il parle avec des personnes d'autres confessions, déclare qu'il n'y a pas de véritable base pour la fraternité humaine sans une croyance en Dieu.
Se citant lui-même, François écrit: «En tant que croyants, nous sommes convaincus que, sans ouverture au Père de tous, il n'y aura pas de raisons solides et stables pour un appel à la fraternité. Nous sommes certains que «ce n’est qu’avec cette conscience que nous ne sommes pas orphelins, mais des enfants, que nous pourrons vivre en paix les uns avec les autres». »
Dans cette section, François promeut les amitiés entre les religions, en disant que «l'Église estime la façon dont Dieu travaille dans les autres religions».
Dans une courte section touchant au catholicisme, le pontife déclare que Marie, la Mère de Dieu, «veut donner naissance à un monde nouveau, où nous sommes tous frères et sœurs, où il y a de la place pour tous ceux que nos sociétés écartent, où la justice et la paix sont resplendissantes.
François demande la liberté religieuse pour tous. «Un droit humain fondamental ne doit pas être oublié dans le chemin vers la fraternité et la paix», écrit-il. «C'est la liberté religieuse pour les croyants de toutes les religions.»
Le pontife condamne également la haine religieuse, le terrorisme et les autres violences fondées sur la foi, affirmant que «l'adoration sincère et humble de Dieu porte ses fruits» dans le «respect du caractère sacré de la vie, le respect de la dignité et de la liberté d'autrui, et un engagement affectueux envers la le bien-être de tous. »
François termine le document par de longs passages du document d'Abou Dhabi sur la fraternité humaine, une «prière au créateur» clairement destinée au culte interreligieux et une «prière chrétienne œcuménique».
Le samedi 3 octobre, le pontife a signé l'encyclique à Assise.
https://www.lifesitenews.com/news/a-summary-of-the-popes-new-encyclical-on-human-fraternity
Fratelli Tutti promeut la `` gouvernance mondiale '' en matière de migration, dit qu'il est nécessaire d'empêcher les Nations Unies `` d'être délégitimées '', et double l'opposition du pape à la peine de mort. Cela suggère également que les adhérents à toutes les religions sont bénéfiques pour la société.
VATICAN CITY, 5 octobre 2020 ( LifeSiteNews ) - Dans sa nouvelle encyclique, le pape François appelle à un «nouveau monde» dans lequel tous les hommes et toutes les femmes sont frères et sœurs.
Le long document - 287 articles répartis en 8 chapitres - transmet la philosophie de la «fraternité» du pontife argentin et son rêve d'un monde dans lequel chacun traite chacun comme s'il était membre d'une «famille unique».
Son sujet allant du consumérisme à la peine capitale, les principales sources de Fratelli Tutti sont les propres discours et interviews du pape François. Accompagné de références à sa récente collaboration avec le Grand Iman Ahmed Al-Tayyeb, l'œuvre ne s'adresse pas spécifiquement aux chrétiens mais à «toutes les personnes de bonne volonté».
La portée du P. Atelli Tutti est presque entièrement mondaine, c'est-à-dire qu'il se concentre sur cette vie terrestre, ne dirigeant le regard de ses lecteurs vers l'éternité que dans le dernier chapitre. Là, tout en affirmant aussi la foi chrétienne en l'Évangile, le pontife parle en solidarité avec les personnes d'autres religions du «Père de tous» comme fondement de la dignité humaine.
«En tant que croyants, nous sommes convaincus que, sans une ouverture au Père de tous, il n'y aura pas de raisons solides et stables pour un appel à la fraternité», écrit François puis cite Benoît XI.
«Nous sommes certains que« ce n'est qu'avec cette conscience que nous ne sommes pas orphelins, mais des enfants, que nous pourrons vivre en paix les uns avec les autres ».
Un début sobre
Le chapitre 1 , intitulé «Dark Clouds Over a Closed World», révèle que le pape François croit que le monde «régresse»: conflits renouvelés, nationalisme, économies mondiales qui «imposent un modèle culturel unique», perte du sens de l'histoire, nouvelles formes de colonisation culturelle, polarisation politique, COVID-19 et indifférence à la fois aux étrangers et aux catastrophes environnementales.
«Dans le monde d'aujourd'hui, le sentiment d'appartenance à une seule famille humaine s'estompe, et le rêve de travailler ensemble pour la justice et la paix semble une utopie dépassée», écrit Francis.
Le Pape met en garde contre «les exemples de nationalisme myope, extrémiste, rancunier et agressif sont en augmentation. Dans certains pays, un concept d'unité populaire et nationale influencé par diverses idéologies crée de nouvelles formes d'égoïsme et une perte du sens social sous prétexte de défendre les intérêts nationaux.
«Certains régimes politiques populistes, ainsi que certaines approches économiques libérales, soutiennent qu'un afflux de migrants doit être empêché à tout prix», dit-il.
Le pontife condamne les disparités économiques, la lutte des femmes pour l'égalité des droits, l'esclavage, le trafic sexuel et les prélèvements d'organes, et le «monde du jetable» qui considère les enfants à naître et les personnes âgées comme consommables, entre autres maux. Il discute également de la peur et des souffrances des migrants et des résultats de la réduction de l'aide étrangère. Il consacre un passage à la communication numérique qui, selon lui, viole la vie privée, répand la haine et facilite une forme d'agression sociale.
Il critique certaines plateformes de médias sociaux comme «des circuits fermés [qui] facilitent la diffusion de fausses nouvelles et de fausses informations, fomentant les préjugés et la haine».
«Nous devons également reconnaître que des formes destructrices de fanatisme se retrouvent parfois parmi les croyants religieux, y compris les chrétiens; eux aussi «peuvent être pris dans des réseaux de violence verbale via Internet et les différents forums de communication numérique. «Même dans les médias catholiques, les limites peuvent être dépassées, la diffamation et la calomnie peuvent devenir monnaie courante, et toutes les normes éthiques et le respect de la réputation d'autrui peuvent être abandonnés», a écrit Francis.
Le chapitre 2 , intitulé «Un étranger sur la route», présente la parabole de Jésus sur le bon Samaritain et retrace le développement, dans le judaïsme, de la reconnaissance croissante que les étrangers et les étrangers sont des «voisins». Le pape François attire également l'attention sur la déclaration de Jésus selon laquelle quiconque accueille un étranger l'accueille et se demande comment les chrétiens peuvent ignorer cela.
«... [L] voici ceux qui semblent se sentir encouragés ou du moins autorisés par leur foi à soutenir des variétés de nationalisme étroit et violent, de xénophobie et de mépris, et même les mauvais traitements infligés à ceux qui sont différents», écrit-il.
«La foi, et l'humanisme qu'elle inspire, doit maintenir un sens critique face à ces tendances et susciter une réponse immédiate chaque fois qu'elles relèvent la tête.
«Paradoxalement, ceux qui prétendent être des non-croyants peuvent parfois mettre en pratique la volonté de Dieu mieux que les croyants», écrit-il.
'Liberté, égalité et fraternité'
Le chapitre 3 , intitulé «Imaginer et engendrer un monde ouvert», commence par une contemplation de la charité, qui s'écarte d'une conception catholique traditionnelle de la charité qui est avant tout l'amour de Dieu. Au contraire, pour le Pape François, il affirme que l'épanouissement humain consiste à être un «cadeau sincère aux autres».
Le pape François écrit sur la façon dont l'amour attire les gens hors d'eux-mêmes vers les autres. L'amour «nous pousse finalement à la communion universelle» et traverse les régions et les frontières.
Il critique «certains croyants» qui «pensent que [l'amour] consiste en l'imposition de leurs propres idéologies à tout le monde, ou en une défense violente de la vérité, ou en des démonstrations impressionnantes de force».
Certains lecteurs peuvent être surpris par le sous-titre « Liberté, égalité et fraternité », que le pontife emploie apparemment sans ironie et certainement sans référence explicite à la Révolution française anticatholique et ultra-violente. Au lieu de cela, François avertit simplement que la liberté sans fraternité est un libertinage appauvri et que l'égalité ne peut résulter que de la fraternité.
François prône «un amour universel qui promeut les personnes» et reconnaît la valeur de chaque personne, son droit de vivre dignement et de se développer intégralement, peu importe où et comment ils sont nés.
«Tout être humain a le droit de vivre dans la dignité et de se développer intégralement; ce droit fondamental ne peut être nié par aucun pays », écrit-il.
«Les gens ont ce droit même s'ils sont improductifs, ou sont nés avec ou ont développé des limitations. Cela n'enlève rien à leur grande dignité en tant que personnes humaines, dignité fondée non pas sur les circonstances mais sur la valeur intrinsèque de leur être. À moins que ce principe de base ne soit respecté, il n’y aura d’avenir ni pour la fraternité ni pour la survie de l’humanité. »
Le pontife appelle non seulement au bien-être matériel de chaque personne, mais aussi à la promotion de son bien moral. Il encourage la promotion de la «solidarité», qui «trouve une expression concrète du service». Cependant, il revient dans le chapitre sur le sujet de la pauvreté matérielle, citant le dicton de St. John Chysostom selon lequel ne pas partager avec les pauvres, c'est les voler. Pendant ce temps, François soutient que les droits humains fondamentaux ne doivent pas être entravés par les frontières.
Le pontife suggère que le droit des nations à leur propre richesse n'est pas absolu. «Le droit à la propriété privée s'accompagne toujours du principe premier et préalable de la subordination de toute propriété privée à la destination universelle des biens de la terre, et donc du droit de tous à leur usage», écrit-il. «Le droit de certains à la libre entreprise ou à la liberté du marché ne peut pas remplacer les droits des peuples et la dignité des pauvres, ni, d'ailleurs, le respect de l'environnement naturel», ajoute-t-il.
«Vu du point de vue non seulement de la légitimité de la propriété privée et des droits de ses citoyens, mais aussi du premier principe de la destination commune des biens, on peut alors dire que chaque pays appartient aussi à l'étranger, en tant que territoire les biens ne doivent pas être refusés à une personne dans le besoin venant d'ailleurs. »
Le pape François appelle à un «nouveau réseau de relations internationales, car il n'y a aucun moyen de résoudre les graves problèmes de notre monde si nous continuons à ne penser qu'en termes d'entraide entre individus ou petits groupes». Les inégalités, dit-il, touchent non seulement des individus mais des pays entiers et donc «elles nous obligent à envisager une éthique des relations internationales».
`` Une forme de gouvernance mondiale '' en matière de migration
Le chapitre 4 , intitulé «Un cœur ouvert sur le monde entier», revient sur le sujet de la migration. Alors que le Pape François estime que les «migrations inutiles» doivent être évitées, il dit en général que les migrants doivent être accueillis, protégés, promus et intégrés par les pays d'accueil. Il envisage le développement d'une «forme de gouvernance mondiale» en matière de migration.
Cette section plaide pour la préservation de cultures uniques mais aussi pour leur enrichissement et leur renouvellement par l'ouverture aux étrangers. Le pape François soutient que nous ne pouvons accepter les autres que si nous sommes fermement enracinés dans nos propres pays et ne méprisons pas qui nous sommes. En même temps, il croit que nous ne devrions pas accepter les immigrants en fonction des avantages qu'ils apportent à nos pays, mais parce que c'est une bonne chose à faire.
Bien que la plupart de ses réflexions sur la migration soient du point de vue du migrant, le Pape François suggère que les pays d'accueil ont des nuances que les migrants n'apprécient pas immédiatement: «L'expérience d'être élevé dans un lieu particulier et de partager une culture particulière nous donne un aperçu aspects de la réalité que les autres ne peuvent pas si facilement percevoir », note-t-il.
Le Pape critique «l'esprit d'individualisme» qu'il décrit comme le «danger de penser que nous devons nous protéger les uns des autres, de considérer les autres comme des concurrents ou de dangereux ennemis». Dans une référence politique pointue, le Pape dit: «Il y a des pays puissants et de grandes entreprises qui profitent de cet isolement et préfèrent négocier avec chaque pays séparément.
Un `` besoin '' d'empêcher les Nations Unies `` d'être délégitimées ''
Le chapitre 5 , «Un meilleur type de politique», appelle à un nouveau type de politique, «vraiment au service du bien commun». Ici, le pape François regarde le populisme et le libéralisme et trouve les deux manquants parce que ni l'un ni l'autre ne fait de place à tout le monde ni ne respecte les différentes cultures.
Pour François, la principale préoccupation des politiciens doit être l'emploi.
«Étant donné que les systèmes de production peuvent changer, les systèmes politiques doivent continuer à travailler pour structurer la société de telle sorte que chacun ait la possibilité d'apporter ses propres talents et efforts. Car "il n'y a pas de pauvreté pire que celle qui enlève le travail et la dignité du travail". »
Le pontife déclare également que «le marché, à lui seul, ne peut pas résoudre tous les problèmes» et se dit déçu que le krach financier de 2007-2008 n'ait pas inspiré la création d'une nouvelle économie.
En ce qui concerne la politique internationale, le pontife estime que les États-nations s'affaiblissent devant les grandes entreprises et espère donc toujours (comme il l'a déclaré dans Laudato Si ') «des institutions internationales plus fortes et mieux organisées, avec des fonctionnaires nommés équitablement par accord entre gouvernements nationaux et habilités à imposer des sanctions. »
Pour ce faire, le pontife estime que l'ONU et la finance internationale doivent être renforcées «afin que le concept de famille des nations puisse prendre de véritables dents». Une partie de cette réforme consisterait à ne pas permettre à quelques pays puissants d'imposer leurs revendications culturelles aux pays les plus faibles. Parlant des Nations Unies, il a déclaré: «Il faut éviter que cette Organisation ne soit délégitimée.»
Au chapitre 6 , «Dialogue et amitié dans la société», le pape François appelle à une nouvelle culture capable de transcender toutes les différences et divisions entre les personnes. Il croit que grâce au dialogue, les gens pourront arriver «à certaines vérités fondamentales qui doivent toujours être respectées. Le pontife estime que chacun doit être reconnu dans la «culture de la rencontre», avertissant que la «violence» du mépris de certaines personnes conduit à d'autres formes de violence.
Le Pape suggère que le monde peut parvenir à des valeurs éthiques universelles sans «rigidité éthique» ou «l'imposition d'un système moral quelconque, puisque les principes moraux fondamentaux et universellement valables peuvent être incorporés dans différentes règles pratiques». Il ajoute, cependant, qu '«une telle alliance exige également la prise de conscience que certaines choses peuvent devoir être renoncées pour le bien commun. Personne ne peut posséder toute la vérité ou satisfaire tous ses désirs, car cette prétention conduirait à annuler les autres en niant leurs droits.
François double la peine de mort et les peines de prison à perpétuité
Au chapitre 7 , «Sentiers de rencontre renouvelée», le pape François appelle à la fin de toute guerre et à la peine de mort. Il reconnaît que certains chrétiens sont «hésitants» sur ce deuxième point. Il ne fournit pas l'enseignement de l'Église qui a constamment soutenu la peine de mort, mais donne des exemples des Pères de l'Église primitive pour montrer une résistance précoce à cette pratique.
À propos de sa nouvelle condamnation de la peine de mort, il déclare: «Il ne peut y avoir de recul par rapport à cette position. Aujourd'hui, nous déclarons clairement que «la peine de mort est inadmissible» »et l'Église est fermement résolue à appeler à son abolition dans le monde entier.»
Comme il l'a fait dans ses remarques précédentes concernant la peine de mort, François a également condamné les condamnations à perpétuité, déclarant: «Une condamnation à perpétuité est une peine de mort secrète».
Dans le chapitre 8 , intitulé «Les religions au service de la fraternité», le pape François suggère que les adhérents à toutes les religions sont bénéfiques pour la société. «Nous, les croyants des différentes religions, savons que notre témoignage de Dieu profite à nos sociétés», écrit-il.
Il demande à son lecteur de reconnaître que les différentes religions «contribuent de manière significative à la construction de la fraternité et à la défense de la justice dans la société». Le pontife, disant qu'il parle avec des personnes d'autres confessions, déclare qu'il n'y a pas de véritable base pour la fraternité humaine sans une croyance en Dieu.
Se citant lui-même, François écrit: «En tant que croyants, nous sommes convaincus que, sans ouverture au Père de tous, il n'y aura pas de raisons solides et stables pour un appel à la fraternité. Nous sommes certains que «ce n’est qu’avec cette conscience que nous ne sommes pas orphelins, mais des enfants, que nous pourrons vivre en paix les uns avec les autres». »
Dans cette section, François promeut les amitiés entre les religions, en disant que «l'Église estime la façon dont Dieu travaille dans les autres religions».
Dans une courte section touchant au catholicisme, le pontife déclare que Marie, la Mère de Dieu, «veut donner naissance à un monde nouveau, où nous sommes tous frères et sœurs, où il y a de la place pour tous ceux que nos sociétés écartent, où la justice et la paix sont resplendissantes.
François demande la liberté religieuse pour tous. «Un droit humain fondamental ne doit pas être oublié dans le chemin vers la fraternité et la paix», écrit-il. «C'est la liberté religieuse pour les croyants de toutes les religions.»
Le pontife condamne également la haine religieuse, le terrorisme et les autres violences fondées sur la foi, affirmant que «l'adoration sincère et humble de Dieu porte ses fruits» dans le «respect du caractère sacré de la vie, le respect de la dignité et de la liberté d'autrui, et un engagement affectueux envers la le bien-être de tous. »
François termine le document par de longs passages du document d'Abou Dhabi sur la fraternité humaine, une «prière au créateur» clairement destinée au culte interreligieux et une «prière chrétienne œcuménique».
Le samedi 3 octobre, le pontife a signé l'encyclique à Assise.
https://www.lifesitenews.com/news/a-summary-of-the-popes-new-encyclical-on-human-fraternity
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Bryand Mar 6 Oct 2020 - 21:55
Gabriel García a écrit:Un résumé de la nouvelle encyclique du Pape sur la `` fraternité humaine ''
Fratelli Tutti promeut la `` gouvernance mondiale '' en matière de migration, dit qu'il est nécessaire d'empêcher les Nations Unies `` d'être délégitimées '', et double l'opposition du pape à la peine de mort. Cela suggère également que les adhérents à toutes les religions sont bénéfiques pour la société.
VATICAN CITY, 5 octobre 2020 ( LifeSiteNews ) - Dans sa nouvelle encyclique, le pape François appelle à un «nouveau monde» dans lequel tous les hommes et toutes les femmes sont frères et sœurs.
Le long document - 287 articles répartis en 8 chapitres - transmet la philosophie de la «fraternité» du pontife argentin et son rêve d'un monde dans lequel chacun traite chacun comme s'il était membre d'une «famille unique».
...
Et ainsi nous pouvons dire:
Bravo pape François
de proclamer cette liberté religieuse
afin que tous adhèrent librement à la religion chrétienne
à laquelle ils sont conviés.
Et bravo, car de plus en plus de personnes
l'entendent grâce au développement des communications.
Et bravo à cet imam qui demande la paix,
basée sur la fraternité, afin que l'Évangile de la Paix
soit proclamé à toutes les nations,
comme il se doit depuis les débuts de l'Église.
Et plus encore par la Voix universelle du Pape comme sans précédent.
Chacun est de plus en plus responsabilisé et conscient devant son salut.
La paix obtenue, le respect exigé, chacun entrera librement dans l'Église comme il a été prophétisé:
ils demanderont le baptême, rôle que l'Église a de les accueillir
et d'être toujours prête à le faire et à annoncer la Parole de Dieu.
Elle est vivante cette Parole, et elle se perçoit là où elle est annoncée...
Alléluia!
Dernière édition par Bryand le Mer 7 Oct 2020 - 1:22, édité 1 fois
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Bryand Mar 6 Oct 2020 - 22:23
Concernant les autres religions, référons-nous encore une fois à Maria Valtorta.
voir : Pour vous diriger faire dans ''recherche'' le mot religions au pluriel par exemple;
et bien d'autres aspects...
http://www.maria-valtorta.org/Thematiques/Unite.htm
Entendre:
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Invité Mar 6 Oct 2020 - 23:02
Le message que les francs-maçons espagnols ont envoyé à François est vraiment plein d’enthousiasme et de gratitude: «Tous les francs-maçons du monde s’unissent à la demande du pape pour une“ fraternité entre les personnes des différentes religions ”.»
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Bryand Mar 6 Oct 2020 - 23:10
Vous courez délibérément après les fake news.Gabriel García a écrit:Le message que les francs-maçons espagnols ont envoyé à François est vraiment plein d’enthousiasme et de gratitude: «Tous les francs-maçons du monde s’unissent à la demande du pape pour une“ fraternité entre les personnes des différentes religions ”.»
Votre référence n'a aucune valeur.
Pouvez-vous nous parler de la provenance de cette image?
C'est là un composé fabriqué.
Tout le monde sait que ce genre de rumeurs
-on appelle ça un canard dans le domaine journalistique-
est sans rapport
avec une quelconque réalité concernant l'Église;
canard qui provient
de ceux qui vivent loin de l''Église et qui tentent d'en éloigner les autres .
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Invité Mer 7 Oct 2020 - 10:21
Pourquoi quand les franc-maçons s'expriment, leurs messages n'auraient, selon vous, aucune valeur ?
Ils ont reconnu en François leur frère, pourquoi voulez-vous les contredire ?
Sur One Peter Five, blog catholique, on peut vérifier cela :
https://onepeterfive.com/popes-new-encyclical-follows-spirit-of-laudato-si-it-recycles-the-same-old-themes/
Steve Skojec n'est pas réputé comme un homme qui diffuse des fakes news mais plutôt comme un journaliste intègre.
Aussi, merci de veiller à tourner votre plume sept fois dans l'encrier avant d'écrire !
Émettre des jugements précocement est souvent source d'erreur !
D'autres sources pourront très prochainement corroborer cette information.
Je ne manquerai pas de les mentionner ici.
Ils ont reconnu en François leur frère, pourquoi voulez-vous les contredire ?
Sur One Peter Five, blog catholique, on peut vérifier cela :
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Steve Skojec n'est pas réputé comme un homme qui diffuse des fakes news mais plutôt comme un journaliste intègre.
Aussi, merci de veiller à tourner votre plume sept fois dans l'encrier avant d'écrire !
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D'autres sources pourront très prochainement corroborer cette information.
Je ne manquerai pas de les mentionner ici.
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Invité Mer 7 Oct 2020 - 10:58
"Cela montre à quel point l'Église catholique actuelle est éloignée de ses anciennes positions"
La Grande Loge d'Espagne considère que François embrasse le concept de fraternité de la maçonnerie
Par une déclaration envoyée aux médias, la Grande Loge d'Espagne exprime sa satisfaction à l'égard de la dernière encyclique du Pape François, "Fratelli Tutti", dans laquelle ils considèrent que le Pontife assume le concept de fraternité de la franc-maçonnerie .../
https://www.infocatolica.com/?t=noticia&cod=38792
«Il y a 300 ans, la franc-maçonnerie moderne a vu le jour. Le grand principe de cette école initiatique n'a pas changé depuis trois siècles: la construction d'une fraternité universelle où les êtres humains s'appellent frères au-delà de leurs croyances spécifiques, de leurs idéologies, de la couleur de leur peau, de leur extraction sociale , leur langue, leur culture ou leur nationalité. Ce rêve fraternel se heurte à l'intégrisme religieux qui, dans le cas de l'Église catholique, conduit à des textes durs condamnant la tolérance de la franc-maçonnerie au XIXe siècle. La dernière encyclique du pape François montre à quel point l'Église catholique actuelle est éloignée de ses anciennes positions. Dans «Fratelli Tutti», le Pape embrasse la Fraternité universelle, le grand principe de la franc-maçonnerie moderne ».
La Grande Loge d'Espagne considère que François embrasse le concept de fraternité de la maçonnerie
Par une déclaration envoyée aux médias, la Grande Loge d'Espagne exprime sa satisfaction à l'égard de la dernière encyclique du Pape François, "Fratelli Tutti", dans laquelle ils considèrent que le Pontife assume le concept de fraternité de la franc-maçonnerie .../
https://www.infocatolica.com/?t=noticia&cod=38792
«Il y a 300 ans, la franc-maçonnerie moderne a vu le jour. Le grand principe de cette école initiatique n'a pas changé depuis trois siècles: la construction d'une fraternité universelle où les êtres humains s'appellent frères au-delà de leurs croyances spécifiques, de leurs idéologies, de la couleur de leur peau, de leur extraction sociale , leur langue, leur culture ou leur nationalité. Ce rêve fraternel se heurte à l'intégrisme religieux qui, dans le cas de l'Église catholique, conduit à des textes durs condamnant la tolérance de la franc-maçonnerie au XIXe siècle. La dernière encyclique du pape François montre à quel point l'Église catholique actuelle est éloignée de ses anciennes positions. Dans «Fratelli Tutti», le Pape embrasse la Fraternité universelle, le grand principe de la franc-maçonnerie moderne ».
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Bryand Mer 7 Oct 2020 - 13:04
Gabriel García a écrit:Pourquoi quand les franc-maçons s'expriment, leurs messages n'auraient, selon vous, aucune valeur ?
Ils ont reconnu en François leur frère, pourquoi voulez-vous les contredire ?
Sur One Peter Five, blog catholique, on peut vérifier cela :
https://onepeterfive.com/popes-new-encyclical-follows-spirit-of-laudato-si-it-recycles-the-same-old-themes/
Steve Skojec n'est pas réputé comme un homme qui diffuse des fakes news
mais plutôt comme un journaliste intègre.
Aussi, merci de veiller à tourner votre plume sept fois dans l'encrier avant d'écrire !
Émettre des jugements précocement est souvent source d'erreur !
D'autres sources pourront très prochainement corroborer cette information.
Je ne manquerai pas de les mentionner ici.
Vous aimez perdre votre temps sur des sites fondés par des moqueurs sans culture...
Rien de vrai dans tout ce qui est dit.
Oh bien sûr vous le direz savant ce Skojec
parce qu'il est percutant comme tout habile harangueur ''prêcheur'' americain...
Steve Skojec est donc votre maître à penser?
Même si ce monsieur habile du genre prêcheur américain éditorialiste se prend pour un leader faut-il le suivre?
Ceux qui ont perdu toute résistance à l'emportement sûrement qu'ils le suivront...
Ils deviendront des emportés eux-aussi, à moins qu'ils le fussent déjà,
ce qui explique de l'avoir ensuite trouvé et préféré...
Il fonde son église steveniste
que ne peuvent suivre que ceux qui ont perdu la foi,
et les baptisés
devant la responsabilité de leur baptême qui ne savent plus enseigner l'espérance du salut.
C'est déplorable de voir tant de calomnies dans si peu de paragraphes...
Tout est biaisé dans ces références.
Dois-je vous dire que je suis surpris ou que je ne suis pas surpris?
Ce monsieur je l'aurais peut-être vu intelligent en d'autres occasions
s'il savait avoir une langue sept fois tournée avant de parler de ce qu'il ne connaît pas...
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Invité Mer 7 Oct 2020 - 15:53
Voyez comme vous êtes !
De très mauvaise foi pour ne pas vouloir reconnaître le factuel émis par la franc-maçonnerie
espagnole !
Vous ne dites rien à propos d'Info Catolica.
Il n'y a rien d'autre à dire que de constater, une fois de plus, cette tentative d'alignement de l'Eglise
Catholique sur les principes maçonniques.
C'est, on ne peut plus fragrant et c'est bien cela qui est désolant !
De très mauvaise foi pour ne pas vouloir reconnaître le factuel émis par la franc-maçonnerie
espagnole !
Vous ne dites rien à propos d'Info Catolica.
Il n'y a rien d'autre à dire que de constater, une fois de plus, cette tentative d'alignement de l'Eglise
Catholique sur les principes maçonniques.
C'est, on ne peut plus fragrant et c'est bien cela qui est désolant !
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Bryand Mer 7 Oct 2020 - 16:34
On ne touche PAS aux autorités légitimes de l'Église.Gabriel García a écrit:Voyez comme vous êtes !
De très mauvaise foi pour ne pas vouloir reconnaître
le factuel émis par la franc-maçonnerie espagnole !
Vous ne dites rien à propos d'Info Catolica.
Il n'y a rien d'autre à dire que de constater, une fois de plus,
cette tentative d 'alignement de l'Eglise Catholique
sur les principes maçonniques.
C'est, on ne peut plus fragrant et c'est bien cela qui est désolant !
Et je le répète, aucune commune mesure avec les principes maçonniques.
Le pape a très bien dit et dans ses fonctions il est tout ce que Dieu lui permet d'être.
La connaissance continue jusqu'à son achèvement.
Libre à vous de croire le premier venu, parce qu'il vous impressionne.
Soyez un peu plus clair Gabriel.
Si c'est aussi flagrant que cela, vous devriez avoir du concret.
Infocatolica n'est pas une agence à privilégier plus que les autres.
Que lui revendiqueriez-vous?
QUELLE EST l'origine de sa langue de publication?
Ainsi pour chaque langue limitée aux possibilités des éditeurs:
intentionnés ou impartiaux.
Ce ne sont certes pas des experts en doctrine pour la plupart des éditorialistes...
Voilà pourquoi il faudrait vérifier;
et vérifier tout avant publication est impossible.
On le sait après et on découvre des intentions que là aussi
on aurait raison de se questionner au sujet des publications....
Les meilleures agences pour moi sont
zenit,
Kto,
Osservatore Romano,
InfoVatican, etc
Il y a infovaticana... (elle aussi peut être bonne, comme infocatolica...
Mais il faut vérifier)
Concernant infovaticana,
il y eut une poursuite pour l'avoir vu utiliser le logo
que seul le vatican est autorisé à afficher...
Je ne connais pas tous les détails.
Pas d'autorisation à se prévaloir sur le Vatican en utilisant son identité...
C'est déjà là une faute qui nous fait nous questionner...
Pas vous?
Ne lisez pas une seule agence: vérifier toujours la provenance des informations...
Les agences en langue italienne (et vérifier bien traduites dans tous les pays)
sont à privilégier.
Si vous aimez tant infocatolica, à vous de la présenter...
Dites-moi qui vous fréquentez, et je vous dirai qui vous êtes...
Infocatolica publie en quelle langue?
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Saint intercesseur : L'Immaculée, saint André et tous les saints apôtres; ainsi que les Pères et les docteurs de l'Église-
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Invité Mer 7 Oct 2020 - 20:34
Oui, la franc-maçonnerie espagnole aime l'encyclique de François ; voici une autre source :
https://latribunadelpaisvasco.com/art/13875/la-gran-logia-de-espana-se-enorgullece-de-que-el-papa-francisco-abrace-la-fraternidad-universal-el-gran-principio-fundacional-de-la-masoneria
A propos du journal reconnu comme tel en Espagne :
La Tribuna del País Vasco est un journal numérique généraliste basé à Saint-Sébastien, au Pays Basque. 1
Le journal a été fondé par le journaliste Raúl González Zorrilla en 2013. Il propose des informations exclusives et des analyses pertinentes sur les événements politiques, sociaux, économiques et culturels actuels au Pays basque, en Espagne et dans le monde. C'est l'une des principales références communicationnelles pour les citoyens basques non nationalistes.
https://es.wikipedia.org/wiki/La_Tribuna_del_Pa%C3%ADs_Vasco
https://latribunadelpaisvasco.com/art/13875/la-gran-logia-de-espana-se-enorgullece-de-que-el-papa-francisco-abrace-la-fraternidad-universal-el-gran-principio-fundacional-de-la-masoneria
A propos du journal reconnu comme tel en Espagne :
La Tribuna del País Vasco est un journal numérique généraliste basé à Saint-Sébastien, au Pays Basque. 1
Le journal a été fondé par le journaliste Raúl González Zorrilla en 2013. Il propose des informations exclusives et des analyses pertinentes sur les événements politiques, sociaux, économiques et culturels actuels au Pays basque, en Espagne et dans le monde. C'est l'une des principales références communicationnelles pour les citoyens basques non nationalistes.
https://es.wikipedia.org/wiki/La_Tribuna_del_Pa%C3%ADs_Vasco
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Re: CONFÉRENCE dimanche 4 octobre 2020 -Le texte complet de la 3e encyclique du Pape François- FRATELLI TUTTI-TOUS FRÈRES-
par Bryand Mer 7 Oct 2020 - 22:05
Gabriel García a écrit:Oui, la franc-maçonnerie espagnole aime l'encyclique de François ; voici une autre source :
https://latribunadelpaisvasco.com/art/13875/la-gran-logia-de-espana-se-enorgullece-de-que-el-papa-francisco-abrace-la-fraternidad-universal-el-gran-principio-fundacional-de-la-masoneria
A propos du journal reconnu comme tel en Espagne :
La Tribuna del País Vasco est un journal numérique généraliste basé à Saint-Sébastien, au Pays Basque. 1
Le journal a été fondé par le journaliste Raúl González Zorrilla en 2013.
Il propose des informations exclusives et des analyses pertinentes
sur les événements politiques,
sociaux,
économiques
et culturels actuels
au Pays basque,
en Espagne
et dans le monde.
C'est l'une des principales références communicationnelles pour les citoyens basques non nationalistes.
https://es.wikipedia.org/wiki/La_Tribuna_del_Pa%C3%ADs_Vasco
Si des FM aiment l'encyclique de notre Pape, ils en ont le droit.
Ils se convertiront, c'est notre devoir d'espérance de chrétien de les y engager.
D'ailleurs le Seigneur les cherche comme tout autre
- (l'Esprit souffle comme il veut)-
Comme tout être humain ordinaire ils ont envie d'améliorer
leur perception des grands principes d'entraide à l'humanité
et le Seigneur peut se servir de
à partir où ils sont pour les faire évoluer vers lui...
Ainsi le devoir de l'Église est d'être toujours prête
à accueillir toute âme qui désire vouloir son enseignement.
Je suis (j'étais) ASSS de formation, c'est-à-dire en santé et services sociaux.
J'ai eu trois FM dans mes soins d'hygiène et assistance à domicile.
Organisations sans danger pour la plupart et dont les concepts (j'en conviens)
ne sont pas aussi approfondis que ceux de l'Église qui ne relève que du Christ.
Nous ne parlerons pas de la haute-franc-maçonnerie jusqu'à preuve du contraire;
ceux-là que l'on pourrait qualifier de grands conspirateurs;
je ne le peux pas et vous non plus, les désigner comme faisant partie des plus hauts degrés;
la plupart ne dépasse pas le cinquième degré, qui demeure les cinq premiers degrés de base...
Personne n'est obligé de traverser les degrés plus avancés
et ainsi tous ignorent les secrets et rites de ces plus hauts degrés.
Chaque degré a ses symboles et ses rites déistes-
-et ceux de base ne s'approchent jamais ni des symboles ni des rites
ni des enseignements en lien avec le ''contrôle'' de l'humanité. -
Ceux qui aiment le pape ne sont pas dangereux.
Ils ne sont pas une fm politique et militante.
Parlons plutôt d'une philosophie de rencontres
entre amis dans le but de s'améliorer personnellement...
Alors il est essentiel de les distinguer des autres degrés.
Ils sont plus philosophes que militants (comme je le disais)-
Ils cheminent puis un jour ils s'aperçoivent que le Christ est supérieur
à ce qu'ils avaient appris d'une fraternité seulement humaine...
Alors il leur arrive ce qui suit:
_________________
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