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La FSSPX oeuvre à former des catholiques pour demain

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Message par Invité Lun 23 Nov 2020 - 16:03



Une école vraiment catholique


Document d'archives (publié en 2013), d'un reportage du journal de TF1 sur les écoles hors contrat.

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Message par Invité Sam 28 Nov 2020 - 19:21



Un fleuron des écoles de la Fraternité Saint-Pie X aux Etats-Unis : Saint Mary's

Nous vous proposons de découvrir à travers un film en anglais un des plus beaux fleurons de l'œuvre scolaire de la Fraternité Saint-Pie X : Saint Mary’s Academy & College.

Saint Mary’s Academy & College est situé au cœur des Etats-Unis, au milieu de l’état du Kansas. Le campus a été acheté par la Fraternité en 1978. Depuis, l’école, la paroisse et l’université non cessé de croître. Aujourd’hui plus de 900 élèves, de la maternelle à la terminale, y reçoivent un enseignement profondément ancré dans la foi catholique.

En 2002, le gouverneur du Kansas avait explicitement reconnu l'excellence de son programme d'études.

Saint Mary’s Academy & College, c’est aussi une chapelle traditionnelle où chaque dimanche plus de 4.500 fidèles viennent assister à la messe.

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Message par Invité Mer 16 Déc 2020 - 16:03


   Le Mariage dans la tempête


Aristote, ce Grec de bon sens, affirme :

   Il est manifeste que la cité fait partie des choses naturelles, et que l’homme est par nature un animal politique et que celui qui est hors cité, natu­rellement bien sûr et non par hasard des circonstances, est soit un être dégradé soit un être surhumain.

Voilà pourquoi l’éducation est l’œuvre de l’homme en société et non pas de l’homme isolé. La société possède par définition une perfection qu’un être isolé ne saurait avoir. Le principe en est évident : le tout est plus grand que la partie, quel que soit son domaine d’appli­cation. Mais la chienlit actuelle nous met au rouet. Comme l’État tend à détruire la famille, celle-ci risque de glisser alors dans un intime repli. Cette dialectique est homo­logue dans l’Église. Rien de bien nouveau : c’est déjà le communisme de Platon. Mais un enfant éduqué sans sortir de sa famille sera un homme inachevé et un enfant édu­qué seulement par l’État ne sera qu’un robot. Dans les deux cas un être dégradé.

Comme le Magistère savait le faire avant le cataclysme du concile Vatican II, le pape Pie XI, dans son encyclique Divini illius magistri, expose parfaitement les principes de l’éducation chrétienne.

   La famille insti­tuée immédiatement par Dieu a pour fin propre la procréation et l’éducation des enfants. Elle a pour cette raison une priorité de nature, et par suite une priorité de droits, par rapport à la société civile. Néanmoins, la famille est une société imparfaite, parce qu’elle n’a pas en elle tous les moyens nécessaires pour atteindre sa perfection propre, tandis que la société civile est une société parfaite, car elle a en elle tous les moyens néces­saires à sa fin propre, qui est le bien com­mun temporel.

Il est évident que l’Église est une société bien plus parfaite encore, car elle a pour fin le salut éternel et dispose de tous les moyens pour y parvenir.

L’État s’arroge aujourd’hui un pouvoir qu’il n’a pas. L’éducation est la prolonga­tion de la génération : parce que les époux engendrent, ils éduquent et l’Église éduque aussi parce qu’elle engendre à la vie surnaturelle. Pie XI est catégorique à juste titre :

   L’État a le devoir de protéger par ses lois le droit antérieur qu’a la famille sur l’éducation chrétienne et par conséquent aussi de respecter le droit surnaturel de l’Église sur cette même éducation.

Aujourd’hui l’État s’approprie indûment, mais certainement, l’éducation de l’enfant. Autant l’Église, en raison de sa maternité surnaturelle, peut prétendre à l’éducation, autant l’État n’y a aucun droit. L’État se prend pour l’Église et il en découle nécessairement une morale et une instruction laïque volontairement opposée à Notre-Seigneur Jésus-Christ. Ainsi, soutenir que l’enfant appartient à l’État avant d’appartenir à la famille et que l’État a un droit absolu sur l’éducation est en contradiction avec le sens commun, comme l’affirme encore le pape Pie XI.

Mais cet abus caractérisé pourrait bien entraîner un retrait de la vie sociale et un repliement familial dont les enfants pâtiront dans le futur. Il est vrai qu’un enfant est achevé à l’âge de trois ans. Il a toutes les virtualités qu’il développera sa vie durant pour devenir un homme. Mais son épanouissement naturel requiert une vie sociale plus vaste que la famille. D’ailleurs l’Église, Mère il est vrai, est une société bien visible où, là seulement, peut s’épanouir surnaturellement le chrétien qui fut baptisé en elle. Le frottement d’autres tempéraments, la découverte d’autres modes de vie, la confrontation des arguments, la contrariété des modes d’agir disposent à la maîtrise des passions comme à l’accroissement des vertus.

La Fraternité peut donc se louer d’entretenir cette vie sociale, à proportion de ses moyens. Ses prieurés, ses écoles sont indispensables non seulement à la vie surnaturelle, mais aussi à l’équilibre naturel qui est le soubassement de la vie divine greffée en lui et à l’apprentissage de la vie en commun. Il est évident qu’elle ne saurait prétendre à être une société parfaite, mais ses chapelles favorisent la vie sociale des familles et ses écoles – surtout ses internats  –  développent les vertus altruistes des enfants ; ainsi elle contribue à entretenir une véritable inclination au bien commun de l’État, comme d’ailleurs aussi de l’Église. Alors, rendons grâce à Dieu de l’existence quinquagénaire de notre Fraternité.

Source : Editorial de la revue Fideliter n°256


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Abbé Benoît de Jorna
FSSPX Supérieur du District de France
L'abbé Benoît de Jorna est l'actuel supérieur du District de France de la Fraternité Saint Pie X. Il a été auparavant le directeur du Séminaire Saint Pie X d'Écône.

https://laportelatine.org/actualites/editoriaux/letat-veut-voler-les-enfants-aux-familles

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