LE MONDIALISME

Le terme mondialisme est un néologisme qui renvoie à une volonté supposée d'en finir avec l'Etat-Nation comme cadre d'administration politique et de référence identitaire. Il est notamment utilisé dans certains milieux nationalistes pour décrire, en la dénonçant, la marche vers une sorte d'Etat mondial. Celle-ci se produirait sous le double effet de la mondialisation et de l'internationalisme d'extrême gauche.

Un élève appliqué travaillant sur les affaires internationales pourrait facilement trouver six organismes susceptibles remplir le role de groupe pression au service du nouvel ordre mondial. Imaginez une table ronde regroupant un représentant ce que les francs-maçons appellent six organisme interreliés :

1. Le Council of Foreign Relations (Conseil américain pour les relations étrangères);

2. l'Organisation des Nations Unies;

3. le Groupe Bildenberg (rassemblement annuel et informel d'environ cent trente personnes, essentiellement des Américains et des Européens, composé en majorité de personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias se réunissant depuis 1954 aux Pays-Bas);

4. le Club de Rome (groupe de reflexion réunissant depuis 1972 des scientifiques, des économistes, des fonctionnaires nationaux et internationaux, ainsi que des industriels de 52 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu'en développement, et se réunissant à Rome);

5. le Royal Institut of International Affairs (Institut Royal anglais pour les affaires internationale);

6. la Commission Tri-Latérale (organisation privée créée en 1973 à l'initiative des principaux dirigeants du Groupe Bildenberg et du Council of Foreign Relations. Regroupant 300 à 400 personnalités parmi les plus remarquées et influentes —hommes d’affaires, hommes politiques, décideurs, « intellectuels »— de l’Union Européenne, de l’Amériue du Nord et de l'Asie du Pacifique).


Le forum annuel du Groupe Bildenberg a été inauguré en mai 1954 à Oosterbeek aux Pays Bas, lors d'une réunion à l'Hôtel Bilderberg (d'où son nom) et possède des bureaux à Leyde, aux Pays-Bas. Tous ses mebres semblent être reliés par l'appartenance à des loges maçonniques.
Sa non-médiatisation et le caractère confidentiel du bilan des conférences suscitent régulièrement des controverses et alimentent des théoris complotistes relatives à son influence occulte.

Le Club de Rome se fait connaître mondialement en 1972 par son premier rapport, The limits to Growth (littéralement Les limites de la croissance), connu sous le nom de « rapport Meadows » et traduit en Français par l'interrogation Halte à la croissance ? Son interpellation intervient à l'apogée de la période dite des Trentes Gloriueses, une période de croissance sans précédent dans les pays développés et qui laissait penser que celle-ci était sans limite imaginable. Le concept de croissance zéro, que ce rapport ne préconisait pas, fut néanmoins une des idées fondatrices de l'écologisme ou écologie politique. Tous ses membres, dont certain sembent issus du Groupes Bildenberg, semblent également être reliés par l'appartenance à des loges maçonniques.

Le but de la Commission Tri-Latérale est de promouvoir et construire une coopération politique et économique entre ces trois zones clés du monde, pôles de la dite de la Triade. À l'instar du Groupe Bilderberg dont elle est issue, il s'agit d'un groupe partisan du mondialisme, donc appartenant à la franc-maçonnerie qui se présente comme universelle, gourpe auquel certains attribuent, au moins en partie, l'orchestration de la mondialisation économique.

Si vous reliez le six membres de cette table ronde, vous obtenez une étoile de David. Cette table ronde entend organiser la gouvernance mondiale par la division du monde en dix Zone Logiques Econmiques organisées selon un principe de laïcisme positif ne tenant compte ni des races ni des cultures :

1. l'Amérique du Nord,

2. l'Union Européenne,

3. le Japon,

4. le bloc Australie/Nouvelle-Zélande/Afrique du Sud/Océanie/Israel,

5. l'ex-bloc soviétique,

6. L'Amérique Latine,

7. le croissant arabo-musulman qui s'étant du Maghreb au Moyen-Orient,

8. l'Afrique Noire,

9. sous continant Indien et pays de l'ex-Indochine.

10. Chine et Corée du Nord.

Tout ceci constitue le nouvel ordre mondial.

La Grande Bretagne, qui est sortie depuis peu de l'Union Européenne, entend rejoindre le bloc Australie/Nouvelle-Zélande/Afrique du Sud qui est composé d'ailleurs de pays membres du Commonwelth.

La guerre en Ukraine est due au fait que certains membres de l'ex-bloc spovétique désirent entrer dans l'UE.

Les conflits qui ont lieu au Moyen Orient ont lieu à cause des tensions israelo-palestiniennes, indo-pakisthanaises, des visées néo-ottomanes et du djihasime qui frappe jusqu'au coeur des pays de l'Union Européenne.

Les tensions qui ont lieu en Afrique Noire sont dus au fait de confilts entre Chrétiens et musulmans

Les tensions qui ont lieues en asie du Sud-est sont dus au fait que le Chine, à travers la Corée du Nord, voudrait annexer la Corée du Sud. Et, trevs cette dernière... le japon !

Le « mondialisme » a des affinités avec le « Nouvel Ordre Mondial » tel qu’entendu dans certains milieux complotistes. Souvent associé à l'impérialisme anglo-américain, ou au judéo-protestantisme anglo-saxon, le « mondialisme » est notamment dénoncé par des théoriciens néo-eurasistes comme Alexandre Douguine. En France, sa dénonciation est portée par des auteurs comme Yann Moncomble, Pierre Hillard ou Pierre de Vilmarest.

L'immigrationisme, qui porte au remplacement des peuples, est un fruit du mondialisme. Le choix est donné aux Catholiques : avec Christ ou contre Christ ?