PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LES INSITUTIONS : REDONNER LA PAROLE AU ROI

LES INSITUTIONS : REDONNER LA PAROLE AU ROI











Bien que nous ne soyons plus en Monarchie, le Roi Perdu a un rôle à jouer dans la vie politique de notre Pays. Un Roi est par définition un arbitre, un cociliateur, quand il n'est pas un guide. Le Roi en exil, peut incarner une autorité morale qui peut être écoutée. Il peut attirer l'attention du pouvoir et de ses concitoyens sur des questions précises. Il doit pour celà se tenir en permanance au courant de la vie politique de son pays. Il incarne au-delà de tout une tradition, une continuité, comme un possible recours...

Peut-être que le Prince souhaiterait-il, dans la logique de son rôle de chef de la Maison Royale de France, développer des axes d’intervention plus politiques, via les réseaux sociaux ou par des tribunes régulières dans la presse écrite ou informatique.

L'autoriré Royale doit exercer trois fonctions :

1- LA FONCTION RELIGIEUSE. Dire que la politique n’a rien à voir avec la religion est un mensonge, car même lorsqu’elle prétend ne pas s’en occuper, elle le fait : si ce n’est pas pour favoriser telle religion, c’est pour la combattre, ou encore pour se faire soi-même une religion. La vérité est que l’État doit se faire le défenseur séculier de l’Église, avec la prudence requise, sans contraindre les consciences : pour celà, il est nécessaire de restaurer, à travers la personne du Roi de France, la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale. Tout pouvoir Sacré doit avoir le souci, comme d’un père pour ses enfants, non pas de respecter leur liberté, mais de les aider au bien.

L’autorité Royale devra donc poursuivre toute idéologie contraire au bien commun. Elle ne pourra tolérer une fausse religion, pour le bien de la paix Chrétienne. Elle la laissera dans une position de moindre avantage que la vraie. En tout cas, elle doit proscrire les sociétés secrètes, athées, révolutionnaires, qui prônent la liberté de pensée et qui laissent n’importe quelle idéologie se développer, et dont l’histoire nous montre à quel totalitarisme elles ont conduit.

2. LA FONCTION POLITIQUE. Elle garantit deux choses : la protection contre l’ennemi extérieur par la diplomatie et la guerre, et l’ordre intérieur de la nation par la justice et la police. À cette fonction politique traditionnelle, la religion Catholique, et singulièrement la dévotion à la Sainte Vierge, apporte une morale publique comme l’adoucissement des mœurs, elle tempère la justice et canalise la force.

3. LA FONCTION ECOLOGIQUE. Le bienfait de l’autorité Royale ne se cantonne pas au domaine strictement politique, elle doit s’étendre à l’écologie. Le chef de l’État Capétien restauré doit protéger la libre vie commune des familles et leurs associations spontanées, paroisses, métiers, provinces, en vue de faciliter indirectement le salut personnel de chaque individu et du prochain, et favoriser l’harmonie entre elles pour aider au bien de la communauté nationale. L' autoproduction par un pays de la plus grande partie de ce qu'il a besoin de consonner, et la réduction des importations au strict minimum pour la plus grande partie de la population sera une de ses priorités, avec la sauvegarde de la ruralité . Il doit Rendre la France auto-sufisante, indépendante et rayonnante.

Mais il faut ajouter dès maintenant combien l’action du souverain à restaurer est nécessaire pour endiguer la puissance de l’argent, reprenant l’action Catholique des Rois de France qui, comme chefs d'une nation Chrétienne, ont su soumettre la vie matérielle au service du bien commun juste et charitable. Ils ont su inventer des valeurs supérieures à l’argent qui engageaient chacun à servir un autre idéal que celui du profit : celles de la Chevalerie.







Pour redonner la parole au Roi, il faudrait :



1. Restaurer la souveraineté Royale.

2. Libérer les Français de totes les féodalité.

3. Donner au pouvoir médiatique un fondement consitutionnel.









1. Restaurer la souveraineté Royale.



Abolir l'article 1. faisant de la France un Etat laïc et républicain et supprimer la loi de sération de l'Eglise et de l'Etat, inscrire les précepte Chrétiens dans la consitution et étendre le statut concordataire alsacien à tout la France dans l'attente d'un nouveau Concordat, réviser les articles 6 et 7 de la constitution de 1958, donnant au Roi les pouvoirs du Président de la République, supprimer l'article 89 empéchant que la forme républicaine de gouvernement ne puisse l'objet d'un révision contitutionnelle, OU CHANGER COMPLETEMENT LA CONSTITION DE LA FRANCE, permettre en tout cas au Roi de régner ET de gouverner et d'exercer ses fonctions religieuses, politiques et écologiques, réserver au Roi l'exclusivité du pouvoir exécutif, l'initiative des lois et de dissolution, et lui permettre de casser toute décision de justice et de juger en dernier recours, d'arbitrer entre jusitice civile et justice adminsitrative, de présider en personne le Conseil Supérieur de la Magistrature et la Haute Cour de Justice, instaurer le scrutin proportionnel aux élections législatives et locales, établir le droit pour toute personne physique et morale d'être reçut par le Roi, créer le référendum d'initiative Royale donnant la parole au peuple sur les grands problèmes de société, préciser le rôle du Conseil Consitutionnel et le fusionner à l'intérieur d'un Haut Conseil ou Haute Cour de Justice, établir la primauté du droit interne sur le droit intrenational.



2. Libérer les Français de tout féodalités.



Mieux séparer la politique de l'administration, supprimer l'ENA, renforcer la tutelle politique de l'administration des finances, supprimer le système syndical et son monople, et le remplacer par les corporations de métier, garantir la liberté d'expression et pour celà abroger les lois liberticides Pleven et Gayssot-Fabius, comme la loi Avia, contrôler les aides publique accordées aux lobbies.



3. Donner au pouvoir médiatique un fondement constitutionnel.



Inclure les garanties de droit fondamental pour l'exercice du pouvoir médiatique, rattacher le Conseil Supéririeur de l'Audiovisuel directement au Roi de France et placer le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel sous la présidence du Roi.



Conclusion.



Le Conseil de Régence demende le retour du Roi de France sur le Trône de ses ancêtres. Il faut à la France un Chef d’Etat qui représente tous les Français et pas seulement la faction qui l’a élu. Il faut à la France un Souverain délié des querelles partisanes, capable de garantir l’unité, la souveraineté et la pérennité de notre Pays, comme son identité Chrétienne et sa vocation Catholique. Il faut un arbitre au-dessus des factions qui préserve les libertés publiques et la dignité de la personne humaine. Le président de la Vème République ne peut jouer ce rôle : il reste le chef de file d’une faction politique, plus soucieux de la prochaine élection que de la prochaine génération. Seul un Roi, indépendant du jeu politique, peut assumer cette fonction. Les Rois ont fait la France, elle se défait sans Roi.

Nous proposons de reprendre certains principes de la constitution de la Ve République, telle qu’elle était prévue au départ : le Roi est le Chef de l’Etat. Il promulgue les lois, signe les traités, nomme aux emplois civiles et militaires de l'Etat ; Il est Chef des armées, recours juridictionnel suprême, arbitre des institutions. Assisté d’un Haut Conseil qui prépare ses décisions, il exerce donc des prérogatives réelles. Mais il conduit l'action du gouvernement qui coordonne quand à lui la politique nationale, Il a l'initiative des lois et le pouvoir de dissolution.









Hervé J. VOLTO, CJA





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A paraître : Conclusion : Les actes prioritaires de l'alternative Royale.

A paraître : CONCLUSION : LES ACTES PRIORITAIRES DE L'ALTERNATIVE ROYALE
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