LES QUATRES PARTIS POLITIQUES DE LA REPUBLIQUE

La France est une ancienne grande puissance de taille moyenne, dont le prestige est mis en péril par l'affaissement moral et mental de ses peuples depuis leur rupture avec leur Royauté Très Chrétienne et par une gestion inqualifiable de sa République.

Tout pays démocratique se gouverne par ses propres représentants : c'est sur ce principe qu'est assis la République Française. Ces représentants ne représentent pas, en dépit de leur dénomination de « représentation nationale », les convictions supérieures et les intérêts permanents de la France, mais les opinions et les volontés, ou les intérêts, que coalisent les partis. Quel que soit leur nom ou le jeu des coalitions, ceux-ci peuvent être classés en quatre catégories :

1. L’Extrême-Gauche représente une volonté de démocratie intégrale, révolutionnaire dans le présent, du passé faisant table rase, et anarchique pour l’avenir. Sa force est d’incarner, d’imposer à tous la logique du système, jusqu’à la folie, sans reculer devant aucune conséquence. Tel a été, dans les assemblées démocratiques, le parti communiste. Tels sont aujourd’hui les partis trotskistes, les altermondialistes ou encore certains groupements écologiques et partis pathèques, verts dedant mais rouges dedant...

2. La Gauche représente une “ volonté populaire ” résolument, religieusement démocratique, mais éprise de justice et d’égalité, très soucieuse de voir organiser idéalement la liberté Sacrée ! Elle fait confiance à l’État républicain pour assagir l’arbitraire populaire et faire coïncider les volontés, la Volonté du peuple, avec l’intérêt de la France, du moins de sa frange de grosses fortunes récentes, le désordre avec l’ordre, la démocratie avec l’autorité de l’État. Tel est le socialisme, dont la fausse position bobo est criante, mais qui rassure l’opinion peu encline aux grandes, aux ruineuses, aux sanglantes aventures révolutionnaires, la gauche caviar préférant jouir et s'interdire d'interdire.

3. La Droite représente une volonté plus conservatrice que révolutionnaire, plus oligarchique que démocratique. Réaliste ! Elle met au-dessus de la volonté populaire la conservation de l’ordre, la sauvegarde des biens matériels et spirituels que la Révolution compromet. Démocrate pour accéder au pouvoir, la droite est autoritaire dans son gouvernement et, dans les temps de crise, volontiers césarienne. Démocrate, mais autoritaire, libérale, mais conservatrice, elle veut que le pays se gouverne lui-même, mais, pour mieux le dominer, en fonction de ses propres intérêts.

4. L’Extrême-Droite veut que la réalité de l’être, de la vérité, du bien, l’emporte sur le caprice des hommes, et que la nation soit hors d’atteinte de la révolution. Démocratiquement élus, ses représentants constituent, en tout ce qu’ils sont, la contradiction intégrale de la démocratie. Leur présence dans les assemblées démocratiques est subie, jamais acceptée ; on les exclut mentalement et, à la première occasion, physiquement, comme réactionnaires et Contrerévolutionnaires. Le vrai Royaliste, parce que Catholique et Français, en serait, mais il déplore de voir figurer comme un parti et comme une opinion le nationalisme Catholique intégral qui seul sous sa form Monarchique est l’expression du bien commun et de la tradition de la France.

De nos jours, cette extrême-droite n’existe pratiquement plus. Le terme ne désigne plus que des groupuscules d’idéologie nietzschéenne, athée et raciste, et surtout républicains, et avant tout les partis “ populistes ” qui prétendent défendre l’identité nationale. La popularité de ces derniers profite des crises économiques et de la tension sociale, elle dépend pour beaucoup aussi de la personnalité charismatique de leur chef ; leur existence est tolérée, parfois même favorisée, par l’un des autres partis pour leur servir de repoussoir dans le jeu électoral.

Avec le temps, dans les pays de vieille démocratie, en particulier dans le monde anglo-saxon, les deux partis principaux qui alternent au pouvoir -gauche caviar et droite molle- n’offrent plus de différences aussi marquées. Ils sont le pays légal, bien installé, et se partagent le pouvoir et ses prébendes. D'ailleurs, Emmanuel Macron a réussit à rassembler ce  Centre Gauche et ce Centre Droit, en une macronnie où il est deplus en plus dificile de faire une différence .
-C'est à la Légitimité Catholique et Royale que nous devons revenir, disait Maurice d'Andigné, membre du Conseil Supérieur de l'Armée Catholique et Royale de Vendée, ce ne sont pas les hommes, aussi éminant soient-ils, qui sauvent un pays, mais les institutions...

Car si l'insitution Monarchique a celà de bien qu'elle apporte la CONTINUITE dans la conduite des affAires, l'ARBITRAGE surpême au-dessus des factions et le RASSEMBLEMENT national, quelques soient nos opinions aujourd'hui, la France est un héritage, son passé est Chrétien, elle posssède une vocation Catholique.
LE ROI, C'EST LA PRESENCE DU SACRE DANS LE POUVOIR, LA CONTINUITE DE LA FRANCE AU-DELA DE LA REPUBLIQUE, LE DESTIN NATIONAL INCARNE PAR UN SOUVERAIN INDEPENDANT DES CAPPRICES DU SUFFRAGE UNIVERSEL ET DU DIKTT DES BANQUES ET DU GRAND CAPITAL.

La continuité Royale, assurée par l'hérédité, retire le pouvoir aux luttes partisannes, aux ambitions personnelles et à la corruption, et peut dès lors assurer le Bien Commun du peuple Français et la pérénité de la France comme de sa vocation Catholique, le Roi de France, nouveau Constantin, devant gouverner chrétienement :

-...pour le Bien Commun et le salut de l'Etat (Edit de juillet 1717) !

Et pensant dans la même optique, nous en appellons aux Catholiques, aux Souverainistes et aux Ruraux. La Patrie, la Foi : tout se tient.




Hervé J. VOLTO, CJA