Quel est le réel ennemi du peuple français ?

La première réponse qui vient à l’esprit est : Macron. Or nous savons qu’il n’est qu’un pion sur un échiquier manipulé par l’oligarchie mondialiste. Mais imaginons que, d’une manière ou d’une autre, il disparaisse. Un autre prendra sa suite et rien ne changera.
Un homme seul ne peut pas faire grand-chose et certainement pas se maintenir durablement à la tête de l’Etat. S’il est au pouvoir, c’est parce qu’il est soutenu par tout un réseau. Et au centre de ce réseau, il y a la franc-maçonnerie qui manipule tous les gouvernements de la république depuis deux cents ans.
En France, la franc-maçonnerie, ce sont 175.000 personnes infiltrées dans tous les centres de décision politiques et économiques. De plus, cette organisation sait très bien créer des effets de levier en multipliant ses forces par l’instrumentalisation d’autres structures, l’islam en particulier. Or, sur environ 12 millions de musulmans dans notre pays, environ 2 à 3 millions s’estiment mentalement plus près des djihadistes que des autorités françaises. Prenons un exemple : si l’armée recevait l’ordre de se battre contre tel pays à majorité musulmane, un tiers de ses effectifs déserterait.
Actuellement, l’armée de Terre est composée de 130 000 hommes et femmes, dont plus de 25 000 réservistes. En y ajoutant 140.000 policiers et environ 100.000 militaires de la gendarmerie nationale, on arrive à un total de l’ordre de 370.000 hommes. Mais nous savons que, dans les 1500 zones de non droit se trouvent des stocks d’armes lourdes. Les deux à trois millions de musulmans sympathisants djihadistes, une fois armés, représentent une force près de dix fois celle que les pouvoirs publics pourraient lui opposer.
Donc Macron et son gouvernement ne représentent que la partie émergée de l’iceberg. Mais gardons espoir : potentiellement, dans l’autre camp, c’est-à-dire le nôtre, il y a tous les Français qui subissent cette véritable dictature qui ne dit pas son nom. Soit près de 50 millions de personnes dans la tranche d’âge 20 à 59 ans (chiffres de l’INSEE de 2020). Sauf que la majorité des Français n’a pas pris conscience du totalitarisme dans lequel nous vivons.
Comment la situation peut-elle être renversée ? Autrement dit, comment le mondialisme peut-il être chassé du pouvoir ? En abattant les piliers sur lesquels il s’appuie. Pour simplifier, il y a le pilier politique, le pilier économique et le pilier idéologique.
Le pilier politique, c’est en premier le pouvoir de Bruxelles, c’est-à-dire celui de la Commission de l’Union Européenne, une équipe de technocrates mis en place par des voies totalement non démocratiques. Le peuple français, quand on lui a demandé son avis, lors du référendum sur le traité constitutionnel de 2005, a voté non à 55% des voix. Mais l’on a ignoré son avis.
Le pilier économique, c’est avant tout la monnaie car c’est l’outil majeur pour diriger l’économie. Là non plus, le peuple français n’a pas le pouvoir de le dénoncer, donc de revenir au franc, car les médias ont réussi, jusqu’à ce jour, à le persuader du soi-disant bienfait de l’euro.
Reste le volet idéologique. La franc-maçonnerie s’appuie sur deux outils pour brouiller les esprits : la famille et l’école. D’une part on dévalorise la famille car c’est la cellule de base de la société – il faut donc la détruire – et d’autre part tout est fait pour saboter l’enseignement, ce qu’explique très bien Jean-Paul Brighelli dans son livre en deux volumes, « La fabrique du crétin ».
C’est ce pilier que nous devons abattre en premier. Comment ? En réunissant toutes les organisations et toutes les personnes – quelles que soient leurs sympathies idéologiques, politiques ou confessionnelles – d’accord pour construire dans la rue une mobilisation pacifique sur deux mots d’ordre : défense de la famille (abrogation des lois Veil, Taubira, etc) et l’école libre (par l’instauration du « chèque scolaire »).