France, réveille-toi et refuse le déclin !

Les violences urbaines qui agitent de nombreuses villes de France depuis la mort de Nahel M. nous interpellent. Mais c’est à la justice de déterminer qui a raison et qui a tort. Ce n’est pas à la rue de le faire.
Rappelons que « le concept d’état de droit est souvent utilisé pour décrire un système politique où le pouvoir est soumis au respect des normes et des principes juridiques. Il s’agit d’un idéal vers lequel tendent les sociétés modernes, dans le but de garantir une coexistence pacifique des citoyens et de protéger leurs droits et libertés ». (licence-droit.fr). Il est clair que nous en sommes loin.
La situation que nous vivons rappelle le déclin de l’empire romain. Les deux causes principales de sa chute sont la paresse et l’immigration. La paresse, car il y avait plein d’esclaves pour faire le travail, d’où une tendance des maîtres à l’oisiveté. L’autre cause est l’immigration, qui a conduit à la dissolution de la société romaine.
En 1940, la France s’est fait envahir par des armées bien visibles et efficaces. Aujourd’hui, nous sommes depuis plusieurs décennies envahis subrepticement par des populations porteuses d’une culture qui n’est pas la nôtre.
Malgré la révolution française et la disparition, lors de la première guerre mondiale, des derniers empires chrétiens, l’Europe reste marquée par plus de quinze siècles de civilisation chrétienne, au grand désespoir des forces qui veulent la détruire. Et parmi celles-ci, la principale est l’islam. Or tout le monde s’accorde à reconnaître qu’islam et christianisme sont incompatibles.
Il serait naïf de croire à la spontanéité des violences de rue. Celles-ci ont été programmées depuis longtemps. Ainsi, au premier rang des stratèges islamistes, Abu Bakr Naji, recherché par toutes les polices il y a une quinzaine d’années (peut-être est-il mort et remplacé depuis), diffuse le traité de la « Gestion de la barbarie » (Editions de Paris 2007) dans lequel il écrit : « Les buts à atteindre les plus importants sont 1) continuer les opérations d’humiliation et d’épuisement autant que possible ; 2) établir un réseau de soutien logistique pour les régions de barbarie que nous contrôlons, qu’elles soient proches ou éloignées ».
C’est exactement ce que vit la France : des tentatives d’humiliation et d’épuisement (penser aux dizaines de policiers agressés et blessés par les manifestants) suivies de prise de possession de territoires (les 1500 zones de non droit).
Une fois ces zones « libérées » suffisamment nombreuses, l’ennemi passera à la vitesse supérieure, l’objectif final étant de transformer la France en un nouvel Etat musulman. Rappelons, au passage, que, sur 100 naissances en France, il y en a 40 issues de l’immigration. Et nos dirigeants osent nier qu’on est déjà en « grand remplacement » !
La stratégie à leur opposer est d’abattre un à un les piliers du mondialisme. Car l’islam n’est pas le vrai ennemi. Il est instrumentalisé par l’oligarchie mondialiste. Ces piliers sont au nombre de trois. Le premier, le pilier politique, c’est l’Union Européenne. On n’imagine pas une victoire électorale (d’un parti anti-mondialiste qui n’existe pas aujourd’hui) qui nous ferait sortir de l’UE. Le second est le pilier économique, dont le cœur est l’euro. Là également, on n’imagine pas que des élections ou une mobilisation populaire suffisamment forte le fasse tomber (ce qui implique la sortie de l’UE ; on est revenu au cas précédent).
Reste le volet idéologique : c’est sur celui-là que l’on peut et que l’on doit agir. Les familles traditionnelles sont attaquées, l’école républicaine est progressivement conduite à la ruine et toutes les familles sont menacées sur le plan de la sécurité. Il faut donc qu’un grand mouvement populaire se mette en marche sur ce triple objectif :