Ne pas se tromper d'ennemi / Le catholicisme libéral notre 1 er ennemi

Chers tous,

Un catholique doit avoir à l'esprit que notre 1 er ennemi est la catholicisme libéral. Don Sarda Y Salvany l'avait prédit au 19 éme siécle.
Un catholique doit lutter contre l'infamie satanique du concile vatican 2. Le concile vatican 2 nourrit le démon, lui donne sa puissance au profit de nos ennemis lobbies LGBT, FM....
Voici un livre à lire pour comprendre
https://catholicapedia.net/Documents/cahier-saint-charlemagne/documents/C018_Don-Sarda_56p.pdfhttps://catholicapedia.net/Documents/cahier-saint-charlemagne/documents/C018_Don-Sarda_56p.pdf

Voilà un livre à lire pour vos vacances

Saintes vacances à tous.

Merci Blandine

Cela donne la possibilité de débattre sereinement avec le concours de tous nos amis.

Quel est donc le premier ennemi du catholicisme ?

Ce monde terrestre est le lieu du combat entre les forces du bien et celles du mal, entre Dieu et le Démon.

Le Christ a fondé son Église sur cette terre, la Sainte Église Catholique et Apostolique Romaine, afin de lutter contre les forces du mal.

Pendant très longtemps l’Église a vaillamment lutté, puis elle a fini par être infiltrée (Vatican d'eux notamment).

La source du mal est bien extérieure à l’Église, même si elle a fini par la contaminer.

Ce que Don Sarda Y Salvany appelle, en y mettant beaucoup de guillemets, "catholicisme libéral" décrit en fait la situation du catholicisme rongé par le libéralisme.

(d'ailleurs il a bien intitulé son livre Le libéralisme est un péché, pas Le catholicisme libéral est un péché)

Il faut bien distinguer entre le malade et la maladie.

Le catholicisme est le bien, le libéralisme est le mal.

Dire que le "catholicisme libéral" est le principal ennemi, c'est un peu jeter le bébé avec l'eau du bain.

Il n'y a pas de catholicisme libéral dans les faits. Il y a ce qui est catholique et ce qui n'est pas catholique.

Le Prince des ténèbres a bien son église à lui (le satanisme ou luciférianisme), ses messes noirs, son culte, ses réseaux maçonniques, son armée de combat (dont la république est la face "présentable"). Il importe de ne pas l'éluder sous peine de faire son jeu.

Très bonnes vacances à vous !

Le libéralisme est la porte d'entrée idéale pour tous les démons.

Li libéralisme est le péché pat excellence.

Nous sommes dans des temps étranges puisque Sainte Blandine a raison, le libéralisme est la source du Ooncile Vatican II. Et ce n'est pas ma pauvre personne qui le dit, ce furent deux évêques futurs papes ! Montini (futur Paul VI en parlant de son "métier") et Wojtila docteur en philosophie moderniste et nullement thélogien.

Dans le Bulletin du Grand Orient de France n°48, novembre-décembre 1964, p. 87, on troucecette intervention faite lors de la troisième session du concile par un jeune évêque qui fit ensuite une carrière remarquée :
"Il faut accepter le danger de l'erreur. On n'embrasse pas la vérité sans avoir une certaine expérience de l'erreur. Il faut donc parler du droit de chercher et d'errer. Je réclame la liberté pour conquérir la vérité". Propos hérétique condamné par le Syllabus !
Cette déclaration plut tellement aux francs-maçons qu'ils la soulignèrent. Elle est très grave. Elle est de Mgr Wojtila, évêque de Cracovie. Elle explique sa carrière sous le nom pontifical de Jean-Paul II, et son comportement en privé.
http://www.a-c-r-f.com/documents/Don_SARDA_y_SALVANY-Liberalisme_peche.pdf

Sainte Blandine a écrit:Le libéralisme est la porte d'entrée  idéale pour tous les démons.

On peut le dire.

Notons au passage que le sens de ce mot a évolué.

Je cite la préface du texte de Don Sarda Y Salvany que vous nous proposez :

Libéral, au sens où ce mot était pris jadis dans notre langue, qui ne se piquerait de vouloir l'être, puisque ce mot signifiait l'ouverture d'esprit et de cœur, et, en résumé, la largesse dans l'aumône, comme une chrétienne largeur dans l'accomplissement de toutes les vertus !

Voyez, le texte que vous prenez en référence dit lui-même que le mot "libéral" a eu un sens positif.

Le texte se poursuit :

Mais combien autre est le libéral de nos jours, soit qu'il s'agisse du libéralisme doctrinal, du libéralisme politique ou du libéralisme pratique par application de cette doctrine et de cette politique. Préface de l'éditeur en 1915.

Aujourd'hui le mot libéralisme a surtout un sens économique, assez éloigné de celui dans lequel l'entend Don Sarda Y Salvani au 19e s.

Si on déclare dans une conversation qu'on est contre le libéralisme, notre interlocuteur peut penser que l'on est partisan d'une économie de type socialiste.

Quand on veut convaincre quelqu'un, il faut choisir les mots justes et précis, avec le sens qu'ils ont aujourd'hui.

Mais ce qui me dérange encore plus est d'associer le terme catholicisme et libéralisme, dans l'expression "catholicisme libéral".

Certes Don Sarda Y Salvani le fait, mais avec moultes précautions.

Il expose d'abord très clairement que l'association des deux termes est une insanité :

De toutes les inconséquences et antinomies qui se rencontrent dans les degrés moyens du libéralisme, la plus repoussante  et  la  plus  odieuse  est  celle  qui  ne  prétend  à  rien  moins  qu'à  unir  le  libéralisme  avec  le  catholicisme,  pour  former ce qui est connu dans l'histoire des insanités modernes sous le nom de libéralisme catholique ou catholicisme libéral.

Il parle bien ensuite du libéralisme dit catholique, pour bien signifier que lui-même ne croit pas un instant que le libéralisme puisse avoir le moindre caractère catholique.

S'il associe ensuite encore les deux termes il le fait en montrant ses réserves et en mettant l'expression entre guillemets (ou en italique) :

ou, pour parler plus vulgairement, du "catholicisme libéral"

Certes par la suite l'auteur reprends l'expression telle quelle et celle-ci a été couramment employée à l'époque par les tenants de la tradition, pape compris.

Nous-mêmes dans nos milieux catholiques de la tradition pouvons employer cette expression. Cela est moindrement gênant dans la mesure où nous savons bien de qui nous parlons et que libéralisme et catholique sont dans les faits antinomiques.

Mais imaginez-vous vous adresser à une personne loin de la foi chrétienne, à un musulman d'un quartier populaire par exemple.

Il se dira "certes ces gens qui se disent de la tradition catholique donnent une bonne image de leur religion, mais ils m'expliquent également qu'il y a bien une partie de leur religion qui est pourrie, et qui s'appelle donc le catholicisme libéral".

C'est pourquoi je préfère parler de "libéralisme dit catholique", ou de "catholicisme infecté par le libéralisme", que de "catholicisme libéral".

(de même je parle toujours de "république dite française", de "révolution dite française". Je n'emploie jamais certaines expression comme "judéo-chrétien").

Avez-vous la bonne traduction ? Un musulman qui se convertit aura mes grâces pour comprendre. Il faut nommer le véritable ennemi sinon autant ne rien faire.

Attendez, je veux bien aider, à condition de ne pas perdre mon temps.
Pour commencer, vous, créateur de ce sujet, devez donner vos références. On doit toujours commencer ainsi.
Parce que maintenant, je ne comprends plus rien dans ce sujet.

Je m'adressais à Prince. Pour finir il faut lutter contre le catholicisme notamment le concile Vatican 2.

Sainte Blandine a écrit:Pour finir il faut lutter contre le catholicisme notamment le concile Vatican 2.

Il faut lutter contre le catholicisme ?

Marmhonie a écrit:Attendez, je veux bien aider, à condition de ne pas perdre mon temps.
Pour commencer, vous, créateur de ce sujet, devez donner vos références. On doit toujours commencer ainsi.
Parce que maintenant, je ne comprends plus rien dans ce sujet.

Cher ami, comment nommeriez-vous le principal ennemi de l’Église ?

vous m'avez fait peur

Vous avez certainement du voir que c'était une erreur de frappe n'est-ce pas Prince ?

Je me suis dit que c'était peut-être un lapsus révélateur.

L'opération est délicate et c'est pour cela qu'à mon sens il faut être très clair et précis dans la désignation de l'ennemi, afin de ne pas retirer la partie saine en même temps que la tumeur.

Depuis Vatican II le mal s'est infiltré dans l'Eglise, mal et bien sont confondus.

Le bien c'est le catholicisme, le mal c'est le libéralisme.

N'importe quoi ce que vous dites cher Prince. Ce n'est pas un lapsus mais une erreur de frappe, je suis très étourdie. Arrêter de dire n'importe quoi. Je vais cesser cette discussion. Le catholicisme libéral est l'ennemi numéro 1 de l'Eglise, si vous voulez restez aveugle , c'est votre choix. Moi, je ne vais pas perdre davantage mon temps ! Dieu vomit les tièdes !

Je ne sais pas ce qu'est le catholicisme libéral.

ça n'existe pas plus que l'eau sèche

Alors, pourquoi vous en parlez ?

florence_yvonne a écrit:Je ne sais pas ce qu'est le catholicisme libéral.

C'est pire qu'une singerie du catholicisme, c'est un empoisonnement des âmes.

Mais plus précisément ?

V2

V2 ?????????