La subversion islamiste, comment l’éradiquer ?

Le Figaro du 24 octobre publie une tribune apportant des détails sur la façon dont se développe la subversion islamique dans le sport. En fait, différentes études ont montré que les islamistes cherchent à investir tout particulièrement le football, les sports de combat et la musculation. Ainsi l’article présente plusieurs exemples de vestiaires dont l’une des salles est systématiquement utilisée comme lieu de prière, et rapporte aussi que la subversion va plus loin puisque des professeurs de judo, par exemple, sont des islamistes.
Certains clubs de sport de combat sont uniquement réservés aux coreligionnaires. Il y a même un club d’arts martiaux coréen strictement réservé aux femmes portant le hidjab et s’entraînant à des horaires réservés.
Pourtant « la règle 50.2 de la Charte Olympique et la plupart des règlements fédéraux rappellent l’obligation de la neutralité religieuse ».
Au total, ce sont « 65000 pratiquants qui s’entraîneraient au sein d’associations sportives communautaires et 11000 sportifs qui s’entraînent dans 122 clubs en lien avec la mouvance séparatiste ». On estime que, du fait que certains encadrants sont islamistes, ce sont plusieurs dizaines de milliers de jeunes qui subissent le prosélytisme islamiste, avec le risque de devenir radicalisé.
Comment en sommes-nous arrivés là ? Il n’y a qu’une seule explication : en haut lieu, les organes dirigeants du pouvoir ont pour objectif de détruire la civilisation occidentale et de la remplacer par l’anarchie résultant d’un mélange de cultures diverses et souvent incompatibles (stratégie du « ordo ab chaos »). Le but final étant de détruire le christianisme, seul vecteur pouvant souder les populations.
Que pouvons-nous faire ? Certes, il faudrait déjà que les responsables locaux fassent preuve de courage et interdisent ces pratiques subversives. Mais ils sont souvent confrontés à un chantage, les membres du club étant prêts à tous le quitter si leurs revendications ne sont pas prises en compte.
C’est tout le rôle néfaste de la laïcité, dont profitent les islamistes. Le concept de laïcité n’existe pas dans le Coran. C’est donc un dialogue de sourds.

La seule solution est de revenir aux traditions chrétiennes de la France, c’est-à-dire que, comme le déclarent les « lois fondamentales du royaume », la religion catholique soit celle du pouvoir en place.
Il ne s’agit pas là – contrairement à ce que certains pourraient penser – d’une orientation privilégiant un clan au détriment des autres, mais d’un retour aux fondements de toute société humaine. Toute société, si elle veut que ses membres vivent en harmonie, a besoin qu’ils aient la même religion.

Or les religions se divisent en deux groupes :
- Celles qui reconnaissent l’existence d’un Créateur transcendant ayant créé l’univers,
- Celles qui considèrent que l’univers est autoporteur, c’est-à-dire qu’il a la capacité de s’autogénérer.
Depuis peu d’années – le milieu du vingtième siècle – l’histoire des sciences a tranché en faveur de la première position. Seul le christianisme la défend. Au contraire, toutes les autres religions, y compris l’athéisme, qui est la religion du dieu-argent, se situent dans la deuxième catégorie, totalement antiscientifique.

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