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UN ORDRE DE CHEVALERIE ITALIEN : L'ORDRE CONSTANTINIEN DE SAINT GEORGES

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UN ORDRE DE CHEVALERIE ITALIEN : L'ORDRE CONSTANTINIEN DE SAINT GEORGES Empty UN ORDRE DE CHEVALERIE ITALIEN : L'ORDRE CONSTANTINIEN DE SAINT GEORGES

Message par Hervé J. VOLTO Sam Fév 25 2023, 09:23

UN ORDRE DE CHEVALERIE ITALIEN : L'ORDRE CONSTANTINIEN DE SAINT GEORGES




Un Ordre de Chevalerie est une puissance Christique, dispensant à ses membres l’initiation, la consécration et l’investiture de la Chevalerie, distribuant aux Chevaliers et à leurs cercles d’influence les lumières et les forces sourdant de l’immuable tradition de la garde de l’Eglise et de la défense de la Chrétienté, assumant en son vivant esprit l’honneur de la Catholicité, au service de la gloire de N.S. Jésus-Christ et de l’établissement ici-bas de Son Royaume.

Il a été tellement écrit de grosses c… hoses erronées sur l’Ordre Constantiniende Saint-Georges, que votre serviteur a voulu rectifier une certain nombre de “on dit”. L’assistance de son épouse, d’origine parmesanne et historienne de l’art, lui a apporté un apport fondamental dans ses recherches.

L’ORDRE SACRE, ANGELIQUE ET MILITAIRE CONSTANTINIEN DE SAINT-GEORGES est un Ordre dynastique de Chevalerie dont les origines remonteraient, selon une tradition légendaire, à l’empereur Constantin et qui survit depuis la réunification de l’Italie en 1870 dans la famille de Bourbon : il aurait été créé après la découverte de la Vraie Croix. C’est la raison pour laquelle il est considéré par quelques historiens comme le plus ancien des Ordres existants à caractère religieux.

En fait, l’Ordre fut fondé entre 1520 et 1545 par Isaac Ange Comnène, cousinant avec les grands dynastes des Balkans et les del Balzo, della Rovere et Médicis. C'est un Ordre Catholique. D’abord appelé Ordre de Constantin, en raison de son prétendu fondateur, puis Ordre Angélique du nom d’Isaac Ange Comnène et Ordre des Chevaliers dorés à cause du collier d’or que portaient les principaux dignitaires, il prit son nom actuel lors de son passage de la Maison de Parme à la Maison de Bourbonde Naples et des Deux-Siciles.

Son but est « la glorification de la Croix, la propagation de la foi et la défense de la Sainte Église romaine ».

La Prière des Chevaliers constantiniens hispanoi-napolitains résume l'engagement des membres de l'Ordre :

-Ô glorieux Saint Georges, soutien et lumière de cette milice Chrétienne qui a hissé le Labarum de Constantin et qui a toujours tenu à la glorification de la Croix, à la propagation de la Foi et à la défense de notre Sainte Eglise, nous confions à ta sainte protection notre Grand-Maître, le sérénissime Prince Pedro, son épouse la sérénissime Princesse Sofia, leur Royale Famille des Deux-Siciles et tous les membres de notre Ordre. Protège aussi tous les princes issus de l'auguste Maison de Bourbon et de l'antique Famille des Farnèse (tous les Bourbons d'Espagne, de Naples et de Parme actuels descendent de Philippe de Bourbon et d'Elisabeth Franese). Fais-nous pratiquer la charité, éloigne-nous de toute vanité, facilite notre combat pour la rechristianisation de notre société et de nos nations, aide-nous encore pour la liberté et le triomphe de notre Mère la Sainte Eglise Catholique, Apostolique et Romaine.
Ainsi soit-il
!

L’ORDRE CONSTANTINIEN DE SAINT-GEORGES survit aujourd’hui en Italie, en Espagne et... en France UN ORDRE DE CHEVALERIE ITALIEN : L'ORDRE CONSTANTINIEN DE SAINT GEORGES 3495411069 !

Quelques auteurs ont écrit que le plus ancien document authentique connu est le « Statut de l’Ordre », réformé par l’empereur d’Orient Isaac II Ange Comnène, en 1190. Le Grand Magistère, transmis d’abord de père en fils dans la dynastie des Comnène passa ensuite au Duc souverain de Parme, Francesco Farnese, qui était apparenté aux Comnène par les femmes : cette transmission prévoyait que l’Ordre devait être transmis à l’intérieur de la Maison régnante sur le Duché de Parme, Plaisance et Guastalla et dans la descendance des Farnese par ordre de promogéniture. Cette transmission fut reconnue par l’empereur élu des Romains Léopold I° d’Habsbourg le 5 août 1699 et sanctionnée par le bref d’Innocent XII Sinceræ Fidei du 24 octobre 1699. De nouveaux statuts furent promulgués par le Duc le 23 mai 1705, confirmant le caractère Catholique de l'Ordre : l'Ordre ne peut être remi qu'à des Chevaliers de confession Catholique.

En 1717 et en 1718, deux mille fantassins du régiment Constantinien de Saint-Georges allèrent se battre en Dalmatie, aux côtés des troupes de la république de Venise, contre les armées turques en 1717 et 1718. L’Ordre Constatinien de Saint-George se rendit prestigieux et, par une bulle de 1719, Clément XI félicita les Chevaliers d’avoir conduit les deux milles fantassins contre les ottomans. Avec la mort d’Antoine Farnèse, dernier Duc de Parme, la dignité de Grand Maître fut transférée à son petit-neveu Charles de Bourbon, fils de sa nièce Élisabeth et de Philippe V d’Espagne, et premier Duc souverain de Parme de la dynastie des Bourbons.

Charles de Parme monta par la suite sur le trône de Naples en 1734. Il fut confirmé comme grand maître par le pape Clément XII en 1738 —bien que Parme fût occupé parles Autrichiens !— et établit le siège de l’Ordre dans ses nouveaux États. Il y transporta les archives et toute la Collection Farnese, un ensemble d’oeuvres d’art de la période Renaissance créé par François Franese et hérité de sa mère Elisabeth, au grand dam des parmesans qui encore aujourd’hui reprochent aux “napolitains” de les avoir “spolliés”, dotant l’Ordre d’une nouvelle organisation et lui donna son nom définitif d’« Ordre Constantinien de Saint-Georges ».

Le nouveau Duc de Parme, Don Felippe, fils cadet d’Elisabeth Farenese et de Phillippe de Bourbon, protesta contre ce transfert à Naples mais n’obbtint pas gain de cause, devant reconnaître à contrecoeur les droits de son frère comme Grand-Maître avec libre exercice des fonctions en son Duché, tout le temps de l’occupation autrichienne. Le Roi des Deux-Siciles, descendant de la famille Farnèse et reconnu par les papes, resta ainsi grand maître, malgré plusieurs tentatives du Duc Dom Felippe de récupérer les archives de l’Ordre et une partie de la Collection Farnese, ce même après que les autrichiens aient laissé Parme et qu’il ai retrouvé sa Souveraineté sur le Duché. Son fils le Duc Ferdinand sera même empoisonné par des agents impériaux désirant au nom de Napoléon I° s’emparer du Duché souverain.

Se proclamant héritière des Farnèse -sa mère descendait de “l’odieux” Charles III et donc d’Elisabeth Farnese !- Marie-Louise d’Autriche, ex-impératrice des Français et Duchesse souvraine de Parme, Plaisance et Guastalla en vertu des traités de 1814, les Bourbons-Parme étant partis régner sur le Royaume d’Etrurie et sur le Duché de Lucques, réclama la Grande Maîtrise de l’Ordre Constantinien de Saint-Georges et réussit à obtenir le 26 février 1816 que l’Ordre fut de nouveau décerné à Parme autant qu’à Naples en souvenir de l’Ordre des Farnèse et cet Ordre Constantinien dit parmesan fut de nouveau un Ordre de mérite à cinq classes qui s’installa au siège de l’ancien Ordre à Parme, en la basilique Santa-Maria della Steccata (Sainte-Marie-de-la-Palissade).

Pour éviter toute nouvelle discussion, les deux Maisons Bourbonniennes souveraines de Parme et des Deux-Siciles convinrent tacitement à partir de 1816 d’en exercer l’une et l’autre les droits, mais les Grands Maîtres à Naples ont toujours refusé de reconnaître les prétentions des Ducs de Parme.

Et, de plus, s’ils ont rendu une partie des archives, ils ont toujours refusé de rendre la Collection Farnese qui se trouve encore aujourd’hui à Naples au musée de Capodimonte (prononcer Capodimonté) : le Saint-Siège a seulement reconnu l’Ordre Constanien de Saint-Georges sous la grand maîtrise du Roi des Deux Siciles et de ses successeurs comme représentants des Farnèse (le Royaume des Deux-Siciles étant à l’époque plus riche et plus prestigieux que le minuscule Duché de Parme !).

Pour résumer, on dira qu'il y a depuis la Restauration un Ordre Constantinien de Saint Georges napolitain et un Ordre Constantinien de Saint-Georges parmesan.

Conservé comme premier Ordre par les Infants d’Espagne, Ducs de Parme et de Plaisance, Guastalla et Etats Annexés (Etrurie et Lucques) par les Bourbon-Parme revenu à Parme après la mort de la Duchesse Marie-Louise, le magistère de l’Ordre Constantinien parmesan ne fut plus conféré après la mort du Duc Robert Ier en 1907, mais les Princes de Parme portent encore les insignes de Sénateur Grand-Croix avec le collier de l’ex-impératrice Marie-Louise. Dans les années 1980, le Duc Charles-Hugues de Bourbon-Parme, petit-fils de Robert I°, a renouvelé l’Ordre Constantinien de Parme et le port des insignes est autorisé aujourd’hui par la République italienne en vertu d’un patronnage pontificale et des Accords du Latran en le Vatican et le gouvernement de Rome.

Mais revenons à Charles III des Deux-Siciles, qui transféra ses droits « italiens » à son fils Ferdinand et à ses descendants par la Pragmatique sanction du 6 octobre 1759 : la grand maîtrise fut transférée dix jours après, le 16 octobre 1759, au Duc Ferdinand comme primogenito legittimo farnesiano -ce qui est une violation flagrante du “Statut de l’Ordre” de 1705 cité plus haut et des droits de la branche parmesanne des Bourbons- Dans la personne du Souverain napolitain coexistaient les deux fonctions séparés de Roi et de Grand-Maître de l’Ordre Constantinien —office ecclésiastique aux normes du droit canonique— sans qu’il n’y ait aucune fusion et malgré sa mention en troisième position, dans l’Almanacco reale des Deux-Siciles, après les Ordres de la dynastie napolitaine et de l’État des Deux Siciles, l’Ordre de Saint-Janvier et l’Ordre de Saint-Ferdinand et du Mérite.

Les statuts de l’Ordre napolitain ont été revus en 1908 et 1919, puis le 20 juillet 1934 et le 16 juillet 1943. D’autres révisions ont été faites en 1968. Bien qu’ayant perdu ses biens lors de l’unification italienne, l’Ordre Constantinien de Saint-Georges, Ordre dynastique familial, s’est maintenu jusqu’à nos jours, car l’Église Catholique continue de lui accorder son patronage, fort des accords de Latran entre le nouvel Etat italien et le Vatican. Le Grand-Prieur de chacune des deux branches napolitaine et parmesanne de l’Ordre est un cardinal de la Sainte Église Catholique Apostolique et Romaine.

Comme si ce n’était pas assez compliqué, une querelle dynastique explosa au sein de la Maison Royale des Deux-Siciles et donc… au sein de l’Ordre napolitain !

Ferdinand-Pie des Deux-Siciles est décédé en 1960 sans héritier direct. Son frère Charles ayant renoncé à ses éventuels droits successoraux à la couronne des Deux-Siciles par l’Acte de Cannes le 14 décembre 1900, un autre frère, Rénier, assuma la succession, contesté par son neveu l’infant Alphonse, fils de son frère ainé, Charles.

Cette renonciation est invalide au regard des règles de succession dela couronne des Deux-Siciles. En effet, l’acte de Cannes a été posé enexécution de la « pragmatique de 1759 » qui ne demande une renonciation que dans le cas où les deux Couronnes seraient unies en une même personne.

De plus, l’Ordre n’est pas lié à la couronne, mais au représentant de la famille Royale de Bourbon, héritière des Farnèse. L’« Acte de Cannes » ne fait d’ailleurs aucune allusion à la grande maîtrise de l’Ordre.

Le Saint-Siège, dont l’arbitrage a été sollicité entre l'Ordre Constantinien de Saint-Georges hispano-napolitain et l'Ordre Constantinien de Saint-Georges Franco napolitain, a refusé de se prononcer sur la question successorale et s’est contenté d’envoyer un prélat aux Chapitres des deux branches de l’Ordre.

Quoi qu’il en soit, deux branches de l’Ordre napolitain coexistent actuellement, l’une sous le grand magistère de Pedro de Borbón-Dos Sicilias/Pierre de Bourbon-Siciles, Duc de Calabre et Infant d’Espagne (la branche hispano-napolitaine), l’autre (la branche franco-napolitaine) sous le grand magistère de Carlo di Borbone delle Due Siciles/Charles de Bourbon-Siciles, Duc de Castro. Ce dernier accuille par ailleur des Chevaliers Français au sein de l’Ordre : il a accuillit récemment le Prince Jean d’Orléans et son neveu, le Prince Jean-Christophe-Napoléon Bonaparte, dont la mère, la Princesse Beatrice de Bourbon-Siciles est sa soeur.

Le 25 janvier 2014, le Duc de Noto (branche hispano-napolitaine) et le Duc de Castro (branche franco-napolitaine) de la Maison Royale des Deux-Siciles ont signé un accord aussi intelligent qu’élégant qui, même s’il ne résout pascomplètement le problème du chef de la Maison Royale, unit plus étroitement les deux têtes des Ordres Royaux dans une meilleure coopération, en tant que co-grands maîtres de l’Ordre Constantinien sur un pied d’égalité.

Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme est président de la Commission Royale pour la France de l’Ordre hispano-napolitain. À ce titre, il est membre de la députation Royale présidée par le grand préfet, le Duc de Noto. La députation Royale avec les grands officiers assiste le gouvernement de l’Ordre sous l’autorité du Grand Maître, le Prince Pierre de Bourbon-Siciles, Duc de Calabre et Comte de Caserte, Chef de la Maison Royale des Deux-Siciles, comme ses ancêtres les Rois des Deux-Siciles en tant qu’aînés farnésiens.

C’est à la demande de l’infant Charles que la Commission Royale pour la France a été créée en 2015. La nomination de son cousin Charles-Emmanuel, manifeste l’intérêt particulier de l’infant pour les chevaliers et dames français qui doivent vivre en bons chrétiens en prenant part à toutes les manifestations qui contribuent au développement des principes religieux et en coopérant au réveil des pratiques chrétiennes. La Commission Royale pour la France soutient des projets et actions humanitaires.

Ce avant que le Duc de Castro ne reprenne en la même année 2015 sa parole et ne décide d’ “isabelliser” la Maison Royale des Deux-Siciles… en déclarant vouloir faire succèder... sa fille, la princesse Marie-Caroline de Bourbon-Siciles, au grand dam du prince Pierre, qui conteste cette prise de position !

A noter que c’est depuis cet abandon de la Loi Salique par le Duc de Castro que son épouse a commencé à avoir des problêmes financiers

Pour conclure, nous avons aujourd’hui trois Ordres Constantiniens de Saint-Georges :

-L’Ordre parmesan, sous la Grande Maîtrise du Prince Charles-Xavier de Bourbon-Parme,
-L’Ordre franco-napolitain, sous la Grande Maitrise du Prince Charles de Bourbon-Siciles, Duc de Castro, qui comte un certain nombre de Chevaliers Français.
-l’Ordre hispano-napolitain, sous la Grande Maitrise du prince Pierre de Bourbon Sicles, Duc de Notto, qui comprend une Comission Royale pour la France
.

Le Prince Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme est aujourd'hui le Président de la Commission Royale pour la France de l’Ordre hispano-napolitain guidé par le Duc de Notto, que semble reconnaître le Prince Louis-Alphonse de Bourbon, Duc d’Anjou, Aîné visible la Maison Royale de Bourbon.

Comme nous le rappelle Paolo Conforti, historien de l’Ordre Constantinien, dans son livre L’Ordine Costantiniano di San Giogio, Storia Stemi e Cavalieri, a cura di Michele Basile Crispo ( p. 169-170), le pape Clément XI plaça l’Ordre sous la protection du Saint-Siège par la bulle Militantis Ecclesiæ du 27 mai 1718, confirmant la nature dynastique de l’Ordre en soulignant la double condition nécessaire à la prise du Grand Magistère : être descendant des Farnese et être Duc SOUVERAIN de Parme et Plaisance. Et donc, en théorie, l’Ordre Constantinien de Saint-Georges ne pourrait trouver sa continuité Légitime qu’au sein de l’Ordre parmesan, guidé par le Prince Charles-Xavier de Bourbon-Parme, Chef de la Ducale et Royale Maison de Parme, Légitime descendant actuel des Ducs souverains de Parme autant que des Farnese.

Le Saint-Siège, dont l’arbitrage a de nouveau été sollicité, a de nouveau refusé de se prononcer sur la question de la Grande Maîtrise et s’est contenté d’envoyer de nouveau un prélat aux Chapitres des trois branches de l’Ordre, à qui il continue d’accorder sa protection sans distinction.

Les Chevaliers et les Dames des trois Ordres Constantiniens sont choisis parmi les personnes de toute nationalité professant la religion Catholique Romaine et possédant les qualités et vertus du Chevalier Chrétien.

Depuis la publication des statuts réformés le 20 juillet 1934, ils sont répartis en grades dans trois classes : Justice, iure sanguinis (classe dénommée de Grâce jusqu’en 1943, doivent démontrer 4 quartiers de Noblesse) et Mérite (succédant aux donats et frères servants d’armes). Les grades d’Office, introduits par une réforme de 1943 correspondent à la Croix du Mérite de l’Ordre (Croce di benemerenza). Chaque classe a deux grades : Grand-croix et Chevalier (ou Dame). On compte en outre cinquante baillis (anciennement sénateurs), en mémoire des cinquante gardes du Labarum de Constantin, qui sont Grand-Croix de Justice.

Sans en être membres, des non-Catholiques peuvent être aujourd'hui affiliés à l’Ordre. Ils sont regroupés dans la classe d’Honneur, ce qui viole les statuts originels.

Pour un vrai Chrétien, seule la Chevalerie peut extraire du chaos actuel un Ordre conforme au plan Divin.




Hervé J. VOLTO
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A lire : L’Ordine Costantiniano di San Giogio, Storia Stemi e Cavalieri, a cura di Michele Basile Crispo (Parma 2002, pour qui lirait l'italien).
Hervé J. VOLTO
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