LA NATION, SANS LE ROI POUR L'INCARNER, EST UNE IDEE QUI PEUT MOURIR

LA NATION, SANS LE ROI POUR L'INCARNER, EST UNE IDEE QUI PEUT MOURIR




Notre-Dame nous en a avertis à Fatima, le 13 juillet 1917 :

-Plusieurs nation seront anéanties !!!

C’est ce à quoi nous assistons, dans un mouvement de plus en plus accéléré, au fur et à mesure que nos nations oublient qu’elles sont nées d’un profond et puissant sentiment religieux, et qu’elles brisent avec les principes Catholiques et Royaux qui les constituaient.

Sous l’effet des guerres de conquête du communisme, de la constitution de grands ensembles inter-étatiques, ou de la lutte armée contre l’autorité de l’État, des nations entières disparaissent sinon de la carte, du moins de la vie internationale pour se fondre dans des ensembles plus vastes, préludes à la mondialisation.
Pourtant, le sentiment national reste très fortement ancré dans les peuples. Au point que, bien souvent, les révolutionnaires ont dû, dans un premier temps, s’en emparer pour arriver à leurs fins ! Mais aujourd’hui déçus, les peuples sont sensibles au souvenir de leur passé plus paisible et plus heureux, qui subsiste malgré une incessante propagande calomnieuse. Il pourrait donner naissance à une réaction.

Pour Le Petit Robert, une nation est « un groupe humain constituant une communauté politique, établie sur un territoire défini (…) et personnifiée par une autorité souveraine ».

Ainsi la France est un Etat-Nation constitué autour d'une dynastie Royale de foi Catholique guidant un peuple Très Chrétien, le peuple Franc, établi sur un territoire de forme exagonal, la France, dont les habitants sont les Français.

La Royauté en France, c'est la primauté du Sacré dans le pouvoir, l'incarnation du principe Royal, la manière la plus élevèe de servir la France. Le Roi, c'est la présence du sacrè dans le pouvoir, al coniytuité de la France, le destin national incarné par un Souverain indépendant des capprices du suffrage universel et du diktat des banques, des lobbys et des ONG.

Cependant, les idéaux de la révolution sont si répandus et considérés universellement comme le Bien, la Vérité, que toute réaction Royaliste aujourd’hui en serait prisonnière et donc vouée à l’échec. En effet, comment sauver la nation en restant attaché à la démocratie qui la divise et aux Droits de l’homme qui bétonnent l’individualisme, qu i remplac les peuples et leur religion ? La Nation, sans le Roi pour l'incarner, est une idée qui peut mourir.

-Les Rois ont fait la France, et elle se défait sans Roi (La Royale) !

Pour ses partisans, par exemple, le Royalisme consiste avant tout en une ambition pour la France : la volonté de redonner au pays la position hégémonique de Fille Aînée de l'Eglise et d'Educatrice des Peuplesqu’elle a eue jusqu’au début du siècle passé, de retrouver un Monarque apte à enclencher de grands projets, celle aussi de sortir du jeu des partis et de la politique à court terme qui caractérise, pour les Royalistes, l’exercice du pouvoir des hommes politiques de la république. Le Royalisme se pose pour certains comme une opposition au nouvel ordre mondial par le renforcement de l’État face aux institutions supranationales qui empiètent sur les libertés fondamentales des peuples. Ainsi la monarchie est à leurs yeux plus “démocratique” que la république dans le sens où elle défend l’indépendance et l' autodétermination des peuples.

La leçon de l’histoire et l’enseignement de l’Église coïncident : La Chrétienté est un seul corps, dont le Christ est la tête, dont l’âme ou principe vital est le Saint-Esprit, qui s'infuse en la personne du Roi de France, Lieutenant du Christ, par le Sacre. Il n’y a rien eu de plus grand dans l’histoire, il n’y aura jamais rien de meilleur dans l’avenir que ce Corps mystique de la nation incarnée en France par son Roi Très Chrétien, une France Fille Aînée de l'eglise et Educatrice des Peuples, répétons-le, qui doit, de proche en proche, gagner toute l’humanité. Toute science vraie, tout art heureux, tout bien et tout progrès s’inscrivent dans ce mouvement Catholique et Royal.

Si nous ne voulons pas de ce Royaume messianique du Christ qui s'incarne à trvers la Monarchie Légitime, eh bien ! nous aurons le monolithisme impérialiste de Satan qui, de la République maçonnique à la démocratie socialiste, conduit le monde révolté contre son Seigneur à l’esclavage communiste du matérialisme athée. C’est l’avertissement de Fatima.

Ou Jésus, par Marie, en Marie, et pour Marie, par la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, ou l’Enfer en ce monde et dans l’autre. Celui de ce monde à l’image de l’autre ! Toute mauvaise politique est venue d’une infidélité idéologique et pratique au Divin Christ -Roi, à la Chrétienté. Toute bonne politique renaîtra dans les esprits libérés de l’utopie pseudo-­Chrétienne et rendus au service du vrai monde Chrétien par la restauration de la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, mariale, interrompue en 1830.




Hervé J. VOLTO, CJA