LA RESTAURATION D'UNE AUTORITE LEGITIME ANTI-DEMOCRATIQUE
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LA RESTAURATION D'UNE AUTORITE LEGITIME ANTI-DEMOCRATIQUE
Dans notre précédant article, LA RESTAURATION D'UN ROI LEGITIME EN FRANCE https://francechretienne.forumactif.com/t1088-la-restauration-d-un-roi-legitime-en-france, nous avons vu que la Légitmité d'un Pouvoir se définit de deux manières :
1. La reconnaissance de Dieu comme source de pouvoir et la défense de Sa sainte Eglise relève de la LEGITIMITE THEOLOGIQUE,
2. La désignation de l’autorité pour un Bien Commun optimum relève de la LEGITIMITE NATURELLE.
Or seule la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, interrompue en 1830, a possédé historiquement cette DOUBLE LEGITIMITE : il appartiendra au Roi de France à venir de rendre au Divin Christ-Roi la couronne perdue à la Rue du Bac et c'est à sa Restauration que nous devons travailler.
Et puisque le souci du Bien Commun de la nation Française doit guider l’autorité politique et fonder sa Légitimité, il en résulte :
1. Que la République, c'est-à-dire le régime politique fondé sur le système démocratique hérité de la Révolution, n’a aucune légitimité, sinon de fait. Le simple jeu des institutions démocratiques, en tout premier lieu la mécanique électorale, divise la France, favorise l’impiété et l’immoralité, détruit les institutions naturelles protectrices pour assujettir les citoyens à une administration enveloppante et oppressive ; pas de victoire électorale sans mensonges, illusions, fausses promesses, surenchères entre les partis ; pas de régime démocratique sans centralisation du pouvoir, sans écrasement des minorités, sans puissance des pouvoirs occultes financiers.
En outre, les chrétiens ne peuvent se soumettre que d'une manière tout extérieure et pragmatique, à des autorités « démocratiques » fondées sur le culte de l'homme, qui se prétendent l'expression de leurs propres consciences, convictions et volontés ! Si l’autorité commande au nom de Dieu, au nom de son droit divin, il faut évidemment lui obéir ; mais si elle prétend me commander en mon nom, de par mon droit et pour ma liberté, alors je n'ai plus qu'à m'obéir à moi-même.
Le pouvoir démocratique est donc inexistant. Le Royaliste ne lui reconnaît aucun droit sur lui, sur sa famille, sur la France, sinon de fait et d'ordre public.
2. De cette constatation et de la sinistre litanie de la corruption démocratique, il résulte que toute autorité Royale Légitime devra nécessairement viser à un renversement spirituel, mental et moral de l'idéologie démocratique et du sentiment républicain.
Il faut souhaiter aussi que les circonstances permettent de se débarrasser au plus vite des institutions démocratiques. Si ce n’est pas opportun de le faire ou si c’est encore impossible pour diverses raisons, il faudra tout au moins que l’autorité Royale restaurée s’en défie et prévoie des mécanismes institutionnels pour en limiter les ravages, contrer la corruption, éviter la division du Royaume. C’est une condition essentielle, avec sa vocation Catholique, de sa propre Légitimité.
3. En face du régime démocratique, l'excellence du pouvoir personnel n'est pas à démontrer. Le Monarque, libre et Souverain, chef-né dans la foi Chrétienne, gouverne au-dessus des intérêts particuliers, des puissances d'argent et des pressions partisanes. Il décide de toutes choses politiques en dernier appel.
Cette théorie de la Monarchie de droit Divin exclut absolument la démocratie polyarchique et la monocratie plébiscitaire et constitutionelle : elle doit être pour celà INSTITUTIONNELLE.
Hervé J. VOLTO, CJA
1. La reconnaissance de Dieu comme source de pouvoir et la défense de Sa sainte Eglise relève de la LEGITIMITE THEOLOGIQUE,
2. La désignation de l’autorité pour un Bien Commun optimum relève de la LEGITIMITE NATURELLE.
Or seule la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, interrompue en 1830, a possédé historiquement cette DOUBLE LEGITIMITE : il appartiendra au Roi de France à venir de rendre au Divin Christ-Roi la couronne perdue à la Rue du Bac et c'est à sa Restauration que nous devons travailler.
Et puisque le souci du Bien Commun de la nation Française doit guider l’autorité politique et fonder sa Légitimité, il en résulte :
1. Que la République, c'est-à-dire le régime politique fondé sur le système démocratique hérité de la Révolution, n’a aucune légitimité, sinon de fait. Le simple jeu des institutions démocratiques, en tout premier lieu la mécanique électorale, divise la France, favorise l’impiété et l’immoralité, détruit les institutions naturelles protectrices pour assujettir les citoyens à une administration enveloppante et oppressive ; pas de victoire électorale sans mensonges, illusions, fausses promesses, surenchères entre les partis ; pas de régime démocratique sans centralisation du pouvoir, sans écrasement des minorités, sans puissance des pouvoirs occultes financiers.
En outre, les chrétiens ne peuvent se soumettre que d'une manière tout extérieure et pragmatique, à des autorités « démocratiques » fondées sur le culte de l'homme, qui se prétendent l'expression de leurs propres consciences, convictions et volontés ! Si l’autorité commande au nom de Dieu, au nom de son droit divin, il faut évidemment lui obéir ; mais si elle prétend me commander en mon nom, de par mon droit et pour ma liberté, alors je n'ai plus qu'à m'obéir à moi-même.
Le pouvoir démocratique est donc inexistant. Le Royaliste ne lui reconnaît aucun droit sur lui, sur sa famille, sur la France, sinon de fait et d'ordre public.
2. De cette constatation et de la sinistre litanie de la corruption démocratique, il résulte que toute autorité Royale Légitime devra nécessairement viser à un renversement spirituel, mental et moral de l'idéologie démocratique et du sentiment républicain.
Il faut souhaiter aussi que les circonstances permettent de se débarrasser au plus vite des institutions démocratiques. Si ce n’est pas opportun de le faire ou si c’est encore impossible pour diverses raisons, il faudra tout au moins que l’autorité Royale restaurée s’en défie et prévoie des mécanismes institutionnels pour en limiter les ravages, contrer la corruption, éviter la division du Royaume. C’est une condition essentielle, avec sa vocation Catholique, de sa propre Légitimité.
3. En face du régime démocratique, l'excellence du pouvoir personnel n'est pas à démontrer. Le Monarque, libre et Souverain, chef-né dans la foi Chrétienne, gouverne au-dessus des intérêts particuliers, des puissances d'argent et des pressions partisanes. Il décide de toutes choses politiques en dernier appel.
Cette théorie de la Monarchie de droit Divin exclut absolument la démocratie polyarchique et la monocratie plébiscitaire et constitutionelle : elle doit être pour celà INSTITUTIONNELLE.
Hervé J. VOLTO, CJA
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