PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
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PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Bien que nous ne soyons plus en Monarchie, le Roi Perdu a un rôle à jouer dans la vie politique de notre Pays. Un Roi est par définition un arbitre, un cociliateur, quand il n'est pas un guide. Le Roi en exil, peut incarner une autorité morale qui peut être écoutée. Il peut attirer l'attention du pouvoir et de ses concitoyens sur des questions précises. Il doit pour celà se tenir en permanance au courant de la vie politique de son pays. Il incarne au-delà de tout une tradition, une continuité, comme un possible recours...
Pour assurer la sécurité des Français, il faudrait :
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
2. Se doter des moyens de répréssion des délinuqnts et des criminels.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
4. Punir les crimes et les délits.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
Assurer l’indépendance des juges, bannir constitutionnellement la politisation de la magistrature, supprimer l’Ecole Nationale de la Magistrature, renforcer les moyens du pouvoir judiciaire, revaloriser le statut des juges, rétablir la justice de paix, permettre au Roi de casser toute décision de justice et de juger en dernier recours, d'arbitrer entre jusitice civile et justice adminIstrative, de présider en personne le Conseil Supérieur de la Magistrature et la Haute Cour de Justice.
2. Se doter des moyens de repression contre les délinquants et les criminels.
Uniifier et renforcer le moyens de polices/gendarmerie, améliorer la formation et la rémunération des policiers et des gendarmes, supprimer toute imposition directs aux fontionnaires des forces de sécurité publique car payant déjà l’Impôt du Sang, augmenter les moyens matériels de la police/gendarmerie, multiplier la présence de policiers en civil dans les zones urbaines, décharger les services de police/gendarmerie des tâches adminIstratives, libérer les forces de police/gendarmerie de la tutelle des Publics Ministères, accorder soutient et considération aux forces de police/gendarmerie, généraliser les titres légaux infalsifiables, faciliter les contrôles d’identité et le prolongement des gardes à vue.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
Inverser les fluxs de l’immigration non-Chrétienne, conforter la famille comme lieu d’éducation, refaire de l’école un instrument d’apprentissage des disciplines sociales, détruire le ZUP, humaniser les zones urbaines à fort taux de délinquence, sanctionner les manifestations publiques d’incitation à la débauche et à le violence.
4. Punir le crimes et les délits.
Faire appliquer les lois, réhabiliter la notion de peine prompt, certaine et imconpréssible, réduire les délais des procédures de justice, réduire l’écart entre le minimum et le maximum de la peine, rétablir la peine de mort pour les crimes de sang, ré-échelonner les peine, rendre possible le jugement des ministres et des magistrats par le Roi, faire appliquer les décisions de jutice, expulser les criminels et les délinquants étrangers au second délit.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
Créer sur le modèle itlaien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, FUSIONNER la police pénitentière AVEC LE RAID, donner à la police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, libérer des places de prison, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires.
Conclusion.
Le Conseil de Régence demande de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions.
Hervé J. VOLTO, CJA
__________
A paraître : Le Roi et la défense du Royaume.
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Fusionner le RAID et la pénitentiaire, c'est absurde! Le RAID a une compétence générale en zone police. Et d'ailleurs en zone gendarmerie Deux choses:
Pour la pénitentiaire
c'est le GIGN qui est territorialement compétent, secteur ou l'on retrouve beaucoup de centrales et de maisons d’arrêt. En pénitentiaire il existe des unités spéciales les ERIS crées il y a une vingtaine d'années et qui gèrent les situations particulières et s’entraînent à Saint-Astier avec les gendarmes mobiles., d'ou un très bon niveau opérationnel. Quant au transfert des prisonniers notamment des DPS, il est acté que ce n'est plus à la DDSP ou à la gendarmerie départementale de gérer le problème mais bien à l'AP
Justice civile et administrative
Il faut juste supprimer la justice admnistrative qui est un particularisme français. La justice a deux ordres ; pénal et civil, action publique et réparation civile sont les deux bases de la justice. C'est le fondement de la justice dans la Bible (Ancien Testament)et c'est un principe édicté par les Romains. C'est dire si cela correspond à notre civilisation. La justice administrative ou des fonctionnaires de l’état gèrent les conflits d’intérêt entre l’état et des particuliers est un non sens typiquement sovieto-jacobin. A supprimer sans délai et à transférer dans le Droit commun (juridiction civile)
Pour la pénitentiaire
c'est le GIGN qui est territorialement compétent, secteur ou l'on retrouve beaucoup de centrales et de maisons d’arrêt. En pénitentiaire il existe des unités spéciales les ERIS crées il y a une vingtaine d'années et qui gèrent les situations particulières et s’entraînent à Saint-Astier avec les gendarmes mobiles., d'ou un très bon niveau opérationnel. Quant au transfert des prisonniers notamment des DPS, il est acté que ce n'est plus à la DDSP ou à la gendarmerie départementale de gérer le problème mais bien à l'AP
Justice civile et administrative
Il faut juste supprimer la justice admnistrative qui est un particularisme français. La justice a deux ordres ; pénal et civil, action publique et réparation civile sont les deux bases de la justice. C'est le fondement de la justice dans la Bible (Ancien Testament)et c'est un principe édicté par les Romains. C'est dire si cela correspond à notre civilisation. La justice administrative ou des fonctionnaires de l’état gèrent les conflits d’intérêt entre l’état et des particuliers est un non sens typiquement sovieto-jacobin. A supprimer sans délai et à transférer dans le Droit commun (juridiction civile)
camisard- Disciple
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Très interessant, cher Camisar : merci ! Fusionner le GIGN (à la place du RAID) et la pénitentiaire ? car en effet les ERIS ont effectivement un exellant niveau opérationnel.
Notre idée serait d'enlever l'administration pénitentaire dela tuelle du ministère de la justice et la tranférer sous les ordres du mistère de l'intérieur, créer sur le modèle italien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, armer ces derniers, donner à cette police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires.
Justice civile et administrative : exellante suggestion. je transmettrai...
Notre idée serait d'enlever l'administration pénitentaire dela tuelle du ministère de la justice et la tranférer sous les ordres du mistère de l'intérieur, créer sur le modèle italien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, armer ces derniers, donner à cette police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires.
Justice civile et administrative : exellante suggestion. je transmettrai...
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Pour ceux qui voudraient approfondir, les Equipes Régionales d'Intervention et de Sécurité (ÉRIS) sont les unités d'intervention de l'administration pénitentiaire Française chargées d'intervenir en cas de tensions (terrorisme, agression, mutinerie, évasion, etc.) dans un établissement pénitentiaire. Elles ont été créées le 27 février 2003 en réponse à des incidents survenus en détention et sont rattachées à chacune des neuf directions interrégionales des services pénitentiaires.
Les ÉRIS sont créées en 2003, par le préfet Didier Lallement, directeur de l'administration pénitentiaire, après les mutineries successives dans les maisons centrales de Moulins et de Clairvaux. À la création des équipes, elles regroupent 210 personnels ; en 2010, les ÉRIS sont formées d'environ 400 personnes issues de l'administration pénitentiaire française. (Dès 1994, une unité régionale composée d'agent de divers établissements de la DR de Marseille, avait été créée par M. SOLANA : Le GIRAP).
Le personnel des ÉRIS est partiellement formé par le Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN), ce qui leur a valu une fois le surnom de « GIGN de la pénitentiaire ».
Ces neuf équipes régionales ont été spécialement formées et équipées pour agir en cas de tension dans un établissement pénitentiaire (maintien et rétablissement de l'ordre en milieu carcéral, sécurisation d'établissements pénitentiaires, etc.). Elles assurent également la sécurité lors des transferts de certaines personnes détenues au profil sensible. Depuis 2015, elles sont formées à la médiation de crise (négociation) et assurent depuis quelques années la gestion des prises d’otages en milieu carcéral.
Chaque ÉRIS comprend en moyenne une trentaine de personnels, issus du corps des surveillants pénitentiaires.
Les ÉRIS sont créées en 2003, par le préfet Didier Lallement, directeur de l'administration pénitentiaire, après les mutineries successives dans les maisons centrales de Moulins et de Clairvaux. À la création des équipes, elles regroupent 210 personnels ; en 2010, les ÉRIS sont formées d'environ 400 personnes issues de l'administration pénitentiaire française. (Dès 1994, une unité régionale composée d'agent de divers établissements de la DR de Marseille, avait été créée par M. SOLANA : Le GIRAP).
Le personnel des ÉRIS est partiellement formé par le Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN), ce qui leur a valu une fois le surnom de « GIGN de la pénitentiaire ».
Ces neuf équipes régionales ont été spécialement formées et équipées pour agir en cas de tension dans un établissement pénitentiaire (maintien et rétablissement de l'ordre en milieu carcéral, sécurisation d'établissements pénitentiaires, etc.). Elles assurent également la sécurité lors des transferts de certaines personnes détenues au profil sensible. Depuis 2015, elles sont formées à la médiation de crise (négociation) et assurent depuis quelques années la gestion des prises d’otages en milieu carcéral.
Chaque ÉRIS comprend en moyenne une trentaine de personnels, issus du corps des surveillants pénitentiaires.
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
La Gendarmerie est une insitution Royale !
La Gendarmerie nationale est une force armée Française chargée des missions de police et placée sous la tutelle du ministère de l'Intérieur. Contrairement aux policiers, ses membres sont des militaires. Héritière de la Maréchaussée, la Gendarmerie est l'une des plus anciennes institutions françaises. De nombreux pays dans le monde ont adopté le principe d'une force de police à statut militaire directement inspirée par la Gendarmerie Française : Guardia Civile espagnole ou Arma dei Carabinieri en Italie.
La Gendarmerie est habituellement chargée de la sécurité dans les zones rurales et dans les zones périurbaines, alors que la Police nationale est chargée de cette mission dans les zones urbaines. Les deux forces ont ainsi chacune une Zone de Responsabilité Propre, dites ZGN pour la Gendarmerie Nationale, ou ZPN pour la Police Nationale même si certaines missions peuvent être accomplies indifféremment par les deux forces sur l'ensemble du territoire (police judiciaire, maintien de l'ordre ou secours en montagne par exemple). La ZGN représente environ 50 % de la population française et 95 % du territoire national.
La Gendarmerie assure trois types de missions :
missions de police judiciaire ;
missions de police administrative ;
missions militaires de police4 et de défense.
Depuis 2009, la Gendarmerie nationale, qui fait partie des forces armées françaises est rattachée au Ministère de l'Intérieur aux côtés de la Police Nationale et de la Sécurité Civile. Placée sous l'autorité budgétaire et opérationnelle de ce ministère, elle conserve néanmoins son statut militaire. Certaines unités sont placées pour emploi au ministère des Armées, comme les gendarmeries spécialisées, le département Gendarmerie du service historique de la Défense et comme certains personnels détachés. La Gendarmerie Nationale et ses personnels restent cependant sous la tutelle de ce dernier ministère concernant le statut militaire de l'Arme et de la majorité de ses effectifs, les missions militaires et les opérations extérieures (« Opex » dans le jargon militaire) pour les missions de prévôté et autres.
Sainte Geneviève est la patronne des gendarmes.
Le musée de la Gendarmerie nationale qui présente l'histoire de l'institution depuis l'époque de la Maréchaussée jusqu'à nos jours est situé à Melun.
La Gendarmerie Nationale est une des plus anciennes institutions Françaises. En effet, elle est l'héritière de la Maréchaussée, corps de militaires héritiers des Chevaliers du Roi qui, chargé de la police et de la justice aux armées depuis le Moyen Âge, devient progressivement une force de police compétente pour l'ensemble de la population sur la quasi-totalité du territoire Français. Les Mousquetaires du Roi sont issus de la Maréchaussée. Cette dernière conserve des attributions de justice extraordinaire (dite « prévôtale ») jusqu'à la Révolution.
En 1720, la Maréchaussée est symboliquement placée sous l'autorité administrative de la Gendarmerie de France, corps de cavalerie lourde assimilé à la Maison Militaire du Roi, qui sera dissous le 1er avril 1788, et en 1791 l'Assemblée Nationale, qui ne souhaite pas conserver le nom de Maréchaussée, trop lié à l'Ancien Régime, lui donne le nom de « Gendarmerie Nationale ». Issue de la Maison Militaire du Roi, la Garde Républicaine est composée de gendarmes.
Force de police à statut militaire, chargée principalement de la sécurité dans les zones rurales et les zones périurbaines, elle est déployée sur tous les territoires de métropole et d'outre mer. Au xxie siècle, sa zone de responsabilité couvre 95 % du territoire national et 55 % de la population Française. Elle est également engagée aux côtés des armées françaises depuis les guerres de la Révolution jusqu'aux crises du xxie siècle.
En 1941, un monument national est édifié à Versailles, Place de la Loi, pour rendre hommage à la Gendarmerie nationale.
Fortement implantée dans les territoires grâce à un maillage étroit, réalisé à partir de brigades identiques, elle évolue à partir du xxe siècle en se dotant d'unités spécialisées dans de nombreux domaines : maintien de l'ordre, police judiciaire, police scientifique, protection des mineurs, lutte contre les formes modernes de criminalité, sécurité-protection, intervention, aviation, police de la route et secours en montagne ou en mer, tout en restant solidement implantée dans les territoires ruraux et péri-urbains. Elle se féminise à partir de 19729. Vers la même période, elle s'ouvre également aux appelés du contingent puis, après la disparition du service militaire, aux gendarmes adjoints volontaires (GAV).
La Gendarmerie nationale est une force armée Française chargée des missions de police et placée sous la tutelle du ministère de l'Intérieur. Contrairement aux policiers, ses membres sont des militaires. Héritière de la Maréchaussée, la Gendarmerie est l'une des plus anciennes institutions françaises. De nombreux pays dans le monde ont adopté le principe d'une force de police à statut militaire directement inspirée par la Gendarmerie Française : Guardia Civile espagnole ou Arma dei Carabinieri en Italie.
La Gendarmerie est habituellement chargée de la sécurité dans les zones rurales et dans les zones périurbaines, alors que la Police nationale est chargée de cette mission dans les zones urbaines. Les deux forces ont ainsi chacune une Zone de Responsabilité Propre, dites ZGN pour la Gendarmerie Nationale, ou ZPN pour la Police Nationale même si certaines missions peuvent être accomplies indifféremment par les deux forces sur l'ensemble du territoire (police judiciaire, maintien de l'ordre ou secours en montagne par exemple). La ZGN représente environ 50 % de la population française et 95 % du territoire national.
La Gendarmerie assure trois types de missions :
missions de police judiciaire ;
missions de police administrative ;
missions militaires de police4 et de défense.
Depuis 2009, la Gendarmerie nationale, qui fait partie des forces armées françaises est rattachée au Ministère de l'Intérieur aux côtés de la Police Nationale et de la Sécurité Civile. Placée sous l'autorité budgétaire et opérationnelle de ce ministère, elle conserve néanmoins son statut militaire. Certaines unités sont placées pour emploi au ministère des Armées, comme les gendarmeries spécialisées, le département Gendarmerie du service historique de la Défense et comme certains personnels détachés. La Gendarmerie Nationale et ses personnels restent cependant sous la tutelle de ce dernier ministère concernant le statut militaire de l'Arme et de la majorité de ses effectifs, les missions militaires et les opérations extérieures (« Opex » dans le jargon militaire) pour les missions de prévôté et autres.
Sainte Geneviève est la patronne des gendarmes.
Le musée de la Gendarmerie nationale qui présente l'histoire de l'institution depuis l'époque de la Maréchaussée jusqu'à nos jours est situé à Melun.
La Gendarmerie Nationale est une des plus anciennes institutions Françaises. En effet, elle est l'héritière de la Maréchaussée, corps de militaires héritiers des Chevaliers du Roi qui, chargé de la police et de la justice aux armées depuis le Moyen Âge, devient progressivement une force de police compétente pour l'ensemble de la population sur la quasi-totalité du territoire Français. Les Mousquetaires du Roi sont issus de la Maréchaussée. Cette dernière conserve des attributions de justice extraordinaire (dite « prévôtale ») jusqu'à la Révolution.
En 1720, la Maréchaussée est symboliquement placée sous l'autorité administrative de la Gendarmerie de France, corps de cavalerie lourde assimilé à la Maison Militaire du Roi, qui sera dissous le 1er avril 1788, et en 1791 l'Assemblée Nationale, qui ne souhaite pas conserver le nom de Maréchaussée, trop lié à l'Ancien Régime, lui donne le nom de « Gendarmerie Nationale ». Issue de la Maison Militaire du Roi, la Garde Républicaine est composée de gendarmes.
Force de police à statut militaire, chargée principalement de la sécurité dans les zones rurales et les zones périurbaines, elle est déployée sur tous les territoires de métropole et d'outre mer. Au xxie siècle, sa zone de responsabilité couvre 95 % du territoire national et 55 % de la population Française. Elle est également engagée aux côtés des armées françaises depuis les guerres de la Révolution jusqu'aux crises du xxie siècle.
En 1941, un monument national est édifié à Versailles, Place de la Loi, pour rendre hommage à la Gendarmerie nationale.
Fortement implantée dans les territoires grâce à un maillage étroit, réalisé à partir de brigades identiques, elle évolue à partir du xxe siècle en se dotant d'unités spécialisées dans de nombreux domaines : maintien de l'ordre, police judiciaire, police scientifique, protection des mineurs, lutte contre les formes modernes de criminalité, sécurité-protection, intervention, aviation, police de la route et secours en montagne ou en mer, tout en restant solidement implantée dans les territoires ruraux et péri-urbains. Elle se féminise à partir de 19729. Vers la même période, elle s'ouvre également aux appelés du contingent puis, après la disparition du service militaire, aux gendarmes adjoints volontaires (GAV).
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Issue de la Maison Militaire du Roi, la Garde Républicaine est composée de gendarmes.
Le Groupe de Sécurité de la Présidence de la République (GSPR) est créé en 19833 et mis en place par le chef d'escadron de gendarmerie Christian Prouteau, des failles dans le service de sécurité du Président de la République François Mitterrand ayant été mises en évidence. Une autre mission —non officielle— du GSPR est la protection de la fille cachée du président (Mazarine Pingeot). La sécurité du président passe ainsi aux mains des gendarmes.
L'unité, qui possède un très bon niveau opérationnel, composée majoritairement de gendarmes de l'ancien GSIGN à sa création, devient totalement mixte à partir de 1995, le groupe comptant alors 26 membres de la Gendarmerie Nationale et 26 membres de la Police Nationale. La première femme intègre le GSPR en 1998.
Après la tentative d'attentat de Maxime Brunerie le 14 juillet 2002 sur la personne du président Jacques Chirac, les effectifs augmentent et passent à 60 fonctionnaires et militaires (30 gendarmes et 30 policiers, dont 4 femmes). La direction du GSPR est alors également conduite sous l'égide de la parité, par une alternance tous les deux ans entre un lieutenant-colonel de la gendarmerie nationale et un commissaire de la police nationale.
À compter du 16 mai 2007, date de l'investiture du président Nicolas Sarkozy, il est mis fin, de fait, à la mixité police-gendarmerie au sein de l'unité. Les 30 gendarmes qui composaient le détachement gendarmerie du GSPR quittent l'Élysée et sont remplacés par 90 policiers, sélectionnés au sein du Service de protection des hautes personnalités (SPHP) ou du RAID. Le GSPR n'a plus un bon niveau opérationnel comme avant.
En septembre 2007, une partie des membres de l'ancien détachement gendarmerie du GSPR intègre le nouveau GIGN en cours de création. Fin 2008, le GSP est intégré au service de protection des hautes personnalités. Le GSPR retrouve son très bon niveau opérationnel.
À la suite de l'élection de François Hollande, les effectifs sont abaissés à 66, les gendarmes font leur retour au sein de l'unité et, pour la première fois depuis sa création, une femme, la commissaire de police Sophie Hatt, prend le commandement du groupe.
À la suite de l'élection d'Emmanuel Macron, les effectifs du GSPR atteignent les 70 agents. Un an plus tard, la commission des Lois du Sénat rapporte qu’Alexandre Benalla, membre du cabinet du président, « s’était attribué un rôle actif dans l’organisation et la gestion de la sécurité de la présidence de la République sans que sa hiérarchie y ait fait obstacle ».
Le poste de directeur de la sécurité de la présidence de la République est créé en mai 2019, il supervise le GSPR et le Commandement militaire du palais de l'Élysée pour pallier les difficultés d’organisation soulevées par la Cour des comptes. Contrairement à ce qui a pu être envisagé, il n'y pas eu de fusion, ni d’autonomie de ces services par rapport au ministère de l’Intérieur. Le GSPR concerve à ce jour un très bon niveau opérationnel.
Demain le Groupe de Sécurité du Président de la République (GSPR) pourrait devenir le Groupe de Sécurité du Roi de France (GSRF).
Le Groupe de Sécurité de la Présidence de la République (GSPR) est créé en 19833 et mis en place par le chef d'escadron de gendarmerie Christian Prouteau, des failles dans le service de sécurité du Président de la République François Mitterrand ayant été mises en évidence. Une autre mission —non officielle— du GSPR est la protection de la fille cachée du président (Mazarine Pingeot). La sécurité du président passe ainsi aux mains des gendarmes.
L'unité, qui possède un très bon niveau opérationnel, composée majoritairement de gendarmes de l'ancien GSIGN à sa création, devient totalement mixte à partir de 1995, le groupe comptant alors 26 membres de la Gendarmerie Nationale et 26 membres de la Police Nationale. La première femme intègre le GSPR en 1998.
Après la tentative d'attentat de Maxime Brunerie le 14 juillet 2002 sur la personne du président Jacques Chirac, les effectifs augmentent et passent à 60 fonctionnaires et militaires (30 gendarmes et 30 policiers, dont 4 femmes). La direction du GSPR est alors également conduite sous l'égide de la parité, par une alternance tous les deux ans entre un lieutenant-colonel de la gendarmerie nationale et un commissaire de la police nationale.
À compter du 16 mai 2007, date de l'investiture du président Nicolas Sarkozy, il est mis fin, de fait, à la mixité police-gendarmerie au sein de l'unité. Les 30 gendarmes qui composaient le détachement gendarmerie du GSPR quittent l'Élysée et sont remplacés par 90 policiers, sélectionnés au sein du Service de protection des hautes personnalités (SPHP) ou du RAID. Le GSPR n'a plus un bon niveau opérationnel comme avant.
En septembre 2007, une partie des membres de l'ancien détachement gendarmerie du GSPR intègre le nouveau GIGN en cours de création. Fin 2008, le GSP est intégré au service de protection des hautes personnalités. Le GSPR retrouve son très bon niveau opérationnel.
À la suite de l'élection de François Hollande, les effectifs sont abaissés à 66, les gendarmes font leur retour au sein de l'unité et, pour la première fois depuis sa création, une femme, la commissaire de police Sophie Hatt, prend le commandement du groupe.
À la suite de l'élection d'Emmanuel Macron, les effectifs du GSPR atteignent les 70 agents. Un an plus tard, la commission des Lois du Sénat rapporte qu’Alexandre Benalla, membre du cabinet du président, « s’était attribué un rôle actif dans l’organisation et la gestion de la sécurité de la présidence de la République sans que sa hiérarchie y ait fait obstacle ».
Le poste de directeur de la sécurité de la présidence de la République est créé en mai 2019, il supervise le GSPR et le Commandement militaire du palais de l'Élysée pour pallier les difficultés d’organisation soulevées par la Cour des comptes. Contrairement à ce qui a pu être envisagé, il n'y pas eu de fusion, ni d’autonomie de ces services par rapport au ministère de l’Intérieur. Le GSPR concerve à ce jour un très bon niveau opérationnel.
Demain le Groupe de Sécurité du Président de la République (GSPR) pourrait devenir le Groupe de Sécurité du Roi de France (GSRF).
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Un peu de pub pour le GIGN, actuel héritier du corps des mousquetaires du Roi
https://www.youtube.com/watch?v=xazcEIgmy64
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Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Conclusion.
Le Conseil de Régence demande
-de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions ; un grand bravo à la Compagnie de Sécurisation et d'Intervention (CSI) intervemnant dans le 9-3.
-créer sur le modèle itlaien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, FUSIONNER la police pénitentière AVEC LE GIGN à travers l'ERIS, donner à la police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, libérer des places de prison, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires ;
-de libérer des places de prison et recréer pour celà les camps de travail pour les délinquants prisonniers ;
-demande une certaine fermeté : « Peine certaine » pour les petits délits, rétablissement de la double peine; perpétuité réelle pour les crimes les plus graves, référendum sur la peine de mort ;
Le Conseil de Régence demande
-de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions ; un grand bravo à la Compagnie de Sécurisation et d'Intervention (CSI) intervemnant dans le 9-3.
-créer sur le modèle itlaien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, FUSIONNER la police pénitentière AVEC LE GIGN à travers l'ERIS, donner à la police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, libérer des places de prison, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires ;
-de libérer des places de prison et recréer pour celà les camps de travail pour les délinquants prisonniers ;
-demande une certaine fermeté : « Peine certaine » pour les petits délits, rétablissement de la double peine; perpétuité réelle pour les crimes les plus graves, référendum sur la peine de mort ;
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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proposition du conseil de régence
Hervé J. VOLTO a écrit: LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Bien que nous ne soyons plus en Monarchie, le Roi Perdu a un rôle à jouer dans la vie politique de notre Pays. Un Roi est par définition un arbitre, un conciliateur, quand il n'est pas un guide. Le Roi en exil, peut incarner une autorité morale qui peut être écoutée. Il peut attirer l'attention du pouvoir et de ses concitoyens sur des questions précises. Il doit pour cela se tenir en permanence au courant de la vie politique de son pays. Il incarne au-delà de tout une tradition, une continuité, comme un possible recours...
Pour assurer la sécurité des Français, il faudrait :
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
2. Se doter des moyens de répression des délinquants et des criminels.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
4. Punir les crimes et les délits.
5. Moderniser le système pénitentiaire.
Hervé J. VOLTO, CJA
Ce texte pourrait être écrit par un républicain. Il ne démontre pas en quoi la royauté est nécessaire pour assurer la sécurité des Français.
Tanzor- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Cher Tanzor, vous avez raison.
Que pourra porter un Roi de plus à la France aujourd'hui? Trois levier pour gouverner : le COURAGE qu'apporte le long terme, la LIBERTE qu'apporte la Souveraineté, la JUSTICE. Face à l'alternance Gauche/Droite devenue impossible, il est nécessaire de faire appel l'alternative Royale.
Le Roi, c'est la présence du Sacré dans le pouvoir, la continuité de la France au-delà de la République, le destin national incarné par un Souverain indépendant des caprices du suffrage universel et du diktat des banques.
Il faut que les policiers, comme les militaires, comprennent que servir le Roi à restaure sera CONTINUER à servir la France. Au-delà de la République...
Que pourra porter un Roi de plus à la France aujourd'hui? Trois levier pour gouverner : le COURAGE qu'apporte le long terme, la LIBERTE qu'apporte la Souveraineté, la JUSTICE. Face à l'alternance Gauche/Droite devenue impossible, il est nécessaire de faire appel l'alternative Royale.
Le Roi, c'est la présence du Sacré dans le pouvoir, la continuité de la France au-delà de la République, le destin national incarné par un Souverain indépendant des caprices du suffrage universel et du diktat des banques.
Il faut que les policiers, comme les militaires, comprennent que servir le Roi à restaure sera CONTINUER à servir la France. Au-delà de la République...
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Bien que nous ne soyons plus en Monarchie, le Roi Perdu a un rôle à jouer dans la vie politique de notre Pays. Un Roi est par définition un arbitre, un cociliateur, quand il n'est pas un guide. Le Roi en exil, peut incarner une autorité morale qui peut être écoutée. Il peut attirer l'attention du pouvoir et de ses concitoyens sur des questions précises. Il doit pour celà se tenir en permanance au courant de la vie politique de son pays. Il incarne au-delà de tout une tradition, une continuité, comme un possible recours...
Pour assurer la sécurité des Français, il faudrait :
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
2. Se doter des moyens de répréssion des délinuqnts et des criminels.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
4. Punir les crimes et les délits.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
Assurer l’indépendance des juges, bannir constitutionnellement la politisation de la magistrature, supprimer l’Ecole Nationale de la Magistrature, renforcer les moyens du pouvoir judiciaire, revaloriser le statut des juges, rétablir la justice de paix, permettre au Roi de casser toute décision de justice et de juger en dernier recours, d'arbitrer entre justice civile et justice administrative, de présider en personne le Conseil Supérieur de la Magistrature et la Haute Cour de Justice, réunir le Conseil Constitutionelle et le Tribunal des Conflits au sein de la Haute Cour de Justice.
2. Se doter des moyens de repression contre les délinquants et les criminels.
Uniifier et renforcer le moyens de polices/gendarmerie, améliorer la formation et la rémunération des policiers et des gendarmes, supprimer toute imposition directs aux fontionnaires des forces de sécurité publique car payant déjà l’Impôt du Sang, augmenter les moyens matériels de la police/gendarmerie, multiplier la présence de policiers en civil dans les zones urbaines, décharger les services de police/gendarmerie des tâches adminIstratives, libérer les forces de police/gendarmerie de la tutelle des Publics Ministères, accorder soutient et considération aux forces de police/gendarmerie, généraliser les titres légaux infalsifiables, faciliter les contrôles d’identité et le prolongement des gardes à vue.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
Inverser les fluxs de l’immigration non-Chrétienne, conforter la famille comme lieu d’éducation, refaire de l’école un instrument d’apprentissage des disciplines sociales, détruire le ZUP, humaniser les zones urbaines à fort taux de délinquence, sanctionner les manifestations publiques d’incitation à la débauche et à le violence.
4. Punir le crimes et les délits.
Faire appliquer les lois, réhabiliter la notion de peine prompt, certaine et imconpréssible, réduire les délais des procédures de justice, réduire l’écart entre le minimum et le maximum de la peine, rétablir la peine de mort pour les crimes de sang, ré-échelonner les peine, rendre possible le jugement des ministres et des magistrats par le Roi, faire appliquer les décisions de jutice, restaurer les camps de travail pour les délinquants emprisonnés, expulser les criminels et les délinquants étrangers au second délit.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
Créer sur le modèle itlaien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, FUSIONNER la police pénitentière AVEC LE GIGN, donner à la police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, libérer des places de prison, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires.
Conclusion.
Le Conseil de Régence demande :
-de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions ; un grand bravo à la Compagnie de Sécurisation et d'Intervention (CSI) intervemnant dans le 9-3.
-créer sur le modèle itlaien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, FUSIONNER la police pénitentière AVEC LE GIGN à travers l'ERIS, donner à la police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires ;
-de libérer des places de prison et recréer pour celà les camps de travail pour les délinquants prisonniers ;
-demande une certaine fermeté : « Peine certaine » pour les petits délits, rétablissement de la double peine; perpétuité réelle pour les crimes les plus graves, référendum sur la peine de mort ;
Hervé J. VOLTO, CJA
__________
A paraître : Le Roi et la défense du Royaume.
Bien que nous ne soyons plus en Monarchie, le Roi Perdu a un rôle à jouer dans la vie politique de notre Pays. Un Roi est par définition un arbitre, un cociliateur, quand il n'est pas un guide. Le Roi en exil, peut incarner une autorité morale qui peut être écoutée. Il peut attirer l'attention du pouvoir et de ses concitoyens sur des questions précises. Il doit pour celà se tenir en permanance au courant de la vie politique de son pays. Il incarne au-delà de tout une tradition, une continuité, comme un possible recours...
Pour assurer la sécurité des Français, il faudrait :
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
2. Se doter des moyens de répréssion des délinuqnts et des criminels.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
4. Punir les crimes et les délits.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
Assurer l’indépendance des juges, bannir constitutionnellement la politisation de la magistrature, supprimer l’Ecole Nationale de la Magistrature, renforcer les moyens du pouvoir judiciaire, revaloriser le statut des juges, rétablir la justice de paix, permettre au Roi de casser toute décision de justice et de juger en dernier recours, d'arbitrer entre justice civile et justice administrative, de présider en personne le Conseil Supérieur de la Magistrature et la Haute Cour de Justice, réunir le Conseil Constitutionelle et le Tribunal des Conflits au sein de la Haute Cour de Justice.
2. Se doter des moyens de repression contre les délinquants et les criminels.
Uniifier et renforcer le moyens de polices/gendarmerie, améliorer la formation et la rémunération des policiers et des gendarmes, supprimer toute imposition directs aux fontionnaires des forces de sécurité publique car payant déjà l’Impôt du Sang, augmenter les moyens matériels de la police/gendarmerie, multiplier la présence de policiers en civil dans les zones urbaines, décharger les services de police/gendarmerie des tâches adminIstratives, libérer les forces de police/gendarmerie de la tutelle des Publics Ministères, accorder soutient et considération aux forces de police/gendarmerie, généraliser les titres légaux infalsifiables, faciliter les contrôles d’identité et le prolongement des gardes à vue.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
Inverser les fluxs de l’immigration non-Chrétienne, conforter la famille comme lieu d’éducation, refaire de l’école un instrument d’apprentissage des disciplines sociales, détruire le ZUP, humaniser les zones urbaines à fort taux de délinquence, sanctionner les manifestations publiques d’incitation à la débauche et à le violence.
4. Punir le crimes et les délits.
Faire appliquer les lois, réhabiliter la notion de peine prompt, certaine et imconpréssible, réduire les délais des procédures de justice, réduire l’écart entre le minimum et le maximum de la peine, rétablir la peine de mort pour les crimes de sang, ré-échelonner les peine, rendre possible le jugement des ministres et des magistrats par le Roi, faire appliquer les décisions de jutice, restaurer les camps de travail pour les délinquants emprisonnés, expulser les criminels et les délinquants étrangers au second délit.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
Créer sur le modèle itlaien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, FUSIONNER la police pénitentière AVEC LE GIGN, donner à la police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, libérer des places de prison, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires.
Conclusion.
Le Conseil de Régence demande :
-de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions ; un grand bravo à la Compagnie de Sécurisation et d'Intervention (CSI) intervemnant dans le 9-3.
-créer sur le modèle itlaien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, FUSIONNER la police pénitentière AVEC LE GIGN à travers l'ERIS, donner à la police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires ;
-de libérer des places de prison et recréer pour celà les camps de travail pour les délinquants prisonniers ;
-demande une certaine fermeté : « Peine certaine » pour les petits délits, rétablissement de la double peine; perpétuité réelle pour les crimes les plus graves, référendum sur la peine de mort ;
Hervé J. VOLTO, CJA
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A paraître : Le Roi et la défense du Royaume.
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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proposition du conseil de régence : la sécurité
Hervé J. VOLTO a écrit:Cher Tanzor, vous avez raison.
Que pourra porter un Roi de plus à la France aujourd'hui? Trois levier pour gouverner : le COURAGE qu'apporte le long terme, la LIBERTE qu'apporte la Souveraineté, la JUSTICE. Face à l'alternance Gauche/Droite devenue impossible, il est nécessaire de faire appel l'alternative Royale.
Le Roi, c'est la présence du Sacré dans le pouvoir, la continuité de la France au-delà de la République, le destin national incarné par un Souverain indépendant des caprices du suffrage universel et du diktat des banques.
Il faut que les policiers, comme les militaires, comprennent que servir le Roi à restaure sera CONTINUER à servir la France. Au-delà de la République...
Cher Hervé,
Excusez-moi d'être un peu brutal : ou vous écrivez pour vous faire plaisir, ou vous voulez vraiment convaincre.
C'est ce que j'ai essayé de vous dire.
Sur le chapitre de la sécurité, voici ce que j'écrirais : aucun gouvernement républicain n'ose envoyer l'armée dans les 1500 zones de non droit. Pourquoi ? Pour deux raisons :
- parce qu'ils ont peur que cela soit mal perçu par leur électorat,
- parce qu'ils sont inféodés à l'oligarchie mondialiste qui leur interdit de toucher à ces zones qui sont là pour "foutre le bordel", conformément au plan mondialiste ("ordo ab chaos").
Seul un roi aurait le courage de passer à l'action.
C'est comme cela qu'on fait de la propagande.
Tanzor- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Ecusez moi Tanzor... mais j'ai écrit :
-3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
Inverser les fluxs de l’immigration non-Chrétienne, conforter la famille comme lieu d’éducation, refaire de l’école un instrument d’apprentissage des disciplines sociales, détruire le ZUP, humaniser les zones urbaines à fort taux de délinquence, sanctionner les manifestations publiques d’incitation à la débauche et à le violence.
je pensai, peut-être à tort, qu'il était IMPLICITE que, pour pouvoir détruires les ZUP à fort taux de délinquence, en amont, il y aurait eu l'envoi l'armée dans les 1500 zones de non droit.
Voici comment celà pourrait être fait : j'ai emprumpté lidée à nos amnis du Conseil dans l'Espérence du Roi
https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/
Pour vider intégralement les banlieues de nos villes, hauts lieux de ces trafics, de tous les trafiquants et selon la méthode que le CER a déjà souvent indiquée , pour nous, « agir dans les quartiers » cela signifie qu’ il faut les nettoyer comme nos soldats savent nettoyer une kasbah :
1/ bloquer toutes les voies d’accès et de sortie par des barrage, comme en temps de guerre,
2/ y pénétrer par la force car il n’y a pas d’autre moyen,
3/ les vider de tous leurs trafics, rue par rue, immeuble par immeuble, cave par cave,
4/ mettre à terre toutes les « barres » et autres « tours » non seulement insupportablement laides mais qui en sont aussi les sanctuaires impénétrables,
5/ mettre aux fers tous les délinquants qu’on ne manquera pas d’y trouver ; le bagne et des camps de travail, à restaurer, feront parfaitement l’affaire,
6/ renvoyer chez eux manu militari tous les illégaux et organiser (vraiment) la remigration du reste.
Mais pour celà, il faut ce qui manque à la Rèpublique, c'est à dire un Roi car il possèdera trois levier pour gouverner : le COURAGE qu'apporte le long terme, la LIBERTE qu'apporte la Souveraineté, et donc la JUSTICE.
-3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
Inverser les fluxs de l’immigration non-Chrétienne, conforter la famille comme lieu d’éducation, refaire de l’école un instrument d’apprentissage des disciplines sociales, détruire le ZUP, humaniser les zones urbaines à fort taux de délinquence, sanctionner les manifestations publiques d’incitation à la débauche et à le violence.
je pensai, peut-être à tort, qu'il était IMPLICITE que, pour pouvoir détruires les ZUP à fort taux de délinquence, en amont, il y aurait eu l'envoi l'armée dans les 1500 zones de non droit.
Voici comment celà pourrait être fait : j'ai emprumpté lidée à nos amnis du Conseil dans l'Espérence du Roi
https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/
Pour vider intégralement les banlieues de nos villes, hauts lieux de ces trafics, de tous les trafiquants et selon la méthode que le CER a déjà souvent indiquée , pour nous, « agir dans les quartiers » cela signifie qu’ il faut les nettoyer comme nos soldats savent nettoyer une kasbah :
1/ bloquer toutes les voies d’accès et de sortie par des barrage, comme en temps de guerre,
2/ y pénétrer par la force car il n’y a pas d’autre moyen,
3/ les vider de tous leurs trafics, rue par rue, immeuble par immeuble, cave par cave,
4/ mettre à terre toutes les « barres » et autres « tours » non seulement insupportablement laides mais qui en sont aussi les sanctuaires impénétrables,
5/ mettre aux fers tous les délinquants qu’on ne manquera pas d’y trouver ; le bagne et des camps de travail, à restaurer, feront parfaitement l’affaire,
6/ renvoyer chez eux manu militari tous les illégaux et organiser (vraiment) la remigration du reste.
Mais pour celà, il faut ce qui manque à la Rèpublique, c'est à dire un Roi car il possèdera trois levier pour gouverner : le COURAGE qu'apporte le long terme, la LIBERTE qu'apporte la Souveraineté, et donc la JUSTICE.
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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proposition du conseil de régence : la sécurité
Hervé J. VOLTO a écrit:
(...)
Mais pour cela, il faut ce qui manque à la République, c'est à dire un Roi car il possédera trois leviers pour gouverner : le COURAGE qu'apporte le long terme, la LIBERTÉ qu'apporte la Souveraineté, et donc la JUSTICE.
Nous sommes d'accord sur le fond.
C'est cette dernière phrase qu'il faut absolument intégrer dans votre texte.
A mon avis.
En y ajoutant un point de clivage fondamental (car un républicain pourrait aussi avoir le courage et le sens de la justice). Quant à la liberté, le roi l'a non pas parce qu'il est souverain - De Gaulle l'était aussi - mais parce que, de par son statut, il ne dépend pas des élections.
Toujours l'importance de mettre en avant un clivage auquel on ne peut répondre que par oui ou non.
Tanzor- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Tout à fait d'accord ! Vos observations sont précieuse, cher Tanzor : elle font avancer la cause Royale.
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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propositions du conseil de régence
Hervé J. VOLTO a écrit:Tout à fait d'accord ! Vos observations sont précieuseS, cher Tanzor : elle font avancer la cause Royale.
Merci pour vos compliments !
Bon courage pour votre travail !
Tanzor- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Merci à vous pour vos encouragements, cher Tanzor.
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
A paraître : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
A PARAITRE : LE ROI ET LA DEFENSE DU ROYAUME
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Pour assurer la sécurité des Français, il faudrait :
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
2. Se doter des moyens de répréssion des délinquants et des criminels.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
4. Punir les crimes et les délits.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
Conclusion.
Le Conseil de Régence demande de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions.
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
2. Se doter des moyens de répréssion des délinquants et des criminels.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
4. Punir les crimes et les délits.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
Conclusion.
Le Conseil de Régence demande de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions.
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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proposition du Conseil de régence : la sécurité
Hervé J. VOLTO a écrit:Pour assurer la sécurité des Français, il faudrait :
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
2. Se doter des moyens de répréssion des délinquants et des criminels.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
4. Punir les crimes et les délits.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
Conclusion.
Le Conseil de Régence demande de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions.
Il n'y a aucune valeur ajoutée à ce que vous écrivez. Un républicain pourrait dire la même chose. Il vous faut entrer dans le détail de ces mesures pour montrer en quoi la voie royaliste est différente.
Tanzor- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Pour assurer la sécurité des Français, il faudrait :
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
2. Se doter des moyens de répréssion des délinquants et des criminels.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
4. Punir les crimes et les délits.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
Conclusion.
Le Conseil de Régence demande de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions.
Que pourra porter un Roi à la France aujourd'hui? Trois levier pour gouverner : le courage qu'apporte le long terme, la liberté qu'apporte la Souveraineté, la justice qu'apporte l'esprit Chrétien.
1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
2. Se doter des moyens de répréssion des délinquants et des criminels.
3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
4. Punir les crimes et les délits.
5. Moderniser le système pénitenciaire.
Conclusion.
Le Conseil de Régence demande de délier les questions de justice et de sécurité publique, éminamment régaliennes, du jeu politique, en les confiant à une autorité réellement souveraine indépendante des lobbies et des factions.
Que pourra porter un Roi à la France aujourd'hui? Trois levier pour gouverner : le courage qu'apporte le long terme, la liberté qu'apporte la Souveraineté, la justice qu'apporte l'esprit Chrétien.
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
Merci aussi à camisar pour ses précieux conseils.
Hervé J. VOLTO- Vénérable
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Re: PROPOSITION DU CONSEIL DE REGENCE : LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
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