Adrien Abauzit sur le retour du roi (réflexion pertinente)

Ce que dit Monsieur Abauzit est d'autant plus pertinent que les Français ont été totalement  aculturés par tous ces "historiens" de gauche en place depuis la boucherie talibanesque de 1789. Et c'est toujours le cas aujourd'hui, même si des approches de solutions peuvent être envisagées.

    Pour pouvoir souhaiter le retour du Roi, encore faudrait-il que les français sachent qui il est. Qu'il soit visible par le plus grand nombre. A cette effet, il faudrait arrêter avec cette histoire de "prétendants", entretenue par la presse "gauchiasse", et s'unir derrière Louis XX.

    Comment faire pour qu'il soit visible ? Il n'y a pas 36 solutions. Télévision, presse et réseaux sociaux (encore que...).
    En effet, la télévision est LE média qui offre la plus grande visibilité. Mais pour y accéder, il faut être représenté avec un minimum de crédibilité. Les petits reportages de 3 minutes ici ou là ou un portrait tous les dix ans sont d'une efficacité proche de zéro.

    Alors quoi ? Le parti politique ?… Oui, je sais ! Le Roi ne fait pas de politique (normal) et ne se présente pas non plus à des élections (re-normal). Puisqu’il ne le peut ni ne le doit, faisons-le à sa place. Il reste ainsi hors de la « mêlée » laissant oeuvrer ses partisans.

    Etant entendu que le retour du Roi ne pourra se faire ni par la prière uniquement, ni par une révolution à l’envers, ni par un coup d’État ou autre action violente, il n’en reste qu’une, la création du parti « Pour le Retour du Roi » (en fait, on l’appelle comme on veut).
    Il existe bien l’« Alliance Royale », mais son indécision à suivre notre Roi laisse ce parti végéter.  Dommage, car ils ont de bonnes idées à mettre en place.

    Le parti une fois créé, quelles missions ? (à modifier, compléter à souhait).
- Proclamer en premier qu’en cas de victoire le «président royaliste » s’engage dès que possible (délai?) à laisser le pouvoir au Roi ;
- Pour ce faire, décrète l’abrogation de la constitution et la mise en place de la nouvelle monarchie ;
- Dissolution immédiate du parlement et élections à la proportionnelle des députés uniquement (fin du Sénat) choisis dans les corps sociaux du royaume (4 par département) : 1 représentant les familles, 1 représentant les entrepreneurs et professions libérales, 1 représentant les agents de l’État et enfin, 1 représentant les élus locaux (seul cumul possible)…. Et fini le camembert politique.
- Le Roi est secondé par un cabinet qui reflète le gouvernement ;
- Le Roi est le chef suprême des Armées ;
- Le Roi est le chef suprême de la magistrature (pour la sortir des griffes des politiques et, comme pour les militaires, pas de droit de grève, pas de droit au syndicat ni association présentant un caractère professionnel.
    Pour gouverner ? Pas de problème. De la même manière qu’un président nomme le premier ministre, le Roi fera de même.

    Mais avant tout cela, le PRR aura la lourde tâche de faire connaître le Roi (la COM vous dis-je) qui emportera l’empathie des Français, condition nécessaire à la réussite, et de diffuser son programme.

    Bien facile à dire que tout cela, c’est vrai. Mais je ne vois pas comment, sans une organisation centralisée, bien définie, nous pourrions y arriver.
Travailler chacune dans son coin n’amènera à rien sinon à attendre 2 ou 300 ans supplémentaires.