L'oeuvre de Maria Valtorta: oeuvre voulue par Dieu. Le Verbe n'a jamais cessé de parler à ses petites âmes choisies... Maria Valtorta est l'une d'entre elles.

Grand merci Benoît!
Amicalement!
Bryand

Un autre extrait passionnant cette fois du tome 7 de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes. On les trouve en pdf gratuitement (4849 pages)  

« Ça ne fait rien! Maintenant, Tamar, sois bon et laisse-moi retirer tes pansements. »

La fille, qui est maintenant convaincue, est d'accord. Quel spectacle quand le dernier pansement en lin est enlevé! Deux marques rouges, croûteuses, enflées des plaies sont à la place de ses yeux, et des larmes et du pus coulent d'eux. La foule hurle de terreur et de pitié tandis que la petit fille prend ses mains sur son visage pour se protéger de la lumière ce qui doit la faire terriblement souffrir; deux brûlures rouges récentes avec des enflements de poire sur ses tempes.

Jésus retire ses petites mains et avec une légère touche il pose Sa main sur elle en disant: « Père. Qui a créé la lumière pour la joie des vivants et a même donné des yeux aux moucherons, créature de nôtre divinité afin qu'elle puisse Vous voir et croire en Vous où, aride de la lumière de la Terre, elle peut entrer, par la Foi, dans la lumière de votre royaume. » Il retire sa main...

« Oh! » crient-ils tous.

Il n'y a plus de plaies. Mais la fille garde toujours les yeux fermés. « Ouvre-les, Tamar. N'aie pas peur. La lumière ne te fera plus du mal. »
La fille obéit plutôt timidement et ouvre les yeux, ses paupières montrant deux yeux foncés vifs.

« Père! Je vous vois! »
Et elle se détend aussi sur l'épaule de Jésus pour s'habituer lentement à la lumière.

La foule se réjouit pendant que l'homme de Petra danse lui-même avec ses pieds et les femmes pleurent."

Merci Jésus de tout ces miracles, de toutes ces preuves de ton Divin Amour, démultiplié depuis que tu es venu sur terre pour nous racheter, et ces preuves n'ont pas cessé depuis 2000 ans.

Bonsoir à toutes et à tous,



en ce qui me concerne, je reste seulement à la SAINTE BIBLE, le reste n'est rien, absolument rien.

Le LIVRE de l'APOCALYPSE nous met en garde de ne rien enlever et aussi de ne rien ajouter.




Nicolas

Nicolas a écrit:en ce qui me concerne, je reste seulement à la SAINTE BIBLE, le reste n'est rien, absolument rien.

Bonjour Nicolas.
Je suis catholique, pas protestant. Pour un catholique, le Missel, Le Bréviaire pour les 7 temps de chaque jour aux prières, et le Rituale Romanum en latin.
La lecture libre de la Bible nous est interdite.
Elle est le vecteur clef de Luther.
Nous n'avons pas la même foi, je suis désolé.

Nicolas a écrit:Le LIVRE de l'APOCALYPSE nous met en garde de ne rien enlever et aussi de ne rien ajouter.

Et voilà à quoi aboutit la liberté de lire la Sainte Bible en toute liberté, chacun s'en faisant son avis et ses commentaires.
Apocalypse de Saint Jean, Bible Liturgie Crampon, Chapitre XXII, versets 18 & 19 :
"18 Je déclare aussi à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre que, si quelqu'un y ajoute, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre ;
19 et que, si quelqu'un retranche des paroles de ce livre prophétique, Dieu lui retranchera sa part de l'arbre de la vie et de la cité sainte, qui sont décrits dans ce livre."
Jamais il n'est fait mention du mot "Bible" dans la Bible qui est un recueil de "rouleaux" (Biblos en grec).
Jean scelle la fin de la Bible et des révélations avec la venue de NSJC en mourant vers 103. Jamais il ne dit, ni lui, ni personne, de ne lire que la Bible, puisque quand Jean le baptiste apparait, il n'y a que la Torah !
Il n'y a pas les Lettres de Saint Paul, celles de Jean, de Pierre, il n'y a pas les quatre évangiles canoniques.

Bien sûr qu'il faut lire Saint Thomas d'Aquin (je suis thomiste & mon forum d'étude des religions l'est), Saint Irénée, tous les grands et notamment du XIX siècle, Mgr Gaume, Mgr de Ségur, Mgr Delassus et le cardinal Pie par ordre de chronologie. Bien sûr que les études de vrais séminaristes sont fondamentales. Il nous faut le Saint Rosaire de Saint Dominique, le Chemin de Croix des franciscains, la Sainte Messe de Saint Pie V !

Vous, vous vous enfermez dans une Bible (quel canon, celui de Luther avec 66 Livres ou celui de la Sainte Eglise avec 73 Livres ?), sans les commentaires.
Nous, nous étudions toutes les encycliques, en latin, et le grec, et l'hébreu, et l'araméen, etc.

Hors de la Sainte Eglise Catholique, Une, Apostolique, point de salut !

Marmhonie a écrit:

Nicolas a écrit:en ce qui me concerne, je reste seulement à la SAINTE BIBLE, le reste n'est rien, absolument rien.

Bonjour Nicolas.
Je suis catholique, pas protestant. Pour un catholique, le Missel, Le Bréviaire pour les 7 temps de chaque jour aux prières, et le Rituale Romanum en latin.
La lecture libre de la Bible nous est interdite.
Elle est le vecteur clef de Luther.
Nous n'avons pas la même foi, je suis désolé.

Nicolas a écrit:Le LIVRE de l'APOCALYPSE nous met en garde de ne rien enlever et aussi de ne rien ajouter.

Et voilà à quoi aboutit la liberté de lire la Sainte Bible en toute liberté, chacun s'en faisant son avis et ses commentaires.
Apocalypse de Saint Jean, Bible Liturgie Crampon, Chapitre XXII, versets 18 & 19 :
"18 Je déclare aussi à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre que, si quelqu'un y ajoute, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre ;
19 et que, si quelqu'un retranche des paroles de ce livre prophétique, Dieu lui retranchera sa part de l'arbre de la vie et de la cité sainte, qui sont décrits dans ce livre."
Jamais il n'est fait mention du mot "Bible" dans la Bible qui est un recueil de "rouleaux" (Biblos en grec).
Jean scelle la fin de la Bible et des révélations avec la venue de NSJC en mourant vers 103. Jamais il ne dit, ni lui, ni personne, de ne lire que la Bible, puisque quand Jean le baptiste apparait, il n'y a que la Torah !
Il n'y a pas les Lettres de Saint Paul, celles de Jean, de Pierre, il n'y a pas les quatre évangiles canoniques.

Bien sûr qu'il faut lire Saint Thomas d'Aquin (je suis thomiste & mon forum d'étude des religions l'est), Saint Irénée, tous les grands et notamment du XIX siècle, Mgr Gaume, Mgr de Ségur, Mgr Delassus et le cardinal Pie par ordre de chronologie. Bien sûr que les études de vrais séminaristes sont fondamentales. Il nous faut le Saint Rosaire de Saint Dominique, le Chemin de Croix des franciscains, la Sainte Messe de Saint Pie V !

Vous, vous vous enfermez dans une Bible (quel canon, celui de Luther avec 66 Livres ou celui de la Sainte Eglise avec 73 Livres ?), sans les commentaires.
Nous, nous étudions toutes les encycliques, en latin, et le grec, et l'hébreu, et l'araméen, etc.

Hors de la Sainte Eglise Catholique, Une, Apostolique, point de salut !

Bonjour Marhmonie et Nicolas,

Marhmonie, encore faudrait-il expliquer d'où vient cette formule 
         que vous avez abusivement retransformée pourrions-nous constater 
                à la suite d'autres utilisations au cours des siècles
        de cette formulation qui
           vient originalement de saint Cyprien de Carthage au 3^e siècle...
                                      Et elle y vient présumément lorsqu'on en donne un autre sens, 
                          car l'a-t-il seulement employée dans le sens que certains ont voulu lui donner?
Cette expression dite en latin Extra Ecclesiam nulla salus 
         a couramment été mal comprise et utilisée abusivement à mauvais escient... 
    Dite aussi Salus extra ecclesiam non est 
    elle se retrouve  dans ses lettres Epistula 4, 4 et Epistula 73, 21,2

      que chacun pourra retracer pour la méditer de façon plus approfondie.


Dite dans le sens que vous l'employez 
             elle n'est donc plus usitée (l'a-t-elle jamais été 
                                en dehors de certains commentateurs ?) 
             par l'Église qui ne se base sur aucune formulation 
                raccourcie de ce genre pour travailler au salut des âmes... 
De  nombreuses controverses nées de cette formulation 
                   ont dû être combattues et mieux commentées par les docteurs de l'Église.


Par exemple la dissidence du jésuite américain Leonard Feeney ((1897-1978) prêtre irlandais, 
                excommunié en 1953 pour cette déviation doctrinale (farouchement énoncée à tous vents:
                                          hors de l'Église point de salut)  en particulier qu'il a mal enseignée
                     et expulsé de la Compagnie de Jésus pour non allégeance à la saine doctrine et son entêtement.
Tête forte et récalcitrant il se réconcilia toutefois en 1972 avec l'Église...

Mais cette formulation mal comprise 
       a continué d'être desservie par des dissidents.

La formulation serait mieux comprise
        en disant:  le salut est confiée à l'Église
              bien établie par le Seigneur 
             pour cette grande mission du salut des âmes! 
Bien recevoir sa doctrine 
         et accueillir son enseignement et ses encouragements 
                    par la participation à ses sacrements!

Concernant les dissidences il faudra les voir une à une.
Chacun est invité à se convertir et se reconvertir.

Amicalement! 
Bryand

Concernant @Nicolas,
      cependant je lui dirais que ...« de ne rien ajouter / retrancher ... »
concerne la prophétie donnée en Apocalypse 22 
C'est de cette prophétie qu'il ne faut rien retrancher rien ajouter.

Cette prophétie concerne l'histoire du salut confié à l'Église:
                   salut qui est toujours en cours et dont l'Église en aura la mission
                               jusqu'à la fin des temps qui n'est donc  pas terminée.

C'est une bonne nouvelle.


Le livre en question ici est le livre écrit par saint Jean:
  «"01 Puis l’ange me montra l’eau de la vie : 
              un fleuve resplendissant comme du cristal, qui jaillit du trône de Dieu et de l’Agneau.
02 Au milieu de la place de la ville, entre les deux bras du fleuve, 
   il y a un arbre de vie 
              qui donne des fruits douze fois :
           chaque mois il produit son fruit ; et les feuilles de cet arbre sont un remède pour les nations.
03 Toute malédiction aura disparu. 
              Le trône de Dieu et de l’Agneau sera dans la ville, 
                   et les serviteurs de Dieu lui rendront un culte ;
04 ils verront sa face, et son nom sera sur leur front.
05 La nuit aura disparu, 
        ils n’auront plus besoin de la lumière d’une lampe ni de la lumière du soleil, 
               parce que le Seigneur Dieu les illuminera ; ils régneront pour les siècles des siècles.
06 Puis l’ange me dit : « Ces paroles sont dignes de foi et vraies : 
               le Seigneur, le Dieu qui inspire les prophètes, a envoyé 
                     son ange pour montrer à ses serviteurs ce qui doit bientôt advenir.
07 Voici que je viens sans tarder. Heureux celui qui garde les paroles de ce livre de prophétie. »
08 C’est moi, Jean, qui entendais et voyais ces choses. 
                   Et après avoir entendu et vu, je me jetai aux pieds de l’ange 
                      qui me montrait cela, pour me prosterner devant lui.
09 Il me dit : « Non, ne fais pas cela ! Je suis un serviteur comme toi, 
               comme tes frères les prophètes et ceux qui gardent les paroles de ce livre. 
                   Prosterne-toi devant Dieu ! »
10 Puis il me dit : « Ne mets pas les scellés sur les paroles de ce livre de prophétie.
                  Le temps est proche, en effet.
11 Que celui qui fait le mal fasse encore le mal, 
               et que l’homme sali se salisse encore ; 
                     que le juste pratique encore la justice,
                            et que le saint se sanctifie encore.
12 Voici que je viens sans tarder, et j’apporte avec moi le salaire 
                  que je vais donner à chacun selon ce qu’il a fait.
13 Moi, je suis l’alpha et l’oméga,
              le premier et le dernier, le commencement et la fin.
14 Heureux ceux qui lavent leurs vêtements :
           ils auront droit d’accès à l’arbre de la vie 
                 et, par les portes, ils entreront dans la ville.
15 Dehors les chiens, les sorciers, les débauchés, les meurtriers, les idolâtres,
                     et tous ceux qui aiment et pratiquent le mensonge !
16 Moi, Jésus, j’ai envoyé mon ange
             vous apporter ce témoignage au sujet des Églises. 
                   Moi, je suis le rejeton, le descendant de David, l’étoile resplendissante du matin. »
17 L’Esprit et l’Épouse disent : 
             « Viens ! » Celui qui entend, qu’il dise : 
                « Viens ! » Celui qui a soif, qu’il vienne. 
         Celui qui le désire, qu’il reçoive l’eau de la vie, gratuitement.
18 Et moi, devant tout homme qui écoute les paroles de ce livre de prophétie, je l’atteste :
              si quelqu’un y fait des surcharges, 
                 Dieu le chargera des fléaux qui sont décrits dans ce livre ;
19 et si quelqu’un enlève des paroles à ce livre de prophétie, Dieu lui enlèvera sa part :
           il n’aura plus accès à l’arbre de la vie ni à la Ville sainte, qui sont décrits dans ce livre.
20 Et celui qui donne ce témoignage déclare : 
        « Oui, je viens sans tarder. » – Amen ! Viens, Seigneur Jésus !
21 Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous ! "»



Qui ajouterait autrement à l'histoire du salut?
Qui retrancherait?

Ce seraient ceux qui ne savent pas conduire le salut universel pour dire toi tu n'y entres pas.
L'Église quant à elle elle insiste à temps et à contre-temps 
               pour le salut offert par Dieu
        à toutes les âmes de la terre confiées à l'Église missionnée.

Dieu n'est pas muet dans son Église
et personne ne peut refaire autrement 
      cette Église basée sur la pierre son Pierre et ses successeurs nommés sans interruption.

Et l'Esprit Saint n'a pas terminé de répéter ce qu'il entend 
       en son temps pour le partager avec les choisis pour se faire.
Il a été dit "la connaissance augmentera"     en son temps.

Voilà pourquoi ce que le Seigneur a dit
      à ses prophètes est connu en son temps.
Dieu n'est pas muet! La connaissance n'est pas terminée!
L'Église parle encore. Cela fait partie de sa mission.

------------------    
À suivre

Pardon Bryan mais dans votre mis en page illisible, il y a longtemps que j'ai abdiqué de vous lire.

Vous avez des extraits de l'oeuvre en 10 volumes de Maria Valtorta en français ici :
https://francechretienne.forumactif.com/t886-oeuvre-de-maria-valtorta-extraits



Tout le monde n'a pas la possibilité de s'offrir les 10 volumes d'autant qu'on les trouve en pdf en français.
Il est donc sympathique d'avoir cela dans son ordinateur et d'en offrir quelques extraits.

Je vous en redonne un si vous n'aviez pas lu qu'ils sont cités en extraits :
Un autre extrait passionnant sur une parabole de NSJC de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes. On les trouve en pdf gratuitement (4849 pages).
La parobole des mineurs, elle est profonde :
"Un groupe de mineurs descendirent dans une mine où ils savaient qu'il y avait des trésors, bien cachés pourtant dans les profondeurs du sol. Et ils se mirent à creuser. Mais le terrain était dur et le travail fatigant.
Un grand nombre se lassèrent et, jetant leurs pics, s'en allèrent. D'autres se moquèrent du chef d'équipe en le traitant presque d'imbécile. D'autres s'en prirent à leur sort, au travail, à la terre, au métal et frappèrent avec colère les entrailles de la terre, brisant le filon en fragments inutilisables et puis, ayant tout gâté et n'étant arrivés à rien, ils s'en allèrent, eux aussi. Il n'en resta qu'un, le plus persévérant. Il traita avec douceur les couches de terre qui résistaient, pour les percer sans rien gâter, il fit des essais, il creusa plus profond. Il finit par découvrir un merveilleux filon de métal précieux. La persévérance du mineur fut récompensée et, avec le métal très pur qu'il avait découvert, il put mettre en train de nombreux travaux, acquérir beaucoup de gloire et une nombreuse clientèle parce que tout le monde voulait de ce métal que seule la persévérance avait su trouver, là où les autres, paresseux ou coléreux, n'avaient rien obtenu.
Mais l'or découvert, pour être beau et au point voulu pour servir à l'orfèvre, doit à son tour persévérer dans la volonté de se faire travailler. Si l'or, après le premier travail de découverte, ne voulait pas souffrir de peines, il resterait brut et on ne pourrait le travailler. Vous voyez donc que le premier enthousiasme ne suffit pas pour réussir, ni comme apôtre, ni comme disciple, ni comme fidèle. Il faut persévérer.
Nombreux étaient les compagnons d'Hermastée et, dans le feu de l'enthousiasme, ils avaient promis de venir tous. Lui seul est venu. Nombreux sont mes disciples et ils le seront de plus en plus. Mais seulement le tiers de la moitié saura l'être jusqu'à la fin. Persévérer. C'est le grand mot. Pour toutes les choses bonnes.
Vous, quand vous jetez le tramail pour saisir les coquillages de pourpre, est-ce que par hasard vous le faites une seule fois ? Non. Mais, un coup après l'autre, pendant des heures, pendant des journées, pendant des mois, tout disposés à revenir sur les lieux l'année suivante, parce que cela donne du pain et de l'aisance à vous et à vos familles. Et vous voudriez agir autrement pour les choses plus grandes que sont les intérêts de Dieu et de vos âmes, si vous êtes fidèles; les vôtres et celles de vos frères, si vous êtes disciples ? En vérité je vous dis que, pour extraire la pourpre des vêtements éternels, il faut persévérer jusqu'à la fin.
Et maintenant comportons-nous en bons amis jusqu'à l'heure du retour, ainsi nous nous connaîtrons mieux et il sera facile de nous reconnaître..."
Et ils se dispersent dans la petite baie rocheuse. Ils cuisent des moules et des crabes enlevés aux rochers., et des poissons pris avec de petits filets; ils dorment sur un lit d'algues desséchées à l'intérieur de cavernes ouvertes par des tremblements de terre ou par les vagues dans la côte rocheuse, pendant que ciel et mer sont un éblouissant azur et qui s'embrasse à l'horizon et que les mouettes font un continuel carrousel de vols, de la mer aux nids, en poussant des cris et en battant des ailes, uniques voix qui, avec le clapotis des flots, se font entendre en ces heures d'étouffante chaleur d'été."

Un autre extrait passionnant sur une parabole de NSJC de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes. On les trouve en pdf gratuitement (4849 pages).
"Ils continuent jusqu'à ce qu'ils atteignent le bord du premier escarpement de l'amphithéâtre rustique de l'oliveraie, dont l'entrée est une petite plaine irrégulière, et les gradins les plusieurs escarpements qui montent la montagne en groupes d'oliviers. Jésus dit alors:
« Arrêtez, attendez-moi ici, pendant que je prie. Mais ne vous endormez pas. J'ai peut-être besoin de vous. Et, je vous le demande par charité, priez! Votre maître est très déprimé. »
Il est en effet déjà dans un état de profonde dépression. Il semble déjà surchargé par un poids. Où est maintenant le viril Jésus qui a parlé à la foule, beau, fort, avec les yeux d'un dirigeant, un sourire calme, une belle voix résonnante? Il semble déjà essoufflé. Il est comme celui qui a couru ou pleuré. Sa voix est fatiguée et épuisée. Triste, triste, triste...
Pierre répond au nom de tout le monde: «cNe vous inquiétez pas, Maître. Nous allons rester éveillés et prier. Tout ce que vous avez à faire est de nous appeler et nous viendrons. »
Et Jésus les laisse, tandis que les trois se penchent pour ramasser des feuilles et des brindilles et allumer un peu de feu pour les garder éveillés, et comme remède contre la rosée qui commence à tomber abondamment."

Marmhonie a écrit:Pardon Bryan mais dans votre mis en page illisible, il y a longtemps que j'ai abdiqué de vous lire.

Vous avez des extraits de l'oeuvre en 10 volumes de Maria Valtorta en français ici :
https://francechretienne.forumactif.com/t886-oeuvre-de-maria-valtorta-extraits



Tout le monde n'a pas la possibilité de s'offrir les 10 volumes d'autant qu'on les trouve en pdf en français.
Il est donc sympathique d'avoir cela dans son ordinateur et d'en offrir quelques extraits.

Oeuvre rééditée,  
avec imprimatur librement autorisé pour tout évêque dans tous pays... 


----- 
témoignage de Jean-François:

Bonjour à tous,
.... 
On peut aussi le retrouver sur le site de l'évêque Roman Danylak, ainsi que ses justifications
Résumé :
Après avoir étudié en profondeur, aussi bien la version anglaise qu' italienne, 
             les notes de l’évêque R Danylak 
                affirme que "le Poème de l'Homme-Dieu" est en tout point conforme, 
                   que ce livre ne contient aucune hérésie, 
                     ni enseignement contraire à la doctrine ou à l'orthodoxie catholique Romaine...
       Et en laissant la parole à l'évêque R. Danylak 
         "I strongly urge that all the critics obtain and study The Poem of the Man-God, reading it in its entirety, and not relying on cursory impressions or the rehash of other critics. They will find in it, I am sure, the peace and joy, the deeper and more intimate knowledge of Our Divine Savior and His Blessed Mother that I and countless other readers, around the globe, have found."
Sans doute que certains d'entre vous connaissent déjà ces Imprimaturs, ...
Bonne journée dans la paix du Christ; 
    Jean-François


Voir d'autres précisions dont celles de Mgr Roman Danylak (en français) (administrateur apostolique)
http://www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta14.htm

Les Papes :         
 Pie XII ----- Bienheureux Paul VI  ------ Saint Jean-Paul II  ------ Benoît XVI.        
Cardinaux et évêques :          
------   Mgr Alfonso Carinci -----  Cardinal Édouard Gagnon ------  Cardinal Augustin Bea ----- Cardinal Anthony Padiyara -------------  Mgr George Hamilton Pearce, archevêque métropolitain 
          ------ Mgr Roman Danylak, administrateur apostolique ------ Mgr Maurizio Raffa.     
Saints et bienheureux :          
-------  Sainte Mère Teresa -----------  Saint Padre Pio ------- Bienheureux Gabriele Allegra 
   ------ Bienheureuse Mère Maria Inès du Très Saint-Sacrement.    
Personnalités marquantes :
------  P. Gabriel M. Roschini -------  Mgr René Laurentin ------  Don Ottavio Michelini ----- Maître Camillo 
    ----------- Corsanego.     ------ Vittorio Tredici.  
Autres :
------  Apparitions mariales de Medjugorje.

D' autres précisions: 
http://lepeupledelapaix.forumactif.com/t7056-informations-sur-les-revelations-a-maria-valtorta

Un autre extrait romantique cette fois de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes. On les trouve en pdf gratuitement (4849 pages)  

Jésus n'est plus là où Il était lors de la dernière vision. Il est dans un grand jardin qui s'étend jusqu'au lac, et au milieu il y a une maison entourée par le jardin, qui à l'arrière de la maison est au moins trois fois plus large comme sur le devant et les côtés. Il y a des fleurs, mais surtout des arbres, des fourrés et des recoins verts, certains autour de bassins de fontaines de marbres précieux, certains s'inclinent autour des tables et des sièges en pierre. Et il devait y avoir des statues ici et là, à la fois le long des sentiers et au centre des bassins. Seuls les piédestaux des statues sont maintenant laissés en souvenir, près des lauriers et des arbustes reflétés dans les bassins remplis d'eau limpide.

La présence de Jésus avec ses disciples et des gens de Magdala, parmi eux il y a le petit Benjamin qui a osé dire à l'Iscariote qu'il était un mauvais homme, me fait penser que ce sont les jardins de la maison de Madeleine qui ont été commodément modifiés pour une nouvelle fonction en supprimant ce qui aurait pu dégoûter ou scandaliser ou rappeler le passé.

Le lac est une crêpe gris-bleu reflétant le ciel, où les nuages ​​naviguent rapidement, chargés de la première pluie d'automne. Mais c'est beau quand même, dans le calme encore la lumière d'un jour qui n'est pas clair mais pas entièrement pluvieux. Ses rives ne sont plus recouvertes de fleurs, elles sont cependant peintes par le grand peintre qui est l'automne et elles montrent des teintes ocres et violettes et la pâleur épuisée du flétrissement des feuilles des arbres et des vignes, qui changent de couleur sur la terre comme leurs vêtements vivants. Dans le jardin d'une villa avec vue sur le lac comme celui-ci, il y a un endroit qui est devenu rouge, comme s'il versait du sang dans l'eau, en raison de la présence d'une haie de branches flexibles, que l'automne a colorée avec une teinte de cuivre flamboyante, tandis que les saules se répandent le long du rivage, non loin du jardin, semblent trembler, car leurs fines feuilles vert argenté tremblent et paraissent plus pâle que d'habitude avant de mourir.

Jésus ne regarde pas ce que je regarde. Il regarde un pauvre malade, les gens qu'Il guérit. Il regarde de vieux mendiants à qui il donne de l'argent. Il regarde des enfants qui lui sont offerts par leurs mères afin qu'Il les bénisse. Et Il regarde pitoyablement un groupe de sœurs, qui l'informent du comportement de leur frère unique, qui a causé à leur mère de mourir d'un cœur brisé et a provoqué leur ruine, et les pauvres femmes le prient de leur donner des conseils et de prier pour elles.

Marmhonie a écrit:Pardon Bryan mais dans votre mis en page illisible, il y a longtemps que j'ai abdiqué de vous lire. 

Vous avez des extraits de l'oeuvre en 10 volumes de Maria Valtorta en français ici :
https://francechretienne.forumactif.com/t886-oeuvre-de-maria-valtorta-extraits



Tout le monde n'a pas la possibilité de s'offrir les 10 volumes d'autant qu'on les trouve en pdf en français. 
Il est donc sympathique d'avoir cela dans son ordinateur et d'en offrir quelques extraits.

Ne vous inquiétez pas trop.
Votre façon de voir laisse aussi deviner
        que vous ne lisez pas non plus les raisons des partages.

Cette oeuvre magistrale de Maria Valtorta, comme toute oeuvre encyclopédique d'envergure, 
         toutes accessibles désormais universellement par la grâce de Dieu,
     des centaines de milliers de pages,
    n'ont d'utilité que lorsqu'on les consulte 
 avec questions bien établies pour en faire la lumière et bien corroborer nos apprentissages.
Elles ne sont pas libre d'interprétation pour en faire dire ce que bon nous semblerait... 
   Comme en 2 Timothée 3 de saint Paul à Timothée
     " dès ton enfance, tu connais les saintes lettres, qui peuvent te rendre sage à salut par la foi en Jésus-Christ. 
          Toute Ecriture est inspirée de Dieu, 
            et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, 
                afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre. ''




Inutile de spécifier que nous aurons toujours besoin des experts
        pour les approcher, et les uns et les autres qui aimeront en partager les lumières 
               sauront ainsi se les rendre davantage profitables et utiles pour l'enseignement.
Les annotations et exposés de ceux 
       qui se sont penchés sur cette oeuvre sauront nous enrichir
et aideront à y voir plus clair et à apprécier encore plus cette colossale étude. 

Dans ces visions décrites par Maria, 
           ce que l'on recherche ce sont les propos que
           le Seigneur lui-même utilise pour nous éclairer sur l'enseignement
         suivies de ses nombreuses catéchèses.
Ce que je mets en lumière après 40 ans
      d'approche ce sont ces thèmes utilisés 
            que l'on ne peut que savourer 
      à la suite de ceux qui s'y sont déjà appliqués depuis plus de 60 ans déjà... 
C'est leur  étude que je mettrai en lumière
une fois établie il ne restera qu'à les référer et serviront pour clarifier 
            ce que l'Église nous enseigne déjà.
 
   

Elles serviront  ainsi à enrichir nos connaissances sur la saine doctrine 
       et à réfuter  tout ce que pourront encore prétendre les déviationnistes ...  

Amicalement à tous!
J'encourage tous et chacun à y croire.

Un autre extrait de laïus de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes, 4849 pages.

Le sabbat, c'est le repos. Oui, on le sait, Les hommes se reposent et aussi les instruments de travail que l'on a recouverts ou rangés soigneusement.

Maintenant que le rouge crépuscule d'un vendredi d'été va s'achever, voici que Marie, assise à l'ombre du grand pommier à son métier le plus petit, se lève et le recouvre et avec l'aide de Thomas le ramène à sa place dans la maison. Aurea est occupée, assise sur un tabouret, à ses pieds, à coudre d'une main encore mal assurée les vêtements que lui avait donnés la romaine, remis à ses mesures par Marie. Marie l'invite à plier soigneusement son travail, et à le remettre sur la console de sa chambrette, Pendant que la fillette le fait, la Mère entre avec Thomas dans l'atelier où Jésus s'empresse, avec le Zélote, de remettre à leurs places les scies, les raboteuses, les tournevis, les marteaux, les pots de peinture et de colle, et de nettoyer les établis et le sol de la sciure et des copeaux de bois. Du travail fait jusqu'alors il ne reste que deux planches mises en équerre et serrées dans l'étau pour que la colle durcisse dans les emboîtements (peut-être un futur tiroir) et un tabouret à moitié peint aux teintes encore fraîches qui dégage une odeur acide.

Aurea entre aussi et va se pencher sur le travail au burin de Thomas et elle l'admire en demandant, un peu curieuse et aussi instinctivement un peu coquette, à quoi cela sert et aussi si cela lui irait bien.

"Cela t'irait bien, mais il te va mieux d'être bonne. Ce sont des ornements qui n'embellissent que le corps mais qui ne sont pas utiles à l'esprit. Au contraire, en développant la coquetterie, elles font du mal à l'esprit."

Un autre extrait de palabre de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes, 4849 pages.

Comme elle est belle, Marie, en ses vêtements d'épouse, parmi ses amies et ses maîtresses qui lui font fête ! Il y a aussi parmi elles Élisabeth.  

Toute vêtue de lin d'un blanc éclatant si soyeux et si fin qu'on dirait une soie précieuse. Une ceinture d'or et d'argent travaillée au burin; elle est faite entièrement de médaillons reliés par des chaînettes et chaque médaillon est une dentelle de fils d'or sur un fond d'argent que le temps a bruni. Elle serre sa taille fine et, sans doute parce qu'elle est trop longue pour elle encore toute jeunette, elle pend par devant avec les trois derniers médaillons, Elle descend entre les plis de la robe très ample avec une courte traîne, tellement elle est longue. À ses petits pieds, des sandales de peau très blanche avec des boucles d'argent.            
Au cou, la robe est retenue par une chaînette à rosettes d'or avec filigrane d'argent qui reprend en plus petit le motif de la ceinture et passe à travers les larges jours du large décolleté en réunissant les plis qui forment une sorte de petit jabot. Le cou de Marie émerge de la blancheur des plis avec la grâce d'une tige enveloppée d'une gaze précieuse et paraît encore plus mince et plus blanc : une tige de lys qui s'épanouit en un visage lilial encore plus pâle par l'émotion et plus pur. Le visage d'une hostie très pure.    

Les cheveux ne retombent plus sur les épaules. Ils sont gracieusement disposés en tresses entre-nouées, et des attaches précieuses d'argent bruni toutes faites en broderies à filigrane les maintiennent en place depuis le sommet. Le voile maternel est posé sur ces tresses et retombe en formant des plis agréables au dessous de la lame précieuse qui enserre le front très blanc. Il descend jusqu'aux hanches, parce que Marie n'est pas si grande que sa mère et les dépasse alors que pour Anne il s'arrêtait à la ceinture.        

Aux mains elle n'a rien. Aux poignets des bracelets, mais ils sont si fins ces poignets que les pesants bracelets de sa mère retombent sur le dessus des mains et peut-être que, si elle les secouait, ils tomberaient par terre.

Un extrait loufoque de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes, 4849 pages.

"C'est bien, brave femme. Je reviendrai plus tard avec les disciples. La paix à toi. Retourne à tes occupations" dit Jésus avec bonté mais aussi avec autorité pour arrêter ce flot de paroles.

Ils se remettent en marche, et les plus jeunes des apôtres rient de bon cœur de la scène de la femme et font même sourire Jésus.

"Maître, dit Jean, elle paraissait être la "Grande Source" ne te semble-t-il pas ? Ses paroles sortaient à flots continus, et elle a fait de nous autant de vasques qui débordent en ruisseaux de paroles..."

"Oui. J'espère que les disciples n'auront pas fait de miracle sur sa langue... Ce serait le cas de dire : vous avez fait trop de miracle" dit le Thaddée qui, contrairement à son habitude, rit de bon cœur.

"Le plus beau c'est quand elle va nous voir revenir, et qu'elle verra que c'était le Maître ! Qui arrivera à la faire taire ?" demande Jacques de Zébédée.

"Non, au contraire elle restera muette de stupeur" dit Matthieu en prenant part aux commentaires des jeunes.

"J'en louerai le Très-Haut si la stupeur lui paralyse la langue. C'est sans doute parce que je suis presque à jeun, mais ce qu'il y a de certain, c'est que le tourbillon de ses paroles m'a fait tourner la tête" dit Pierre.

"Et comme elle criait ! Est-elle peut-être sourde ?" demande Thomas.

"Non. Elle nous croyait sourds" dit l'Iscariote.

"Laissez-la tranquille, la pauvre vieille ! Elle était bonne et croyante. Son cœur est généreux comme sa langue" dit Jésus mi-sérieux.

"Oh ! alors ! mon Maître, cette vieille est héroïque tant elle est généreuse" dit Jean en riant de bon cœur.

Un extrait rempli d'hérésies de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes, 4849 pages.

Elle vous dirait que, si Dieu a interdit la connaissance du bien et du mal, c’est parce qu’il avait accordé gratuitement le bien à ses créatures, et il ne voulait pas que vous connaissiez le mal ; car le mal est un fruit doux au palais mais, une fois son suc descendu dans le sang, il y crée une fièvre qui tue et suscite une soif ardente de sorte que, plus on boit de ce suc mensonger, plus on en a soif.  

Vous objecterez : “Et pourquoi l’y a-t-il mis ?” Parce que le mal est une force qui est née toute seule, comme certaines maladies monstrueuses peuvent s’en prendre aux corps les plus sains.      

Lucifer était un ange, le plus beau des anges, un esprit parfait qui n’était inférieur qu’à Dieu. Dans son être de lumière, naquit pourtant une bouffée d’orgueil. Au lieu de la dissiper, il la condensa en la couvant. Le mal est né de cette incubation. Il existait avant l’apparition de l’homme.    

Dieu avait précipité hors du paradis cet Incubateur du mal qui l’avait souillé. Mais il est resté l’éternel Incubateur du mal et, comme il ne pouvait plus souiller le paradis, il s’en est pris à la terre.

Hérésie 1 :
La théorie de la génération spontanée de Valtorta en dehors de la Création de Dieu est IMPOSSIBLE, sinon Dieu n'aurait pas tout créé:
"le mal est une force qui est née toute seule."

Hérésie 2 :
"comme il ne pouvait plus souiller le paradis, il s’en est pris à la terre."
Mais le paradis d'Eden était sur terre ainsi qu'en atteste Genèse 2-10 à 14 :
"10 Un fleuve sortait d'Eden pour arroser le jardin, et de là il se partageait en quatre bras. 11 Le nom du premier est Phison ; c'est celui qui entoure tout le pays d'Hévilath, où se trouve l'or. 12 Et l'or de ce pays est bon ; là aussi se trouvent le bdellium et la pierre d'onyx. 13 Le nom du second fleuve est Géhon ; c'est celui qui entoure toute la terre de Cousch. 14 Le nom du troisième est le Tigre ; c'est celui qui coule à l'orient d'Assur. Le quatrième fleuve est l'Euphrate." (Bible Crampon 1923)

Hérésie 3 :
"comme il ne pouvait plus souiller le paradis, il s’en est pris à la terre."
Genèse 3-14 enseigne que le diable fut précipité sur terre, ce ne fut pas le choix du diable.  
Genèse 3-14 Alors Yahvé Dieu dit au serpent: "Parce que tu as fait cela, maudit sois-tu entre tous les bestiaux et toutes les bêtes sauvages. Tu marcheras sur ton ventre et tu mangeras de la terre tous les jours de ta vie. (Bible de Jérusalem 2013)
Genèse 3-14 Yahweh Dieu dit au serpent : " Parce que tu as fait cela, tu es maudit entre tous les animaux domestiques et toutes les bêtes des champs ; tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras la poussière tous les jours de ta vie. (Bible Crampon 1923)
Source

@Marmhonie

Je constate par la lecture de votre brillant exposé "Hérésie 1 / Hérésie 2 / Hérésie 3" que vous avez le niveau requis pour aller vendre de la barbapapa à la Foire du Trône..

Benoit a écrit:...aller vendre de la barbapapa à la Foire du Trône..

Pardon, je ne sais pas ce que cela signifie en français.
Maria Valtorta est d'une lecture simple, elle ne fera de mal à personne et c'est un moyen pour des gens en difficultés de se reposer dans cette lecture rapide.
Inconnue en France, qui suit la Sainte Eglise Catholique, nous étudions la Bienheureuse Anne Catherine Emmerich béatifiée par St Jean-Paul II et la Vénérable Maria d'Agréda.
Maria Valtorta toujours condamnée par l'Eglise Catholique fut propagée en France par Mgr Williamson.
D'autres extraits en français vous seront gentiment proposés puisque son oeuvre est gratuite et complète en ligne en donnant la référence toujours.

Elle peut amener des âmes au bon Dieu, voilà ce qui compte

@Marmhonie

Visiblement vous aimez vous gargariser avec votre haine, votre mauvaise foi, votre malveillance et votre paresse intellectuelle.

Vos posts sont inévitablement des tissus d'anneries, c'est désolant, et en plus vous en êtes fier !

Relisez (si vous avez des yeux pour lire, et un coeur et un esprit pour comprendre) mon post du 4 décembre... si la condamnation de Maria Valtorta était effective, croyez-vous que le Vicariat aurait réactivé le procès de béatification ?

Par ailleurs votre amour du mensonge est flagrant : Ce n'est absolument pas Mgr Williamson qui a lancé Maria Valtorta en France - ce que vous répétez depuis des mois comme un robot - mais Le Sourire De Marie, Stella Maris et L'Homme Nouveau dans les années 80, suivit par Chrétiens Magazine dans les années 2000. Maintenant, Maria Valtorta est - de loin - la mystique catholique la plus lue en France.

Son oeuvre est gratuite en ligne, en effet (valtorta.fr / maria-valtorta.org), voici donc un extrait des "Carnets" où Jésus parle de l'Eglise des premiers temps.

Dictée de Jésus à Maria Valtorta le 25 avril 1948

Soyez comme au temps des catacombes. A cette époque, les papes eux-mêmes vivaient au milieu du peuple. Et je ne parle pas seulement du peuple chrétien. Ils vivaient même parmi les païens, ils se mêlaient à eux, ils gagnaient leur pain par diverses occupations manuelles ou civiles, couronnées, le soir venu, par la Fraction du pain, par l'Assemblée des fidèles. Ceux à qui la naissance ou les revenus permettaient de ne pas avoir besoin de travailler, s'habillaient chaque jour de vêtements humbles pour accomplir des œuvres de miséricorde dans les quartiers les plus pauvres.
Tous annonçaient ma doctrine par la parole, et plus encore par l?exemple. Ils ne prêchaient pas à partir d?un texte fixe, ni selon des règles oratoires. Ils parlaient simplement à tel ou tel voyageur ou compagnon de travail. Tout leur servait à parler de moi, en insinuant doucement la connaissance de Jésus Christ et de l'Evangile, avec patience, avec amour et avec constance.
Ils ne craignaient ni les déboires ni les dangers. Ils entraient jusque dans les caves des cirques, jusque dans les prisons et les tribunaux. Ils allaient y porter la Parole, les sacrements, les bénédictions aux chrétiens attendant le martyre, et y conquérir au Christ les âmes des païens.
Ils ne faisaient pas de démagogie politique, et surtout pas aux moments délicats de mécontentement populaire ou de changement d'empereur. Ils menaient une vie chrétienne, et cela seulement. Une vraie vie chrétienne. C?est ainsi qu?ils entraînaient les autres à les suivre sur leur route, ou plus exactement sur la mienne.
En vérité, on peut dire, comme l'épouse du Cantique des cantiques, que les païens couraient derrière eux, attirés par la bonne odeur du Christ que mes disciples - qui étaient vraiment d'autres Christ - laissaient dans leur sillage lorsqu'ils marchaient au milieu de la corruption et de l'erreur pour les chasser et instaurer le règne du Christ.
On n'entend plus, ou très rarement, cette exclamation des païens des premiers siècles : "Voyez comme ils s'aiment et comme ils sont vertueux ! Voyez comme ils nous aiment !" Si le monde d'alors est devenu chrétien, il le devait à cette constatation de ce qu'étaient le clergé et les chrétiens des premiers siècles. C'est par la constatation inverse que le monde d'aujourd'hui redevient païen, athée ou livré à Satan.
Les temps d?exception réclament des moyens d'exception. Il vous faut beaucoup innover, si vous voulez sauver.
Ne soyez pas bloqués, enracinés, dans des habitudes qui se sont formées au cours des siècles, mais qui ne sont pas celles que j'ai données à mes apôtres et à mes disciples, et que le Paraclet a continué à conseiller à l'Eglise naissante pour favoriser son développement.
Le monde évolue. Pas en bien, mais il évolue. L'Eglise ne peut être statique : elle doit, non pas s?adapter à la mauvaise évolution du monde, mais se transformer pour être en mesure d'y faire face et d'y remédier. Seuls le dogme et la doctrine doivent rester immuables. Mais en ce qui concerne les moyens d'exercer son ministère, elle doit se mettre en adéquation avec les exigences du moment.
A une époque de trouble et d'action antichrétienne, ce qui suffisait en temps de foi, de paix, d'amour respectueux pour Dieu et son Eglise, ne suffit plus. Soyez des médecins et des maîtres, non seulement pour les bons, mais pour tous. Comme je l'ai moi-même été.
Être prêtre ne doit pas constituer une singularité qui soit source d'honneurs et épargne ce que les hommes ont à subir : le travail, la fatigue, la pauvreté, la faim. Moi, j'ai connu la faim, or j'étais Dieu. J'ai connu la fatigue, la pauvreté, le travail, or j'étais Dieu. J'ai vécu dans les dangers, je n'ai pas cherché à les esquiver, or j'étais Dieu.
Prenez les plus saints d'entre vous, et disséminez-les. Il faut que, en même temps, dans le silence et la discrétion, une armée mystique les soutienne par la prière, la pénitence, la souffrance. C'est celle des âmes mystiques, les Moïse sur la montagne, pendant que les Josué combattent dans la plaine et vainquent par la seule arme de l'Evangile et d'une vie authentiquement évangélique. Ils doivent lutter et remporter la victoire avec et pour l'Evangile.
Que ces prêtres missionnaires et leurs assistants catholiques œuvres afin que l'Evangile, l'Eglise, les sacrements servent de contre-poison, de vie, de lumière, de vérité, et soient répandus là où ils ne vont pas, pour ceux qui ne viennent pas à vous - ou, s'ils viennent, ils ne comprennent pas - , pour les pécheurs, et même pour les antéchrists, parce qu'ils sont "dans l'ignorance".
Au jour du jugement, c'est à vous que je demanderai, plus qu'à eux : Pourquoi m'avez-vous laissé être persécuté ?
Car, en vérité, permettre par tiédeur, par peur ou par orgueil, que l?ignorance de moi et de ma vérité demeure et que l'erreur s'enracine, cela revient à me persécuter.
Ne permettez pas que cela arrive. Allez, descendez, mêlez-vous à ces foules qui meurent, spirituellement, de faim, et distribuez-leur le pain de la vérité. Ma Parole est vérité et vie. Allez. Enseignez. Aimez.

@Marmhonie... J'attends votre moquerie habituelle, mais vous n'êtes pas sans savoir qu'un seul péché ne sera pas pardonné, le péché contre l'Esprit.

Vous persécutez Jésus-Christ sans même vous en rendre compte, reprenez-vous, de grâce !

Marmhonie a écrit:Un extrait rempli d'hérésies de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes, 4849 pages.

Elle vous dirait que, si Dieu a interdit la connaissance du bien et du mal, c’est parce qu’il avait accordé gratuitement le bien à ses créatures, et il ne voulait pas que vous connaissiez le mal ; car le mal est un fruit doux au palais mais, une fois son suc descendu dans le sang, il y crée une fièvre qui tue et suscite une soif ardente de sorte que, plus on boit de ce suc mensonger, plus on en a soif.  

Vous objecterez : “Et pourquoi l’y a-t-il mis ?” Parce que le mal est une force qui est née toute seule, comme certaines maladies monstrueuses peuvent s’en prendre aux corps les plus sains.      

Lucifer était un ange, le plus beau des anges, un esprit parfait qui n’était inférieur qu’à Dieu. Dans son être de lumière, naquit pourtant une bouffée d’orgueil. Au lieu de la dissiper, il la condensa en la couvant. Le mal est né de cette incubation. Il existait avant l’apparition de l’homme.    

Dieu avait précipité hors du paradis cet Incubateur du mal qui l’avait souillé. Mais il est resté l’éternel Incubateur du mal et, comme il ne pouvait plus souiller le paradis, il s’en est pris à la terre.

Hérésie 1 :
La théorie de la génération spontanée de Valtorta en dehors de la Création de Dieu est IMPOSSIBLE, sinon Dieu n'aurait pas tout créé:
"le mal est une force qui est née toute seule."

Hérésie 2 :
"comme il ne pouvait plus souiller le paradis, il s’en est pris à la terre."
Mais le paradis d'Eden était sur terre ainsi qu'en atteste Genèse 2-10 à 14 :
"10 Un fleuve sortait d'Eden pour arroser le jardin, et de là il se partageait en quatre bras. 11 Le nom du premier est Phison ; c'est celui qui entoure tout le pays d'Hévilath, où se trouve l'or. 12 Et l'or de ce pays est bon ; là aussi se trouvent le bdellium et la pierre d'onyx. 13 Le nom du second fleuve est Géhon ; c'est celui qui entoure toute la terre de Cousch. 14 Le nom du troisième est le Tigre ; c'est celui qui coule à l'orient d'Assur. Le quatrième fleuve est l'Euphrate." (Bible Crampon 1923)

Hérésie 3 :
"comme il ne pouvait plus souiller le paradis, il s’en est pris à la terre."
Genèse 3-14 enseigne que le diable fut précipité sur terre, ce ne fut pas le choix du diable.  
Genèse 3-14 Alors Yahvé Dieu dit au serpent: "Parce que tu as fait cela, maudit sois-tu entre tous les bestiaux et toutes les bêtes sauvages. Tu marcheras sur ton ventre et tu mangeras de la terre tous les jours de ta vie. (Bible de Jérusalem 2013)
Genèse 3-14 Yahweh Dieu dit au serpent : " Parce que tu as fait cela, tu es maudit entre tous les animaux domestiques et toutes les bêtes des champs ; tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras la poussière tous les jours de ta vie. (Bible Crampon 1923)
Source

Marmhonie a écrit:

Benoit a écrit:...aller vendre de la barbapapa à la Foire du Trône..

Pardon, je ne sais pas ce que cela signifie en français.
Maria Valtorta est d'une lecture simple, 
             elle ne fera de mal à personne et c'est un moyen pour des gens en difficultés de se reposer dans cette lecture rapide. 
Inconnue en France, 
         qui suit la Sainte Eglise Catholique, 
      nous étudions la Bienheureuse Anne Catherine Emmerich béatifiée par St Jean-Paul II et la Vénérable Maria d'Agréda. 
Maria Valtorta toujours condamnée par l'Eglise Catholique
           fut propagée en France par Mgr Williamson. 
D'autres extraits en français vous seront gentiment proposés
        puisque son oeuvre est gratuite et complète en ligne en donnant la référence toujours. 

Elle peut amener des âmes au bon Dieu, voilà ce qui compte

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Marhmonie,
Vous passez du coq à l'âne constamment.
Contradiction permanente de quelqu'un qui voit finalement l'oeuvre inoffensive à la traiter par la suite d'hérésie.

Ce que vous dites, on en est témoins par vos propos dans l'encadré:
      vous êtes constamment en contradiction avec vous-même et avec le fait 
      de vous prétendre connaissant et vos affirmations concernant l'hérésie.
Diamétralement opposés:    "  Elle peut amener des âmes au bon Dieu, voilà ce qui compte  "
                     et vous dites ensuite  "   Un extrait rempli d'hérésies de Maria Valtorta   "


Merci à Benoît pour son courageux et saint  témoignage!!

Marhmonie, d'autres en plus de Benoît et moi 
         vous ont critiqué de nombreuses fois pour votre orgueil à vous prétendre au-dessus de tout enseignement, 
                parce que vous vous voyez au faîte de la connaissance: 
              mais au fond c'est contre l'Esprit de Dieu que vous combattez.

Benoît a le saint courage de vous le dire, 
             dans le but premier que vous preniez connaissance de votre agir.
    C'est là la caution pour votre conversion.
Bénissez-en vos frères... 

Plusieurs fois vous êtes intervenu pour répandre un venin (serait-ce celui de votre père: Jean 8: 44)?

Comme par exemple: on vous voit toujours intervenir de cette façon à tout dénigrer
               comme pour vous faire voir et prétendre à votre supériorité:
        l'exemple par exemple (un de plus)
https://francechretienne.forumactif.com/t672-l-histoire-des-mormons-etude-de-ce-mouvement#11097

où sans rien comprendre du droit de chacun à préserver leur intégrité et leur droit à recevoir les lumières de l'Évangile,
vous les passez sous votre malicieux moulinet... 
          Ce n'est que ce genre de diffamation qui vous intéresse au fond...
Quand on juge les autres, sachez que les jugés entreront au ciel avant leur accusateur,
         si Dieu  permet toutefois que la réprobation lui soit épargnée.

Ayez à cœur le salut de vos frères (de tout homme de l'humanité)
           selon l'enseignement de l'Église demandé à tout baptisé.
Chaque baptisé en reçoit la vocation renouvelée lors de sa confirmation.

Vous n'êtes pas obligé de croire aux révélations.
Ce n'est pas la question ici:
  ne pas y croire et en faire de constants dénigrements sont diamétralement opposés.

Le sujet est réservé aux intéressés seulement:
veuillez svp ne pas y participer si vous ne savez pas démontrer vos propos subjectifs sans fondement...

Votre mensonge réitéré que l'oeuvre 
        serait interdite vous a été plusieurs fois démontré.
Vous la traitez d'hérétique sans jamais arriver à le démontrer...

Quand le Seigneur a dit "   , et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux,   " (Matthieu 7)
expression évangélique, c'est qu'elles seront à coup sûr piétinées... 

Si vous montrez un tant soit peu de bonne volonté
                 (changez votre style d'écriture: il ne vous gardera qu'ignorant )
      vous apprendrez l'art du raisonnement qui jusqu'à date vous fait défaut.

Fraternellement!
Bryand

Pas de haine, je vous prie, pas de diffamation envers la Sainte Eglise Catholique.

Je n'y puis rien, je suis la Sainte Eglise et y obéis.
Pour autant, je montre une bonne volonté à extraire des textes agréables de Maria Valtorta.
Si l'Eglise l'a toujours condamnée, qu'y puis-je ?

Elle est à lire, vous dis-je. Et plus encore La Bienheureuse Catherine Emmerich et la Vénérable Maria d'Agréda. Vous y aurez droit, au respect des droits.
Et si la haine s'intensifiait je vous pardonne par avance car nous il nous faut porter notre croix.

Je ne suis qu'un historien des religions qui consulte des faits et les transmets tel quel, sans y toucher.

En cherchant le texte original du pape Benoît XVI qui la condamne, je suis tombé sur un autre forum catholique.
Sursum corda.

Ne vous y trompez pas trop encore une fois.
Vous n'êtes pas en symbiose avec l'Église catholique.
Vous êtes parmi les dissidents.

Il n'y a eu aucune condamnation de Benoît XVI, 
           telle que nous l'avons ailleurs démontré... 

Sursum corda n'est pas contre l'oeuvre de Maria.

Vous faites une fois de plus triomphaliste qui aimez bien s'entendre parler et s'autoproclamer...


Il y a aussi ce très beau poste de Benoît que je n'avais pas vu...
Pour les intéressés.
https://francechretienne.forumactif.com/t127-entretien-avec-benoit-specialiste-de-maria-valtorta


Et ci-suit, une page de plus favorable à l'oeuvre  de Maria Valtorta, 
        de plus en plus reconnue, 
    qui à mon sens demeure l'oeuvre par excellence au sein de notre Église
      qui démontre que le doigté divin est toujours à l'oeuvre 
                  du salut dans l'humanité qui reçoit, plus qu'elle avance,
             des grâces supplémentaires  au complément de l'Amour de Dieu
                                                           pour ceux qui les accueillent.

Un extrait d'une parabole de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes, 4849 pages.

J'ai fini. Maintenant méditez et reposez-vous jusqu'au crépuscule, pendant que je me retire pour prier." "Non, Maître. Nous ne devons pas tarder à nous mettre en route pour arriver aux maisons" dit Pierre. "Mais pourquoi ? Il y a encore du temps avant le crépuscule !" disent plusieurs.

"Moi, je ne pense pas au crépuscule, ni au sabbat. Je pense qu'il ne passera pas une heure avant qu'il arrive une tempête furieuse. Voyez-vous ces langues noires qui se lèvent doucement des chaînes de la Samarie ? Et celles si blanches qui arrivent au galop de l'occident ? Un vent élevé pousse celles-ci, et un vent bas celles-là. Mais quand elles seront au-dessus d'ici, le vent élevé cédera au sirocco et les nuages noirs, chargés de grêle, s'abaisseront et heurteront les blancs chargés de foudre, et quelle musique vous allez entendre ! Allons, vite ! Je suis pêcheur et je lis dans le ciel."

Jésus obéit tout le premier, et tous se mettent à marcher vivement vers les fermes de la plaine...

Il n'y a pas de sirocco en Israël, ce vent est en Algérie par exemple.
Jésus obéit alors qu'il a pouvoir sur les mers et le temps, et qu'il a la Prescience. Jésus n'a jamais obéi à ses disciples.

@Marmhonie

Vous êtes toujours aussi buté.

écoutons Jésus :

Je ne puis permettre que l’on traite ce travail [la vie monumentale de Jésus] comme une plaisanterie et qu’elle reste à l’état de manuscrit. Nous avons affaire à un monde obtus et mauvais, jusque dans les milieux ecclésiastiques, à un monde qui ne se soucie guère de relire ces écrits pour pouvoir y reconnaître ma présence et les approuver, mais qui porte toute son attention à éplucher l’ouvrage dans le seul dessein d’y trouver un mot qui puisse passer pour une erreur théologique ou simplement historique, que ce soit dû à l’écriture incertaine de l’auteure ou à une erreur du copiste. C’est la pure vérité. J’agis donc en sorte que leur animosité soit déçue. (Cahiers, 21 janvier 1946)

Maria Valtorta n'était pas scientifique, c'était une littéraire, qui avait arrêté tôt ses études.

Quand elle a une vision, elle est transportée au milieu de la scène qu'elle voit et qu'elle décrit.

Elle sent un vent qui lui fait penser au sirocco.

Or, en Israël, il y a un équivalent au sirocco du Sahara : Le vent d'est, appelé sharaf ou encore hamsin par les arabes. (Source : https://www.croirepublications.com/croire-et-vivre/reflexion/article/les-vents-en-israel)

Donc la description de Maria Valtorta sur le vent est tout à fait juste, on ne peut pas décemment lui reprocher de ne pas avoir trouvé le bon nom scientifique du vent qu'elle a parfaitement décrit puisqu'il est l'équivalent palestinien du sirocco !

C'est même une preuve de l'authenticité de ses visions !

Pour prévenir vos prochaines "animosités", notez qu'on trouve, sous la plume de Maria Valtorta, des mots anachroniques : certains sont dus à la traduction française interprétative de Felix Sauvage en 1979, par exemple "jockey" à la place du mot original "aurige". Le traducteur a voulu, de bonne foi, "acculturer" dans le monde contemporain les visions du passé. Sur ce principe, il emploie aussi des mots comme "usine" à la place "d'atelier". D'autres sont impropres comme "tournevis". Maria Valtorta décrit les scènes qu'elle voit. Manquant du terme technique exact, il lui arrive d'utiliser l'analogie : "qui ressemble à...", avec les mots de sa culture. L'outil qui ressemble à un tournevis est probablement un ciseau à bois, une gouge ou un bédane : à cette époque les outils du charpentier ressemblaient beaucoup à ceux de notre époque. La nouvelle traduction d'Yves d'Horrer de 2017 rectifie ces anachronismes.

Marmhonie a écrit:Un extrait d'une parabole de Maria Valtorta in "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" en 10 volumes, 4849 pages.

J'ai fini. Maintenant méditez et reposez-vous jusqu'au crépuscule, pendant que je me retire pour prier." "Non, Maître. Nous ne devons pas tarder à nous mettre en route pour arriver aux maisons" dit Pierre. "Mais pourquoi ? Il y a encore du temps avant le crépuscule !" disent plusieurs.

"Moi, je ne pense pas au crépuscule, ni au sabbat. Je pense qu'il ne passera pas une heure avant qu'il arrive une tempête furieuse. Voyez-vous ces langues noires qui se lèvent doucement des chaînes de la Samarie ? Et celles si blanches qui arrivent au galop de l'occident ? Un vent élevé pousse celles-ci, et un vent bas celles-là. Mais quand elles seront au-dessus d'ici, le vent élevé cédera au sirocco et les nuages noirs, chargés de grêle, s'abaisseront et heurteront les blancs chargés de foudre, et quelle musique vous allez entendre ! Allons, vite ! Je suis pêcheur et je lis dans le ciel."

Jésus obéit tout le premier, et tous se mettent à marcher vivement vers les fermes de la plaine...

Il n'y a pas de sirocco en Israël, ce vent est en Algérie par exemple.
Jésus obéit alors qu'il a pouvoir sur les mers et le temps,
         et qu'il a la Prescience. Jésus n'a jamais obéi à ses disciples.

Bravo une fois encore à Benoît qui sait bien expliquer l'oeuvre.

Quant à vous Marhmonie, le bien de cette oeuvre vous est caché.

Le vent de sirocco existe bel et bien en Palestine 
             et il est appelé de divers noms dans les régions avoisinantes.

C'est bien le mot même qu'il faut entendre, et pour les anachronismes ils vous ont été bien expliqués.
Il y en a même dans les saintes Écritures traduites en toutes les langues de la terre.
Les traducteurs ont dû choisir bien souvent des termes avoisinants 
             et les différentes éditions reprises selon le conseil de l'Église
               pour clarifier des contextes parfois rendus approximatifs, 
                     mais sans jamais influer sur le sens de la doctrine à entendre confié à l'Église.
Ceci je vous l'avais d'ailleurs déjà expliqué en spécifiant que c'était là 
        l'une des raisons pourquoi  certaines traductions sont reprises continuellement au cours des siècles 
              pour réajuster sur la préférence des mots toujours
         tributaires aux limites des traducteurs des centaines de langues dans le monde... 

Concernant les propos dans la vision que vous venez d'amener, une fois de plus je vous dirais:
n'y allez pas selon vous, car vous commettez une fois de plus une autre erreur.

Jésus venait de parler de l'obéissance.
N'est-il pas l'exemple parfait qui s'y conforme?
Dans cet extrait Pierre a raison et son conseil suivi.
Ce que Jésus a à vivre avec ses amis est dans une totale symbiose
       et toujours respectant les réalités sans jamais s'y démettre.
Il ne vivait pas dans la magie.
Allait-il fuir les intempéries, à vous entendre?


Quelques lignes avant votre passage relaté, Jésus parle d'obéissance:
« Au contraire, l'âme qui a un arbitre qui vit dans l'ordre, 
      vit dans l'obéissance à la Loi, qui a été donnée pour que l'homme sache 
             ce qu'est l'ordre et en quoi il consiste,
                comment on le conserve, et qui est héroïquement fidèle au Bien,
                       parce que le Bien élève l'homme et le rend semblable à Dieu, 
                          alors que le Mal l'abrutit et le rend semblable au démon, 
                    est une vigne arrosée par les eaux pures, abondantes, utiles de la foi, 
                        dûment ombragée par les plantes de l'espérance,
                           ensoleillée par le soleil de la charité,
                              corrigée par la volonté, 
                                fumée par la mortification, 
                                  taillée par la force, 
                                    conduite par la justice,
                                       surveillée par la prudence et la conscience.
                   Et la Grâce croît, aidée par tant de choses,
                           la Sainteté croît, 
                               et la vigne devient un jardin merveilleux où Dieu descend pour prendre ses délices, 
                                    jusqu'à ce que la vigne se gardant elle-même toujours comme un jardin parfait, 
                                        jusqu'à la mort de la créature, Dieu fasse porter par ses anges 
                                          ce travail d'un libre arbitre plein de bonne volonté 
                                                et bon dans le grand et éternel Jardin des Cieux.      
                            C'est certainement ce sort que vous voulez. 
                               Alors veillez pour que le Démon, le Monde, la Chair
                                               ne séduisent pas votre arbitre et ne dévastent pas votre âme. 
                                          Veillez pour qu'existe en vous l'amour véritable et non l'amour propre 
                                              qui l'éteint et jette l'âme aux fantaisies de toutes les sortes de sensualité et du désordre. 
                                            Veillez jusqu'à la fin, et les tempêtes pourront vous tremper mais sans vous nuire, 
                                                   et vous irez, chargés de fruits, vers votre Seigneur pour la récompense éternelle.         
                                    J'ai fini. Maintenant méditez et reposez-vous jusqu'au crépuscule, 
                                              pendant que je me retire pour prier."   
—"Non, Maître. Nous ne devons pas tarder à nous mettre en route pour arriver aux maisons" dit Pierre.     

—"Mais pourquoi ? Il y a encore du temps avant le crépuscule !" disent plusieurs.        

—"Moi, je ne pense pas au crépuscule, ni au sabbat. 
             Je pense qu'il ne passera pas une heure avant qu'il arrive une tempête furieuse.
                  Voyez-vous ces langues noires qui se lèvent doucement des chaînes de la Samarie ? 
                      Et celles si blanches qui arrivent au galop de l'occident ?
                        Un vent élevé pousse celles-ci, et un vent bas celles-là. 
                           Mais quand elles seront au-dessus d'ici, le vent élevé cédera au sirocco 
                                 et les nuages noirs, chargés de grêle, s'abaisseront et heurteront les blancs chargés de foudre, 
                                       et quelle musique vous allez entendre ! Allons, vite ! Je suis pêcheur et je lis dans le ciel."    
http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2006/06-119.htm

     Jésus obéit tout le premier, et tous se mettent à marcher vivement vers les fermes de la plaine...        »


Ne désincarnez pas les milliers de séquences et séances du quotidien 
            que Jésus lui-même vivait de façon bien réelle avec ses apôtres et amis.
Et ici ne donne-t-il pas l'exemple aux autres d'obéir à son Pierre ?
Moment qu'il est facile de deviner par ailleurs, car il forme ses apôtres à reconnaître, 
       comme tant de fois, un judicieux conseil, de plus amené par celui qui allait être leur chef...

Dieu n'a jamais claqué des doigts pour fuir les situations: 
                     fuite en Égypte, colère des gouvernants, vexation de tout genre...


Concernant le sirocco:
Vous trouverez de précieux renseignements avec ce canevas: 
«     Le sirocco est appelé shehili en Tunisie, 
               Xaloc en Catalogne, 
                  Siròc ou Eisseròc en occitan, 
                       xlokk (prononcé Chloc) à Malte,
                          shehili en Algérie,
                              chergui au Maroc,
                                 sciloccu en Corse et scirocco 
                                   (prononcé : [ʃiˈrɔkko]) en Italie.
                     Aux îles Canaries il est appelé calima. 
                      Il est également connu sous le nom arabe qibli ou ghibli (قِبْلِيّ « méridional ; 
                          en direction du sud » et par extension قبلة ghibla « venant de la qibla », direction de la Ka'ba2 au sud).    »

Et vous croyez, ici en regardant les vastes régions où on le retrouve,
         qu'il n'a pas empiété sur une région plus près telle la Palestine, 
                puisque ce vent arrive de la mer Méditerranée lorsqu'il parcourt son circuit... 

Autre nom de ce vent: sharaf:

«   Quand souffle le sharaf, hommes et bêtes sont languissants, les plantes se dessèchent et meurent.
         C’est ce vent que Pharaon a « vu » dans son rêve (voir la référence). 
      L'hiver, ce vent peut souffler avec une grande violence 
            apportant à l'inverse une sensation de froid, surtout dans la région de Jérusalem et des montagnes.  »
https://www.croirepublications.com/croire-et-vivre/reflexion/article/les-vents-en-israel


Et en Jordanie: 
«  Les étrangers prêtent une oreille complaisante aux doléances de leurs coreligionnaires de Kérak. Ainsi, Lynch rapporte sa conversation avec le cheikh ‘Abdallah Halasa, qui prétend que les chrétiens forment les trois quarts de la population de Kérak, chiffre bien évidemment grossi. Malgré leur nombre, il se plaint que les siens soient maintenus en sujétion par les musulmans et fait une liste de griefs et de doléances (pauvreté, sécheresse, sauterelles et sirocco). Le cheikh confie enfin à Lynch une lettre faisant appel aux « frères chrétiens d’Amérique » afin qu’ils leur viennent en aide financièrement pour la construction de l’église, car, ajoute le cheikh sans peur de se contredire, « ils ne sont que quelques chrétiens entourés de musulmans » (1848, p. 362-363).  »
Pour situer la Jordanie:
https://www.google.ca/maps/place/Al-Karak,+Jordanie/@30.2229533,34.9416626,7.42z/data=!4m5!3m4!1s0x15037a1f8e1a87a9:0x98bd1406f49b95d4!8m2!3d31.1853497!4d35.7047733?hl=fr


Bonne étude!
Amicalement!
Bryand